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La Coloc’

Chapitre 5

Gay
Sébastien revient dans la salle de réunion, accompagné de mes deux nouveaux coloc’s et amis. En fait, je ne sais pas encore ce que seront nos relations, mais j’ai envie que tout se passe bien avec Nicolas et Marc. Je mettrais d’ailleurs bien les deux dans mon lit.Pendant la lecture du bail et les signatures, j’admire les traits fins et la virilité douce de Sébastien. Je suis obsédé par l’image que je dessine dans mon cerveau de ses petites fesses poilues cachées dans son costume et je l’imagine ouvrir son anus autant qu’il le peut alors qu’il me regarde dans les yeux avec insistance à chaque fois que nos regards se croisent. Je sens que ma queue libre dans mon pantalon en super 100 bien coupé mouille à nouveau à fond.
— Bon, je crois que tout y est. Voici vos clés.
Nous prenons chacun un trousseau des clés de notre nouvel univers. Je suis loin d’imaginer ce que sera la suite des événements...
— C’est comme vous voulez. Soit l’un de vous patiente un peu le temps de faire des photocopies et vous avez vos documents tout de suite, soit nous vous les envoyons par la poste en recommandé.
J’ai compris l’idée qui est derrière la tête de Sébastien.
— Je vais attendre, ça nous évitera d’aller chercher le recommandé à la poste si nous ne sommes pas là le jour de la distribution. Nicolas, Marc vous pouvez y aller si vous voulez.— Cool, OK, merci Julien. A demain alors pour ton emménagement. — OK, à demain. Bonne soirée.
Nicolas est le premier à partir, suivi de Marc. Nous restons seuls, Sébastien et moi.
— Je vais faire les photocopies.— Je viens avec toi.
Le photocopieur est dans un local sans fenêtre, un peu à l’écart. Sébastien semble se concentrer sur le choix des documents à copier et le réglage de la machine pour sortir plusieurs exemplaires. Sans me regarder, il me parle d’une voix que je ressens comme chargée de désir...
— J’ai la chatte en feu.
Je ne suis pas sûr d’avoir compris... Il se penche sur la machine et pose ses mains sur ses fesses comme s’il allait les écarter alors que le tissu de son costume entrave ses mouvements.

— Lèche-moi Julien, je t’en supplie.
Je ne me fais pas prier, je m’agenouille derrière lui pendant qu’il lance les copies en série et pose ma langue sur le tissu de son costume le long de sa raie offerte.
— Oh putain c’est bon ! Encore !
Il est dans un état second et j’entends le bruit de la boucle de sa ceinture contre le photocopieur. En un éclair, son pantalon tombe sur ses chevilles et ma langue se retrouve au paradis, perdue dans la forêt touffue et moite qui habille le sillon divin qui sépare ses fesses couvertes d’une fourrure douce et brillante dans la lumière artificielle de la pièce surchauffée.
— Ouiii Julien, bouffe-moi le cul, bouffe ma petite chatte.
Il est décidément très en forme et il commence à me faire perdre mes moyens. J’ai une furieuse envie de le baiser, là, sur le Xerox, mais je ne suis pas sûr que nous sommes seuls...
— J’ai envie de te baiser.— Ouiii, vas-y, prends-moi.— Mais... on est tranquilles là ?— Ouiiii, j’ai vérifié... ils sont tous partis. Donne-moi ta queue, vite, j’ai trop envie.
Ses mots me troublent et je sens mon érection à la hauteur des circonstances. Je fouille dans la poche de mon pantalon, trouve une capote que je déroule rapidement sur ma queue déjà trempée de mon lubrifiant. Mon costume est bon pour le pressing.Je laisse couler quelques longs jets de salive dans la raie de mon petit Sébastien et je pars à l’aventure entre ses fesses, à l’instinct. Je n’ai pas repéré les lieux avant. J’avance mon gland dans la forêt de poils, je tâtonne un peu, le trou n’est pas là, plus bas, plus haut, puis soudain c’est comme la lumière au bout du tunnel, je sens une ouverture et les muscles de son anus avalent mon pénis avec ce que je ressens comme une étrange complicité. Je m’enfonce sans effort dans la forêt douce et bientôt je suis tout entier dans le corps de Sébatien, couché sur le photocopieur, la tête sur la vitre, tournée sur le côté, et ses yeux rieurs et lubriques qui jouent avec les miens.
— Baise-moi bien mon Julien.— Oui Seb, je vais bien te baiser...
J’ai l’impression de tomber amoureux et en même temps, je le pilonne avec énergie, comme s’il n’était qu’une rencontre furtive due au hasard de regards échangés sur un trottoir ou dans une rame de métro.
— J’aime ta queue, j’aime comme tu me prends.
Je transpire, je sens le plaisir monter. Je ne sais pas quoi faire, l’embrasser pour lui dire mon cœur qui chavire ou inonder le préservatif au fond de son trou en me vidant l’esprit...
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