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Le collier de la "chienne" !

Chapitre 3

Françoise s'invite dans le lit conjugal !

Orgie / Partouze
En s’habillant pour la soirée, son mari lui ayant dit qu’il ramènerait quelqu’un, elle repensait au déroulé de la journée... C’est vêtue d’une jupe très courte, noire sur des bas résille blancs, qu’elle se promenait dans les rues au bras de son mari ; celui-ci, au regard de la saison, lui avait laissé revêtir un long manteau en laine grise qui protégeait un peu son intimité. Car Cecile ne portait rien sous la jupe, elle avait la chatte à l’air, ses pointes de seins et ses aréoles bien visibles sous le chemisier blanc, presque transparent, et ses jarretelles qui se montraient dès qu’elle marchait un peu nerveusement. Aussi devait-elle faire très attention au moindre de ses gestes !
Arrivés dans un restaurant, ils s’assirent au milieu de la salle, et il demanda à sa femme de retirer son manteau. Cécile le fit, étant sûre que tous les regards masculins de la salle allaient être fixés sur sa plastique. Debout, regardant autour d’elle, un peu honteuse, mais également excitée, elle constata, au regard graveleux des hommes présents, qu’ils avaient bien compris le jeu joué par le couple. Mais qu’aurait-elle pu espérer d’autre, en s’exhibant dans un chemisier serré, qui lui faisait ressortir ses pointes de seins, et une jupe moulante, qui dessinait à la perfection sa chute de reins divine ?!
Un jeune serveur se précipita pour la débarrasser du manteau, lorgnant au passage ses seins, au travers du tissu du chemisier, et ses cuisses, dont le liseré du porte-jarretelles apparaissait. Il fut tout sourire et charmant durant toute la soirée.Ici encore, le mari fit un peu boire sa femme pour que celle-ci se désinhibât et présentât ses charmes aux autres convives. Et certes, sa femme ne se souciait plus de présenter son sexe, au pubis poilu, à la vulve bien visible sous la jupe, pour tous ceux qui voulaient bien se donner la peine d’un coup d’œil indiscret sous leur table !Ils ne furent pas déçus. Alors l’alcool aidant, Cecile se moqua carrément d’être attention triviale des autres hommes. Au contraire, le fait d’être exhibée ainsi par son mari lui apporta une grande chaleur interne, et une excitation telle, qu’elle n’en avait pas connue depuis bien longtemps !Le reste de la journée s’était déroulé sans péripéties remarquables...

Elle avait remis un coup de jeune à son maquillage, dans sa salle de bain, et toujours en petite jupe noire avec son porte-jarretelles et ses bas résille blancs, elle attendait le retour de son mari !Son mari rentra avec une femme qu’il tenait par la taille. Cécile en conçut tout de suite une terrible jalousie ! Il la propulsa dans la pièce après lui avoir décoché une tape sur les fesses, et la présenta à sa femme :
” Ma chérie, voici Françoise, une amie de longue date ! Son mari n’est plus en très bonne santé, alors c’est moi qui m’occupe d’égayer ses journées de retraite. Mais Françoise n’est par contre pas à la retraite dans un domaine ! " dit-il, en lui roulant une pelle !
Cécile n’en revenait pas, son mari avait décidé de l’humilier en amenant une femme qui était certainement sa maîtresse ! Mais quelle honte ! Elle en avait les larmes aux yeux ! Elle alla embrasser son mari et puis fit la bise à l’étrangère, en lui passant sa main sur la hanche. Elle voulait prouver à son mari qu’elle n’était pas aussi gourgandine qu’il pouvait le penser ! De toute façon, elle savait qu’elle passerait à la casserole, et qu’elle se ferait baiser par son mari... et cette femme ? Sinon pourquoi la lui aurait-il amenée ?
Certes Cécile n’avait jamais connu le plaisir des femmes, mais il lui en avait parlé lors de leurs nuits d’amour, et elle savait qu’elle goûterait bientôt aux charmes d’une femme. Cela l’inquiétait un peu, mais après tout... pourquoi pas ? Et puis s’il fallait en passer par là pour le reconquérir...Elle s’attendait à ce que son mari lui demande d’aller dans la cuisine, et de ramener le plateau apéritif, mais pour ce faire, de retirer ses vêtements et d’apparaître en porte-jarretelles et bas, sexe et seins à l’air, à la merci de la femme, pour servir le couple. Elle était heureuse de se prêter au jeu et même... elle en concevait une grande excitation en pensant à son exhibition future !
Mais voilà, son mari ne donna aucune instruction. Il s’assit à côté de Françoise et commença à la tripoter et à l’embrasser à pleine bouche. Leurs baisers torrides duraient beaucoup trop longtemps pour les nerfs de la pauvre Cécile !Merde, quand allait-il lui demander de se foutre à poil, pour participer à un trio endiablé avec cette femme... mais rien, pensait-elle, très dépitée ! Alors que le matin, cette perspective la terrifiait, là, à ce moment, elle crevait d’envie de se déshabiller et d’apparaître nue à cette femme, qui pourrait profiter de son corps comme elle le voudrait !Le fait que son mari n’exigeât rien d’elle, préférant avoir les mains sur le corps de la rivale, la poussait à la perversion et à l’exhibition... exhibition qui l’aurait encore un peu dégoûtée dix heures plus tôt !

