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Ma colocation avec une femme mariée

Chapitre 1

La rencontre

Avec plusieurs femmes
Ça y est... J’ai eu mon bac ! Fini le lycée ! J’avais une de ces peurs de redoubler ! Maintenant je dois aller en études supérieures. Après plusieurs refus de la part des facs où j’ai postulé, une école à finalement donné une réponse affirmative. Yes ! Le problème, c’est que cette école est à Paris, or j’habite dans une province vers l’ouest de la France. Me séparer de mon domicile et de ma chère petite maman ne me dérange pas, au contraire je suis content de quitter ce trou à rat ! Mon problème est que j’ai peur de l’inconnu, aller vivre dans une nouvelle ville du jour au lendemain et changer les habitudes me fait peur...
Heureusement je peux avoir un habitat pour pas cher. A Paris si on n’a pas de bonne relation pour faire une collocation on aura du mal à se démerder seul. Heureusement j’ai découvert un site Internet qui résolvait ce problème financier. C’est un genre de site de rencontre, qui propose d’aider les étudiants à trouver un logement. Le concept est de faire rencontrer des étudiants à des personnes vivant seules, ça ressemble au viager mais c’est gratuit pour l’étudiant, car ce sont souvent de personnes riches qui postulent sur ce site. Une sorte de coloc mais pas avec des gens de mon âge... Une seule personne, correspondant aux critères que j’ai demandés, m’a contacté. Du peu que j’ai entendu, c’est une femme, surement une petite vielle, veuve, pourrissant dans son canapé, à la santé fragile...
Mon école est une école réputée de technologie, qui se trouve dans le 16e arrondissement. J’ai eu de la chance qu’ils acceptent un élève venant d’une ville aussi pommée que la mienne, j’arrive à l’adresse de mon futur hébergement. J’ai peur de rencontrer la proprio, surement une grand-mère aigrie qui me dira : "Vous les jeunes, vous ne savez pas vous débrouiller seuls ! De mon temps je mangeais des cailloux et j’étais contente ! "
Je toque...
*TOC TOC TOC*
La porte s’ouvre...
-Bonjour !
Je découvre une femme, la quarantaine, ouf... C’est une belle brune, elle a une coupe de cheveux qui me rappelle les ménagères de moins de 50 ans dans les pubs des années 40. Son visage est fin, une bouche fine, yeux verts, très peu de rides. Elle fait jeune, et elle est jolie !
— Oui bonjour ! Dis-je.
Elle est plus petite que moi, en même temps je suis grand... Elle porte une robe jaune. Et... J’ai des hormones... Je me permets de regarder son corps, sa taille est sans bourrelet, la jupe de sa robe ne me permet pas de distinguer correctement ses fesses, mais son décolleté en dévoile beaucoup... Ils sont gros ! Et elle sait les mettre correctement en valeur ! De ma haute taille j’ai une vue plongeante là-dessus. De plus elle porte une ceinture haute qui arrive juste en dessous de ses ballons, ce qui les rend que plus gros.
— Vous devez être l’étudiant qui m’a contacté il y a un mois ! — C’est ça, je m’appelle Carl ! — Laurine ! Vous avez quel âge ?— 19 ans. Et vous ? — Je vous fais visiter la maison ?!

Voilà que Popol pointe le bout de son nez, mince. Je dois me concentrer et ne pas y penser, je suis pas là pour ça ! Elle a pas répondu à ma question… Peut-être ne veut-elle pas le dire.
— Oui allez-y !
Elle se retourne, pour me faire visiter. Je regarde ses fesses. Elles ont l’air ferme... Je crois...
La maison est grande, avec une tapisserie, des tableaux, une table en verre, un grand canapé, une cuisine avec un bar et un escalier qui mène à l’étage. Nous montons. L’étage est plus petit, avec deux chambres dont une reliée directement à la salle de bain.
-Vous êtes mariée ? — Oui mais il est parti rejoindre mon fils en Amérique pendant un an... Dit-elle d’un air triste. — Donc vous vivez seule... -Plus maintenant ! ajoute-t-elle en rigolant.
Elle a un gosse et elle est mariée, dommage, je pourrais donc pas… Mais à quoi je pense moi ?! On me met une grosse paire devant mes yeux et je me mets à m’imaginer des scènes.Elle est partie faire le dîner me laissant seul dans ma chambre. Je m’allonge sur le grand lit, et repense au corps de Laurine, cette année risque d’être paradisiaque…
Je descends la rejoindre dans la cuisine. Elle est en train de mélanger quelque chose dans un saladier, sûrement une mayonnaise. Tout son corps remue au rythme du mélange. Ses fesses s’agitent de gauche à droite. Un peu de mayo saute du plat et tombe juste entre ses deux bouées. Je ne peux pas détourner mes yeux de ce spectacle ! La voir suer de plus en plus sur son visage et sur son corps ! Elle me remarque, me sourit et me jette un clin d’œil. Popol n’en peut plus…
— Vous aimez faire la cuisine ? Dis-je en espérant me calmer.— Oui j’en fais depuis mon plus jeune âge ! répond-elle.
On mange dans une grande table ronde au milieu du salon. C’est hyper bon ! Je ne détourne pas les yeux de mon assiette, si ce n’est quelques coups d’œil sur le décolleté de Laurine.
Je lui ai parlé de l’école où je vais, de ma ville d’origine, de ma famille, etc. Elle ne m’a pas dit grand-chose, elle travaille à mi-temps comme coiffeuse, et elle a toujours vécu dans les quartiers riches de Paris. Elle me prévient qu’elle a des copines qui pourront venir boire un café de temps en temps.
Il commence à se faire tard et j’ai envie d’être en pleine forme pour commander ces études sup. Je pars donc me coucher.
Je fais un rêve érotique au Laurine était dedans avec d’autres filles. Une sorte de partouze…
Je me réveille, avec la gaule du matin, comme ce soir j’ai eu chaud je me suis endormi nu. Je m’habille, descends, et découvre Laurine en train de faire des crêpes. Elle est déjà coiffée, maquillée, et habillée, alors qu’il est six heures du matin ! Elle porte une robe violette à pois rouges sans décolleté, mais toujours avec cette grosse ceinture haute qui lui arrive sous les seins. La robe est moulante aussi.
Elle me salue et me demande de m’asseoir sur la table de la cuisine, la vaisselle est déjà installée. Pendant une demi-seconde ses obus étaient à côté de ma tête pendant qu’elle me servait les crêpes. Une fois mon plat fini je sors précipitamment dehors pour aller dans l’école, précédé d’un bref « Au revoir » timide. Je dois vite me changer les idées… Mais pendant toute la journée mes pensées sont prises par cette Laurine.
Je dois tenter un truc…
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