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Le collier de la "chienne" !

Chapitre 5

…mais l’est-elle toujours ??

SM / Fétichisme
La première note qui le surprit, fut les cris de son épouse... Sur le coup il s’inquiéta un peu. Cécile D avait-elle déjà sorti son attirail de la mallette noire et commencé ses noirs desseins sans lui ?? Mais non, c’était des cris de plaisir et de jouissance...les cris de douleur viendraient après ! Et il reconnut avec satisfaction la voix de sa femme ! Elle gémissait et ahanait joyeusement...certes l’expérience lesbienne avec sa copine Françoise avait porté ses fruits : sa femme prenait autant de plaisir avec une femme qu’avec un homme !
Il ne fut pas déçu en arrivant dans le salon, sa femme ne s’était pas dégonflée et avait accepté avec plaisir une séance d’amour lesbien avec son ancienne copine de fac.

Cécile avait les bras au-dessus de sa tête, et se tenait alanguie sur le sofa, ses cuisses bien écartées. Sa robe en strech rouge était remontée au niveau de son ventre, laissant apparaitre son porte-jarretelles Aubade noir, avec son liseré rouge, les attaches de ses bas gris et sa petite toison de blonde vénitienne. Cécile D quant à elle, était à genoux devant elle, et les deux mains reposant sur les seins de son épouse, avait sa tête enfouie entre ses cuisses. Elle lui léchait copieusement son sexe bien ouvert et particulierment juteux. Cécile D, en grande connaisseuse de la jouissance des femmes, jouait de la langue et parfois des doigts pour faire gémir et crier son amie, comme une virtuose aurait tiré des accords mélodieux d’un Stradivarius.
Au final, aprés cette séance de gamahuchage expert, sa femme émit un cri rauque, et le mari qui regardait toujours la scène avec attention, comprit que son épouse allait avoir un orgasme particuliérement exceptionnel. Peut-être le fait de se faire lécher la chatte par une femme qu’elle avait toujours connue, avec qui elle avait partagé tant de moments d’amitié conventionnelle, avait-il éveillé chez elle un fantasme ancien. Quoiqu’il en soit, Cécile eut effectivement un orgasme qui la fit se tordre de plaisir, si bien que Cécile D dut retirer son visage du sexe de son amie, pour laisser les soubressauts de son ventre la conduire à l’extase.

Quand Cecile eut recupéré, elle ouvrit les yeux pour découvrir son mari droit devant elle, avec un air à la fois autoritaire et salace qu’elle lui connaissait bien, le collier large de cuir noir dans les mains. Elle comprit que les choses sérieuses allaient commencer. Ce n’était donc pas simplement pour une séance de sexe entre filles que son mari avait fait venir son ancienne camarade de fac ; mais alors quoi ?? Quand Cécile croisa le regard de son amie, qui venait de lui donner tant de plaisir feminin, elle prit peur. Elle lui découvrit sur le visage une expression étrange qu’elle ne lui connaissait pas…un mélange d’excitation et de dureté étrange, presque cruelle. Qu’avaient donc en tête ses deux vis à vis, se demanda Cécile en plaçant elle-même le collier de la chienne sur son cou, en le refermant et en en serrant les sangles.