Alors, rongeant son frein, elle regarda avec intensité la femme. Elle avait entre 55 et 60 ans, difficile à dire ? Son visage, très beau était néanmoins constellé de légères rides. Elle était brune aux cheveux bouclés. Cecile se mit à imaginer sa chatte : était-elle rasée, ou alors le pubis avec une toison équivalente à sa chevelure noire de geai ? Et ses seins comment étaient-ils ? Si Cécile pouvait bien en juger, ils devaient être assez volumineux sans excès... en tout cas déjà plus que les siens !
Et puis Cecile se voyait déjà déboutonner le chemisier blanc de la femme, pour y trouver un soutien-gorge bien rempli par sa poitrine proéminente. Elle imaginait son mari lui ordonner de se mettre nue devant la femme, et de lui enlever son soutien-gorge et sa jupe de tailleur noire. Elle aurait ainsi accès à ses seins, qu’elle désirait pétrir, caresser, en titiller les pointes. Elle espérait que la femme s’occuperait de sa chatte, qu’elle lui caresserait le clitoris, et lui mettrait ses doigts dans sa fente. Elle en mouillait déjà d’envie !
Pourtant rien ! Son mari continuait d’embrasser la femme, de lui caresser ses seins par-dessus le tissu du chemisier, et de passer une main sous la jupe. Il lui caressait les cuisses et puis bientôt la chatte ! Cécile crevait de plus en plus de jalousie, et surtout se sentait frustrée du fait de se sentir inutile, d’être étrangère au couple, qui prenait déjà du plaisir ! Et puis son mari se leva et tira Françoise par la main, pour l’emmener dans l’escalier, vers la chambre !Il allait baiser la vieille dans leur lit, son lit à elle ; et il n’avait même pas levé un sourcil vers sa femme. Elle en aurait hurlé de dépit et de frustration. Elle se rassit dans le fauteuil en se demandant quoi faire ?
Et puis il y eut des rires féminins là-haut, et ensuite des soupirs de plaisir et puis encore des râles, et bientôt de véritables cris de jouissance ! Le mari baisait la vieille et la faisait déjà jouir ! Cela ne pouvait plus durer, Cécile monta les rejoindre pour une explication bien pesée !Son mari était nu, au-dessus de la femme, nue elle aussi, enfin plus exactement le soutien-gorge à peine baissé, avec son porte-jarretelles et ses bas gris. Elle avait ses jambes sur ses épaules et prenait un pied d’enfer à se faire démonter par ce vigoureux amant ! Cécile explosa :
" Putain, mais tu te fous de moi ! Tu me dis de me mettre sur mon 31, de porter cette jupe super sexy, de mettre un porte-jarretelles et des bas sans rien d’autre, que je vais devoir servir la personne invitée, cette vieille que tu baises sans pudeur dans notre lit ! La servir à poil... mais tu me laisses comme ça, comme une moins que rien ? Tu ne m’adresses même pas un ordre ? J’étais prête à faire tout ce que tu me demanderais. Mais là, j’en ai marre ! Marre, tu entends ! Je me casse ! Connard !
— Tu fermes ta gueule et tu regardes ! Et sois polie avec notre invitée s’il te plaît.” Dit le mari en lui jetant un air furieux et autoritaire.
Cécile sentit tout de suite sa colère s’évanouir devant ce regard autoritaire, elle se dit qu’elle était très mal placée pour exiger quoi que ce fut. Son mari semblait vraiment prendre un pied d’enfer à baiser la veille ! Elle ne le comprendrait jamais !

