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La Coloc’

Chapitre 6

Gay
Finalement, mon corps décide et je jouis au fond de Sébastien, en ayant le sentiment que mon cerveau s’ouvre en deux pour accéder à des mondes inconnus. Je reste en lui et mon érection ne faiblit pas. D’habitude, je débande assez vite après avoir éjaculé, mais ce soir, je ne suis vraiment moi-même. Il m’excite trop probablement.
— OH OUI !!!!!
Il me sort de ma rêverie. Pendant que je restais dur dans sa chatte encore brulante de mes assauts, son plaisir a continué à monter et il a suffi que je bouge un peu pour que ma queue lui donne le signal qu’il attendait pour se répandre sur la façade du photocopieur. Les contractions de son sexe se transmettent au mien et sans les voir, j’imagine les giclées de son sperme qui s’écrasent sur les tiroirs qui contiennent différentes tailles de papier. Soudé à lui et enfoncé dans son trou, j’ai l’impression que c’est moi qui éjacule à nouveau. Je m’écrase contre son dos pour sentir chacune des vibrations qui lui traversent le corps alors qu’il jouit comme un animal sauvage.
— Oh putain ! c’est trop bon...
Je commence à avoir un peu mal au dos et je fais mine de me retirer de son trou.
— Nonnn, reste.— Je vais débander.— Reste... j’aime trop quand tu es en moi.
Rien que d’entendre ça, je sens ma queue durcir. Il a décidément un étrange pouvoir sur moi. Je l’embrasse dans le cou, sur les oreilles, je glisse ma langue sous le col de sa chemise pour lui dire toute la joie qu’il me donne. Mes mains caressent ses cuisses, puis je prends sa queue dans ma main droite, mouillée de son sperme épais et je caresse doucement son gland trempé.
— Nonnnn, pas ça... Il proteste, partagé entre le plaisir et la souffrance.
Je me penche pour lui parler à l’oreille.
— Siiiii, ça... j’aime ta queue.— Nonnnnn..... mummm c’est bon... nonnnnn... arrête...
Je continue à frotter le dessous de son gland contre la peau de mon index... ou plus exactement, je le frôle... et à chaque passage, sa queue épaisse se raidit davantage... Je tourne maintenant autour de la couronne de son gland et il continue à gémir et à bander. J’aimerais être sûr qu’il a craché tout son jus.
Alors je me retire de son anus, je me débarrasse de la capote lourde de ma semence et je le retourne pour qu’il soit face à moi. Il s’appuie, comme épuisé, les mains posées sur la vitre du photocopieur. Je m’agenouille et je pose son gros gland violacé sur ma langue comme sur un coussin de velours. Et j’attends la dernière goutte de son jus qui perle et disparaît sur ma langue. Ma main gauche serre sa queue à la base, dans un étau, et je suis surpris par sa dureté alors qu’il vient de jouir. J’ai envie qu’il me nourrisse ce soir. Mais Sébastien écarte ma main de son sexe. Il sait qu’il a besoin d’un peu de temps pour reprendre ses esprits. Je me relève et le regarde dans les yeux.
— Merci Sébastien.
Il sourit et approche mes lèvres des siennes.
— Tu es content de ton bail ?
Il m’amuse.
— Je suis très content de mon agence.— Cool, et plus précisément ?— Je suis très content du petit cul poilu dément de mon conseiller commercial.— Tant mieux. Il faut justifier les honoraires.
Nous nous embrassons longuement. Je ne sais pas s’il veut aller plus loin avec moi. Il faut que je repasse chez mon oncle et ma tante pour préparer mon déménagement. Nous continuons à blaguer sur le même ton, nous reprenons une allure présentable pour quitter l’agence que Sébastien ferme derrière nous. Subitement un peu gauches, nous nous quittons sur le trottoir. Je bande à fond, lui aussi, la lumière de la vitrine qui présente les offres d’appartements à vendre l’éclaire et je grave l’image de son visage et de la bosse tentatrice de son pantalon ajusté dans ma mémoire pour la nuit.
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