De nouveau elle se retrouvait prisonnière des fantasmes étranges et inattendus de son mari. A nouveau, comme d’habitude, une terreur démentielle s’emparait d’elle en même temps qu’une boule se formait dans son estomac. Tous ses sens étaient à nouveau en éveil.Un mélange de crainte devant l’inconnu et un désir démentiel de dépravation la prenait aux tripes. Avec effroi, elle se rendit compte qu’une fois de plus elle ne s’appartenait plus. Ce n’était pas tant les désirs souvent très pervers et vicieux de son mari qui l’inquiétaient, mais plutôt cette soif de luxure démentielle qui s’emparait d’elle.
Comme d’habitude, elle savait que quoi qu’on puisse lui demander, elle l’accepterait avec soumission et en retirerait une jouissance à chaque fois accrue. Parfois, elle se demandait jusqu’où ce jeu pervers irait. Quelles limites pourrait bien lui imposer son mari ??Mais le problème n’était pas là. La question qui la dévorait de l’intérieur était : quelle perversion pourrait-elle bien refuser sans en ressentir une frustration intense ? A quel moment pourrait-elle bien reprendre le contrôle de ses sens et de sa sexualité ?? Cécile se sentait pris dans un tourbillon diabolique, où, à chaque fois elle s’enfonçait un peu plus loin…et où à chaque fois elle prenait de plus en plus de plaisir…alors… quand aurait-elle la volonté de dire stop ??
Elle se sentait comme une junkie, qui devait à chaque fois prendre une dose de drogue plus importante. Elle était accro non seulement au sexe mais aux perversions de son mari…et elle ne savait pas comment en sortir !!Une fois debout, le collier sur le cou et la tête courbée en signe de soumission, devant son mari et Cécile D, son mari lui dit au creux de l’oreille :
" Tu sais ce que tu as à faire, tu vas organiser le service de la façon que tu imagines, tu dois obéir au doigt et à l’œil à Cécile D, ta maîtresse d’un soir. Aucune hésitation ne sera tolérée, sinon tu connais la sanction ??
— Oui, je suis libre de partir, tu assureras ma subsistance, mais alors je ne serai plus ton esclave attentionnée.
— Oui, si c’est ton choix, Françoise ou même Cécile D, ou encore une autre te remplacera dans ce rôle…
— Je ne te décevrai pas, ni toi maîtresse, " dit-elle avec soumission à Cécile D

Celle-ci acquiesça avec raideur, le regard illuminé d’une concupiscence associée à un sadisme extrême. Ce regard tétanisa l’épouse. Elle connut une terreur telle, qu’elle aurait aimé avoir la force de s’enfuir, pour se réfugier dans sa chambre sous les couvertures. Mais l’appel de la luxure et la soif de l’inconnu étaient trop puissants ! Cécile attendait sa nouvelle dose de dépravation avec avidité…

Le mari et Cécile D s’installèrent à table, dans la salle à manger comme un couple normal. Ils échangèrent des propos anodins. Et puis arriva l’épouse, qui portait avec grâce un plateau de fruits de mer, elle servit les deux convives avec professionnalisme et attention comme n’importe quelle domestique stylée d’une maison bourgeoise. La seule différence était que l’épouse n’avait conservé que ses escarpins vernis noirs, ses bas gris décorés si couteux , son porte-jarretelles Aubade noir au liseré rouge, et bien évidemment son collier de chienne autour du cou. A part cela, elle était complètement nue. Elle offrait son corps parfait à la vue de Cécile D.Celle-ci la regarda en détail, avec presque un dédain affiché ; elle en avisa le mari.
“ Ouais, elle est pas mal…pas un pouce de graisse aprés toutes ces années, de jolies cuisses, une belle chatte bien taillée, une fente accueillante, d’ailleurs elle a très bon goût ta femme, des nuances de cumin, de paprika et d’autres épices... Elle n’a pas les relents d’une poissonnière, comme certaines que j’entreprends…un bon point pour elle. Mais elle mouille peu en définitive. J’aurais pensé, au vu de sa misérable vue sexuelle récente, qu’un gamahuchage en règle avec une pro comme moi, aurait pu en faire une femme fontaine…mais rien. Pourtant je n’ai pas été avare sur la gymnastique avec ma langue !J’avoue être un peu déçue. Et puis elle n’a pas trop de poitrine.Ses seins sont beaux mais sans plus ; moi j’aime bien les poitrines que l’on peut pétrir avec fougue, les seins que l’on peut recouvrir de pinces à linge bien serrées. Avec elle, ce ne sera presque pas possible. Au final je me demande si je ne vais pas vous laisser tous les deux, une fois le repas terminé. J’ai à peine envie de la tripoter quand elle vient me servir… un comble !!
— Ecoute Cécile, donne-lui au moins une chance !! Je suis certain que quand tu l’auras entreprise, elle te donnera entière satisfaction. Elle ne sait rien de ce qui l’attend et n’a jamais testé le contenu de ta mallette ! Ce sera une surprise entière pour elle !! C’est déjà plutôt excitant ça ? Non ??
— Bon on verra ! Approche toi conasse ! "

Cécile obéit à l’ordre, et se tint servilement nue devant Cécile D, les deux mains croisées derrière ses fesses.Cécile D lui flatta la croupe comme à une jument, et lui mit deux doigts directement dans sa vulve. Cécile eut un haut le corps devant l’intromission inattendue et plutôt brutale.