Alors elle regarda le couple s’envoyer en l’air, pendant qu’elle restait là, comme une conne ! Impavide et immobile dans son désespoir insondable. Elle ne savait pas quoi faire de nouveau. Elle s’aperçut qu’à présent, sans ordre de son mari, elle se retrouvait sans volonté propre ! Soumise, attendant avec impatience et avilissement chacun de ses ordres, même les plus bizarres !
Et puis ce fut l’explosion : le couple se mit à gémir de concert. Elle vit son mari relever le buste pour exhaler une plainte lubrique, tandis que Françoise ahanait et criait sans reprendre haleine. Les deux jouissaient en même temps !Son mari se retira de Françoise, la bite toujours bien dressée, et un filet de sperme s’en échappant. Françoise roula de son côté, les bras et les jambes en étoile... elle reprenait haleine. Elle avait le teint rouge, les yeux brillants, et du sperme s’écoulait de son sexe malmené. Cécile regarda alors la femme en porte-jarretelles, les cuisses encore fermes, de même que le ventre plat ; un sein était à moitié sorti du soutien-gorge, mais le téton était encore masqué par le tissu.
Mais c’est la chatte de Françoise qui obnubila Cécile. Le pubis était recouvert d’un épais duvet de poils bouclés noirs. Les lèvres étaient très rouges et proéminentes et son clitoris énorme !! Cecile se demanda comment ça faisait d’y mettre un doigt, de toucher les parties intimes de la femme offerte ; mais elle n’osait rien faire, elle attendait, le regard toujours fixé sur le sexe de la femme mature...Le mari sourit en regardant subrepticement sa femme jauger le sexe de Françoise, et dit à cette dernière :
" Alors comment tu la trouves ?
— Elle est plutôt jolie !— Elle te plaît alors... on a envie de se la faire, non ?? Tu veux qu’elle se foute à poil et qu’elle nous rejoigne ?? Ou alors ??
Tu penses à la même chose que moi ? Dit le mari, une lueur vicieuse dans le regard.
— Oui ! On la lui amène maintenant ?— C’est top ; rhabille-toi, on y va ! (Et apostrophant sa femme), toi, tu viens avec nous et pas de questions ! "
Cécile suivit servilement le couple. Françoise se rhabilla, enfin passa simplement son manteau gris sur son corps dénudé. Cécile se sentit frustrée de n’avoir plus la vue sur ce corps qui l’intéressait de plus en plus ! Ils gagnèrent la voiture.
— Elle peut monter avec moi derrière, dit Françoise avec excitation.— J’allais le proposer, amuse-toi bien !
Et le mari prit le volant tandis que la jeune et la vieille femme se posaient sur les sièges de derrière. Françoise ne mit pas la ceinture et obligea Cécile à faire de même. Elle lui attrapa le col de son manteau, tira son visage vers elle, et lui déposa un furtif baiser sur les lèvres. Cécile se laissa faire pour ne pas déclencher l’ire de son mari. La vieille avait des lèvres au goût de framboise, se dit-elle, et en fin de compte, ce n’était pas désagréable du tout !
Cécile regardait Françoise avec appréhension. Elle la savait nue sous son imperméable et cela lui causait de bizarres émois. En un sens, elle craignait de se retrouver à quelques centimètres de la vieille, contre son corps presque nu, et elle savait que son mari attendait des choses fort peu catholiques des deux femmes assises derrière... Mais aussi, elle ressentait une certaine excitation pour la suite des événements.
Françoise sans un mot, lui plaça sa main sur sa cuisse et elle la descendit jusque sur la lisière de son bas. Puis elle remonta sous la jupe atteignant la jarretelle et la peau nue. Cécile se laissait faire en retenant sa respiration. Elle savait ce qui allait lui arriver. Et effectivement, Françoise remonta sa main jusqu’au pli de cuisse, pour aller ensuite fureter sur son pubis. Elle glissa ses doigts sur le petit triangle de poils. Cécile sentait sa respiration s’accélérer. Elle s’étonna elle même. Elle laissait cette femme plus que mature farfouiller sous sa jupe, caresser son pubis... mais en plus, cela l’excitait !
Ensuite, elle sentit une main écarter ses cuisses jointes, pour ensuite venir caresser son pubis. La vieille joua dans les poils blonds légers et duveteux de la jeune femme.Elle lui prit sa main et la plaça d’office sur sa chatte à elle, les doigts sur l’épaisse toison de boucles brunes...
Et puis alors qu’elle attendait avec impatience et nervosité de sentir les doigts descendre entre ses cuisses pour atteindre son sexe, elle les retira. Cécile qui avait fermé les yeux pour mieux s’abandonner à la caresse saphique, les rouvrit et cria, alors que Françoise venait pénétrer en force sa vulve avec trois doigts ! Les deux femmes avaient chacune la main de l’autre sur sa chatte. La vieille joua avec les lèvres puis le clitoris, tirant une plainte sourde à Cécile, excitée à l’idée d’être caressée par une femme pour la première fois de sa vie !Elle vit alors la vieille desserrer la ceinture de son imperméable et exposer ses seins à la vue de la jeune femme ! Ceux-ci étaient bien fermes, plutôt gros avec des pointes qui se tendaient.
Puis Françoise ouvrit largement son manteau gris, présentant son ventre, son sexe, et sa poitrine bien ferme à la jeune femme. Alors Françoise saisit le visage de Cecile et le dirigea vers sa poitrine. Cecile etonnée, se laissa faire et se retrouva la bouche à quelques millimètres du sein droit. Elle n’eut qu’à ouvrir la bouche pour saisir le téton de ses lèvres, et se mit à sucer le sein comme un enfant. Elle lui donnait généreusement ses gros seins, que Cécile se mit à lécher et sucer, tandis qu’elle avait toujours sa main sur le pubis poilu de la brune !
Françoise laissa sa tête aller en arrière, et se mit à gémir doucement. Cécile enhardie, se mit à pétrir l’autre sein de sa main droite. Françoise pas en reste, repassa sa main sous la jupe de son amante, pour aller directement au sexe cette fois-ci. Cécile sentit les doigts lui pénétrer son vagin affamé de désir, et dilaté par l’excitation. Elle se laissa branler par la vieille, tandis qu’elle suçait et malaxait les seins de Françoise. Et puis les deux femmes se laissèrent aller à leurs instincts sexuels !
Cécile écarta un peu plus les pans de ‘l’imperméable pour accéder au sexe de son amante. Elle roulait ses doigts dans les poils noirs et soyeux, et se mit elle aussi à branler le sexe de la vieille. Françoise chercha la bouche de son amante, et leurs lèvres s’unirent, tandis que leurs doigts furetaient chacune dans la chatte de l’autre. Le mari, lui, surveillait dans le rétroviseur les deux femmes à moitié nues, qui s’embrassaient à pleine bouche, et se masturbaient réciproquement. Et puis la voiture stoppa et Cécile revint à la réalité, elle remit sa jupe en place et descendit de la voiture, suivant une Françoise excitée comme une puce, qui avait à peu près remis son imperméable.
Lorsque les deux pénétrèrent dans la maison, suivies du mari, elles arrivèrent dans un salon où un vieil homme, le mari de Françoise regardait la télévision.Étonné, il vit entrer sa femme bras dessus bras dessous avec le mari, puis vit la superbe créature blonde, Cécile, débarquer dans son salon. La jupe très courte, les bas résille blancs, et le chemisier blanc de la jeune femme éveillèrent tout de suite son attention.Françoise, s’adressant à Cécile, lui dit :
“ Mon mari ne peut plus me baiser, alors il accepte que je le sois par le tien. Mais nous avons estimé qu’il était plus juste qu’il profite de tes charmes... peut-être que ta jeunesse lui rendra quelque vigueur. “
Françoise déposa un chaste baiser sur le front de son mari, et lui dit :
" Regarde un peu ce qu’on t’amène ! Cécile, sa femme. Tu la connais déjà ! Tu peux lui faire tout ce que tu veux ! dit Françoise vicieusement en regardant la pauvre Cécile interloquée.