" Hummm…plutôt timide, la salope !! Tu aimes ça, te faire doigter par ta meilleure copine de fac. Ça te plait d’avoir plusieurs doigts dans la chatte ?? " Dit-elle en lui en mettant un troisième. Le sexe dégoulinant de cyprine émettait des clapotis, tandis que les 3 doigts jouaient dans le sexe offert, écartant chaque fois un peu plus les lèvres.Cécile gémissait, tandis que son mari se régalait de voir le sexe de sa femme malmené par leur invitée d’un soir.
" Elle mouille bien à présent ta salope, elle a le sexe en feu…j’ai une idee pour éteindre l’incendie dans sa chatte. Tu permets ? Dit-elle, en envoyant un regard vicieux au mari, et en tendant la main vers la bouteille de whisky et le seau à glace.
— Mais je t’en prie, répondit le mari, qui avait compris les intentions de Cécile D. Honneur aux invitées !! "

Cécile n’avait pas compris les intentions de son amie, surtout qu’elle s’était vue dans l’obligation de fermer les yeux. Aussi poussa-t’elle un grand cri, quand Cécile D, ayant saisi un gros glaçon, le trempa dans le whisky, et l’enfonca sans menagements dans le sexe de la pauvre Cécile. Celle-ci, sous le coup de la surprise, le laissa choir sur le sol.
" Salope !! Cria sa tortionnaire, qui le lui remit dans la chatte, en y joignant un deuxième. A chaque fois que tu le laisseras tomber, tu en auras un autre, et j’en ai rien à foutre que je doive t’en coller 10 dans ta chatte de pute !! Lui dit-elle, l’air mauvais. Tu les garderas jusqu’à ce qu’ils soient fondus !!
— Oui Cécile.
— Non, oui madame !! Répliqua-t-elle, en lui cinglant un sein du plat de la main.
— Oui madame ", souffla Cécile, en baissant la tête.

Serrant les fesses et les muscles du périnée, Cécile assura le service en gémissant. Parfois elle grimaçait en se reprenant à chaque fois qu’elle croisait le regard noir de son "amie". Pourtant, très vite, elle ressentit une euphorie bizarre et puis carément une sorte d’ivresse, qui lui faisait beaucoup mieux supporter la morsure des glaçons dans son sexe. Un sourire béat apparaissait sur ses lèvres.

" Cécile approche, ordonna Cécile D.
— Oui madame, répondit en gloussant l’épouse
— Elle tient toujours aussi mal l’alcool, à ce que je vois, dit-elle en regardant le mari, qui acquiesça. On va voir. Tu es d’accord salope ?? Décocha celle-ci en lui tirant sur les cheveux. Dis-moi, à ton avis est-ce que les glaçons ont fondu ? D’après les filets d’eau à l’intérieur de tes cuisses, je pense que oui…monte sur la table.
— Sur la table ?? Madame ?? Interrogea Cécile, en gloussant de plus belle.
— Oui, couche-toi sur le dos face à moi et écarte bien les cuisses. Bien, à présent, saisis tes chevilles et remonte-les vers ta poitrine."