Cécile comprit tout de suite ; son mari qui baisait cette vieille voulait l’offrir au désir de son mari à elle. “ Quoi, pensa-t-elle ? Ils veulent que je m’offre à ce petit vieux ? Mais mon mari est cinglé, jamais je ne..."Cécile eut une réaction de dégoût tout d’abord, devant le personnage valétudinaire et cacochyme. Jamais elle ne se laisserait toucher par ce vieux débris. Et puis elle vit son mari ôter le pardessus de Françoise, et l’ayant mise nue avec simplement son porte-jarretelles, et ses bas, commencer à lui caresser les seins et sa chatte touffue de brune, devant son mari.
Quand elle vit les deux s’enlacer et s’embrasser fougueusement, elle en conçut quelque jalousie... surtout que Françoise avait osé sortir la queue bien bandée de son mari, et le branlait. Sous le coup de la jalousie et également excitée de voir les deux commencer à se chauffer complètement, elle se rapprocha du vieux... quand, elle sentit la main du vieux se poser sur sa jupe, à l’emplacement de son pubis ; aussitôt elle ressentit une grande vague d’excitation lui traverser le ventre.
Le vieux ne perdit pas de temps, il avait une main en train de palper le sexe de l’épouse du mari, immobile et servile, et de l’autre main il descendait déjà la fermeture sur le côté de la jupe, et déboutonnait le chemisier, pour laisser apparaître les petits seins de l’épouse soumise. Aussitôt, sa main prit possession du sein gauche. Et il se mit à le malaxer et le peloter, pour en saisir finalement le mamelon qu’il tritura avec une certaine vigueur. Cécile sentait ses seins gonfler, ainsi que les lèvres de son sexe ; elle n’y comprenait rien !
Le vieux la dégoûtait un peu, et pourtant son corps répondait à ses sollicitations, bientôt elle eut des images dans sa tête du vieux en train de la caresser à poil, lui fourrer ses doigts dans le sexe, et puis la baiser devant son mari ! Et elle sentit son sexe s’humidifier. Une fois de plus, elle sentait son animal intérieur reprendre le contrôle de son corps, et réclamer sa dose de luxure, comme un camé sa seringue. Elle comprit qu’elle était de plus en plus accro aux expériences sexuelles incongrues que lui imposait son mari, c’était justement l’étrangeté et le côté pervers de ces expériences qui l’excitait tant !Alors elle se laissa déshabiller à moitié par le vieux, de façon assez malhabile, car celui-ci avait une mobilité réduite, sous les yeux du mari et de Françoise qui recommençait à s’exciter.