Cécile s’installa donc sur la table, dans la position très humiliante que lui avait ordonnée Cécile D. Non loin de son assiette !Cette dernière avait donc presque sous le nez le sexe béant de son ancienne camarade.
— Maintenant, une petite colle pour ma soumise. A ton avis, combien de crevettes peuvent rentrer dans une moule bien juteuse…allez réponds ! Cria presque Cecile D, devant l’air ahuri de la jeune femme.
— Ah ah, celle-là, elle est bien bonne,  acquiesça le mari. Cécile, où vas-tu chercher tout ça ??
— Je suis sûre qu’elle n’a pas compris !!
— Moi aussi, renchérit le mari…alors ma chérie, quelle est la réponse ?
— Je ne sais pas ?
— Tu veux savoir, dit Cécile D avec douceur.
— Ben oui.
— Alors faut essayer !! Lève ton buste et décontracte toi bien, ordonna Cécile D à sa soumise, qui n’avait toujours pas compris.
Et Cécile D commenca à prendre de petites crevettes d’environ 4 centimètres de longueur, et en fit rentrer une dans le sexe bien ouvert de l’épouse. Celle-ci gloussa derechef.
— On dirait qu’elle aime ça, cette cinglée…" réagit la tortionnaire.

Et le remplissage continua, créant de plus en plus de malaise chez la pauvre épouse. Car les crevettes qui s’amoncelaient dans sa chatte, commençaient à lui causer un inconfort, quand les antennes ou les pattes venaient écorcher les parois de son vagin, et ses lèvres intimes. Arrivée à 12 crevettes, elle demanda pitié, suppliant sa tortionnaire de cesser le jeu.

" Bien, alors tu vas te lever et marcher dans la pièce, en veillant bien à conserver ces crustacés dans ton intimité. Sinon..."

Le mari et Cécile D regardaient avec moquerie la pauvre épouse, qui se leva précautionneusement de la table, et marcha avec prudence et lenteur. Ayant fait 5 fois le tour de la table et des 2 convives, l’épouse supplia son mari qu’on lui enlevât les crevettes.
" Tu vois ça avec ta maîtresse, répondit laconiquement le mari. De toute façon, je pense qu’il est temps de passer aux choses sérieuses. Ne penses-tu pas ?? Dit-il en s’adressant à son vis à vis.
— Oui tu as raison. Bon approche putain. Promets-moi que tu accepteras tous mes caprices si je t’enlève ce que tu as entre les cuisses ??
— Oui madame, par pitié.
— Tout ??
— Oui madame, tout ce que vous aurez envie de faire de moi.
— Humm tu sais que tu m’excites, toi ?? Bon allez , sur la table. "

Et l’épouse se repositionna comme précédemment, et docilement ouvrit ses cuisses au maximum. Elle découvrit sa fente qui dégoulinait de cyprine, avec des antennes et des pattes de crustacés dépassant d’entre ses lèvres intimes. Cécile D allait enlever la première crevette, puis se ravisa.

" Mais d’abord une question. As-tu aimé ce traitement outrageant et dégradant ??
— Oui madame...
— Tu aimes être maltraitée et dégradée. Et en même temps cela te fait peur, n’est-ce pas ??
— Oui madame, souffla Cécile, d’une voix rauque.
— Et bien c’est parfait, tu avais raison, c’est une excellente soumise ! Dit-elle en regardant le mari. Il y a quand même un truc que je regrette...
— Quoi donc ?? Rétorqua le mari, un peu interloqué.
— C’est de ne pas lui avoir rempli la chatte avec des trucs vivants ! Cela aurait été beaucoup plus excitant ! Qu’en penses-tu petite trainée, Dit Cécile D, en prenant le menton de sa soumise et en plaçant son autre main sur sa fente.
— Je...je ne sais pas madame... répondit l’épouse, en tremblant.
— Ah !! S’écria la tortionnaire. Elle se ferait presque dessus tellement elle a la trouille, et pourtant elle vient d’expulser un gros filet de cyprine !!Ah les femmes ! Toujours l’ambivalence entre la crainte et l’envie du plaisir malsain... ça m’émoustillera toujours ! Avec les hommes c’est beaucoup moins drôle !! Bon, tu veux savoir ce qu’il y a dans la mallette noire ??
— Oui..." répondit timidement Cécile la soumise, en se disant qu’elle aurait dû dire non...mais le désir dans son ventre était trop puissant !!
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