Le mari qui avait placé Françoise, les cuisses écartées sur le fauteuil, et qui allait la pénétrer sous les yeux de sa femme et du mari de Françoise, la regarda se faire tripoter la chatte et les seins par le vieux et lui dit :
— Plaque-toi contre le mur et débloque-toi. Je veux que tu sois à poil devant lui et que tu te caresses pour l’exciter !
Cécile obéit, et jetant des regards brûlants au vieux, dégrafa consciencieusement les boutons de son chemisier, fit sortir ses seins aux pointes turgescentes, pour se les caresser et enfin dézippa sa courte jupe, qui tomba à terre. Elle était nue devant le vieux, en porte-jarretelles et bas blancs. Le vieux avait le regard rivé sur son sexe.Le mari reprit la parole.
« Alain, tu veux baiser ma femme ?
— Oui, mais je pourrai pas...— Alors avale ça, avec un verre d’eau et rejoins-nous dans votre chambre. “
Le vieux avec ses deux pilules bleues de Viagra, alla chercher un verre d’eau dans la cuisine, tandis que le couple faisant avancer Cécile en lui donnant de petites tapes sur ses fesses nues, la dirigèrent vers la chambre des deux vieux.

Alors, tandis que le mari s’allongeait sur le lit, Françoise le chevaucha et vint diriger sa vulve brûlante vers son visage. Quand il commença à la gamahucher, Françoise se mit à gémir et crier de bonheur. Cecile de plus excitée par la situation voulait savoir comment réagirait son mari, quand elle ferait la même chose avec le vieux.Aussi quand celui-ci arriva, elle lui plongea directement la main dans son pantalon, et le lui enleva. Elle fut déçue par le sexe flavide et mou. Mais elle le fit allonger sur le dos, et comme sa rivale vint se placer le sexe sur le visage du vieux, qui ayant toujours une langue agile commença lui aussi, à lui sucer clitoris et lèvres. Elle jeta un regard de défi à Françoise, qui était très proche d’elle dans la même position. Celle-ci lui dit, entre deux gémissements de plaisir :
» Alors ça te plaît de voir ton mari me bouffer la chatte, tandis que le mien te bouffe la tienne ? «

Cécile répondit par un grand cri de plaisir, certainement un peu exagéré, mais elle voulait distancer la vieille dans la dépravation !Elle remuait du bassin pour bien sentir la langue du vieux qui explorait sa grotte. Avec l’excitation, la situation incongrue de voir son mari avec la chatte de la vieille sur son visage, celle-ci, qui gémissait et avait tous les stigmates du plaisir sexuel sur le visage, à quelques centimètres du sien, et le vieux qui devenait de plus en plus expert dans l’art de faire jouir une femme avec sa langue, Cecile sentait son ventre se contracter, toutes ses nymphes s’ouvrir et la cyprine qui commençait à lui dégouliner de sa chatte, de plus en plus ouverte !

Le vieux la buvait littéralement... était-ce son excitation à lui ? Car il voyait sa femme prendre de plus en plus de plaisir avec le mari, car elle était tournée vers lui, se faisant pénétrer le sexe par la langue de son jeune amant, tournée vers son visage, tandis que Cécile, elle, était à l’envers, présentant sa croupe aux yeux du vieux, et comme les deux hommes étaient placés tête-bêche, ils avaient la possibilité de bien voir les expressions de jouissance de leur femme. Toujours est-il qu’il sentit la vigueur renaître dans sa verge. Cecile, émerveillée, voyait le braquemart du vieux s’éveiller à la vie, et se dresser majestueusement vers le ciel. Elle se pencha en avant, et tandis que la vieille l’observait faire, elle attrapa le sexe turgescent avec sa main, et se pencha au maximum, gardant bien toujours son sexe à elle en contact avec la langue du vieux, elle présenta ses lèvres sur son gland.
Elle se mit à le sucer, sentant le vieux plus que réagir à ses caresses buccales ! Jamais elle n’aurait imaginé faire un 69 avec un vieux croulant, mais c’était quand même ce qui lui arrivait ! Cela l’excita encore plus. Elle finit par avoir un orgasme grâce à la bouche du vieux, qui lui dévorait la chatte. Alors elle vint se placer, la chatte directement sur le “vit” du vieux, et s’empala dessus. Elle était alors accroupie, quasiment contre la vieille, qui chevauchait toujours la bouche de son mari. Avec un air de défi, elle attira le visage de sa rivale vers le sien, et lui roula un patin bien baveux. En lui caressant les seins. Françoise eut un orgasme foudroyant qui la laissa chancelante.
Faisant bouger son amant pour rester à portée des lèvres de Cécile, elle s’empala elle aussi sur le "vit" du mari ! Les deux femmes jouissaient, chacune sur le sexe bien bandé du mari de l’autre, se dévorant des yeux et s’embrassant fougueusement. Quand les deux hommes eurent joui à leur tour, elles se dégagèrent d’eux, et s’enlaçant, firent l’amour sous le regard nerveux des deux hommes. Cécile caressait les seins bien volumineux de la vieille, tandis qu’elle caressait le pubis et faisait pénétrer des doigts dans la chatte dégoulinante de mouille. Les deux femmes eurent bientôt trois doigts engagés dans la chatte de l’autre, tandis qu’elles s’embrassaient toujours fougueusement, se pinçant les tétons et se malmenant mutuellement les seins ! Elles eurent beaucoup de plaisir saphique, surtout quand elles se placèrent tête-bêche en 69, pour se dévorer mutuellement leurs chattes assoiffées !

Cette expérience sexuelle un peu spéciale devait rester longtemps dans la mémoire de Cécile, et il y eut d’autres parties carrées avec Cécile et le mari de Françoise, qui avait retrouvé sa vigueur sexuelle grâce au Viagra, et aux sucs du vagin de la jeune femme... mais le mari préparait déjà d’autres choses un peu plus crades, pour circonvenir un peu plus son épouse jadis désobéissante !
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