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La Coloc’

Chapitre 7

Gay
Après une soirée assez pénible chez mon oncle et ma tante, je me sens libéré et impatient de m’installer dans notre nouvel appartement. Nous nous sommes réparti les chambres sans difficulté, celle de Marc et à côté de la mienne, celle de Nicolas et la quatrième qui n’a pas encore d’occupant, un peu plus loin de l’autre côté du couloir qui tourne sur la droite. L’appartement est en forme de L avec un plan plutôt pratique pour une colocation.
Quand j’arrive avec mes premières affaires, mes deux colocataires viennent m’aider et au bout d’une petite heure, mes cartons sont déposés dans ma chambre.
Ce premier soir, je suis crevé et je décide de ne pas sortir. Marc est invité chez des amis et Nicolas a prévu de rester également. J’ai envie d’être seul et de réfléchir. Sébastien me plaît vraiment, mais je ne sais pas si le moment est propice aux sentiments. Il n’est peut-être intéressé que par des rencontres éphémères. Nicolas me trouble aussi et je suis assez excité par l’idée de partager le même appartement que lui. Une bande de garçons va probablement se créer des occasions de faire plus ample connaissance. Je me rends compte que je commence à me perdre dans un fantasme où mes colocataires ressemblent davantage à des stars du porno qu’à deux mecs avec qui je me contente pour le moment de partager un loyer.
Après avoir rapidement diné de ce que ma tante m’a donné au moment où je lui ai dit au revoir, je m’allonge sur mon lit. Pas envie de lire. Je me connecte à un de mes sites préférés et fais défiler sur ma tablette les photos de mecs nus et les vidéos gays qui s’enchaînent à un rythme accéléré compte tenu du grand nombre de blogs auxquels je me suis abonné. Je bande tout de suite devant les images de mecs poilus à poil que j’imagine sucer ou baiser avec ardeur.
Il fait assez chaud et je me fous à poil pour être plus à l’aise pour me masturber. Ma main va-et-vient sur ma queue dressée à la verticale et je joue avec mon prépuce. Je mouille un peu et une série de photos plus suggestives que les autres manque de me faire lâcher une première dose de lubrifiant. Je regarde plusieurs petites vidéos bien viriles. J’ai envie de jouir alors j’abandonne mon écran et je m’allonge totalement sur le dos pour laisser vagabonder mon imagination pendant que ma main précise ses mouvements sur mon pénis. Je sens ma verge prête à libérer quelques bons jets de sperme.
Je repense à Sébastien et à son petit cul que j’aimerais explorer de plus près. J’aimerais me réveiller tôt un matin contre lui, et glisser ma queue entre ses fesses alors qu’il serait encore à moitié endormi. Il ferait semblant ou pas de ne pas se rendre compte de ma présence dans son anus et je jouirai de le regarder, calme et heureux dans son sommeil, réel ou feint.
Encore quelques caresses vigoureuses sur mon sexe et j’arrose mon thorax de mon jus chaud et épais. J’aime cette sensation. Au début, mes poils amortissent le choc des jets qui s’écrasent jusque dans mon cou et je ne ressens pas grand-chose. Puis, au bout d’une minute ou deux, le sperme se liquéfie et coule sur ma peau.
Il faut que je me lave et je prends une serviette pour aller dans la salle de bain sans me balader totalement à poil dans les couloirs. Je prends une douche rapide pour me débarrasser des traces de ma semence avant qu’elle ne transforme en colle sur la toison taillée de mon torse.
Le lendemain matin, je me réveille dans ma nouvelle chambre. Je reprends mes esprits et pense à la communauté qui est en train de créer dans cet appartement dans lequel je me sens bien et presque comme libéré.
Je bande et je me masturbe en imaginant Nicolas et Luc sous la douche. J’hésite. Envie de passer dans le couloir devant la salle de bain et peut-être d’oser les rejoindre. Mais mes fantasmes ne sont pas la réalité. Je les imagine tous les deux nus sous la douche et je vois l’image se former dans mon imagination...
Luc est légèrement penché en avant, appuyé contre le mur en carrelage de la douche à l’italienne et Nicolas appuie son gland contre l’anus offert de son nouveau copain. Ils se sont savonnés mutuellement et la mousse parfumée facilite le frottement du gland brulant de mon coloc’ contre le trou velu du petit mec levé deux jours plus tôt. Ils jouent. La queue épaisse de Nicolas coulisse dans la raie poilue de Luc qui joue à accueillir le sexe dur de son ami entre ses fesses en se retenant de le prendre en lui malgré l’envie qui lui tenaille le ventre.
Nicolas caresse le corps ferme et dessiné penché sous lui, il a envie d’en prendre possession, de le pénétrer pour se l’approprier comme il l’a fait plusieurs fois au cours de la nuit, mais ce matin, il est bientôt temps de se quitter. Les deux copains seraient bien restés baiser toute la matinée dans ce nouvel appartement déjà très animé, mais le travail et leur vie sociale aux apparences irréprochables les attendent... avant de nouveaux moments torrides à inventer...
Je les vois sans les voir, les entends sans les entendre même s’il me semble que Luc laisse échapper quelques expressions étouffées de son plaisir anal. Je suis quasiment sûr que Nicolas lui bouffe le cul avec ardeur avant de le laisser partir. C’est presque de la transmission de pensée. J’ai tellement envie d’être avec eux que je vis leur étreinte comme si l’un me suçait et l’autre me léchait l’anus avec gourmandise.Effet du désir inassouvi, de l’excitation de cette première main surprenant ou de mon imagination débordante, je sens ma queue tendue à fond et un premier jet de precum descend lentement le long de mon pénis dressé à travers l’ouverture de mon caleçon. J’aime cette sensation avant l’éjaculation, quand mon sexe chauffé se libère de cette substance claire et collante qui lubrifie mon pénis et ma main qui coulisse avec énergie de haut en bas. J’en étale un peu sur mon gland et mon corps tout entier jouit du plaisir de cette caresse électrique.
Je les vois maintenant en train de s’habiller dans la chambre de Nicolas qui plonge une dernière fois la main sous l’élastique du caleçon de Luc pour caresser encore son sexe toujours raide de désir. Luc fait de même, s’agenouille devant la queue de son copain pour le sucer avec avidité le temps de quelques minutes volées à un matin qui passe trop vite.
Ma queue veut se libérer de la tension que lui impose mon cerveau et les images qui s’y entrechoquent. Je vais jouir. Je suis heureux. Je profite de ces dernières secondes avant que mon sperme jaillisse. Je regarde autour de moi. La cuisine n’est pas encore vraiment installée, je n’en peux plus, il faut que je me libère. Je n’ai pas le choix, jouir sur la table du petit-déjeuner... Non, au dernier moment, je préfère éjaculer dans ma tasse.
Mon sperme se mêle à la mousse de l’expresso. C’est beau. Dans le couloir, j’entends Nicolas et Luc qui s’embrassent et se disent ce que je perçois comme des mots doux qui les font rire et moi me font un peu mal. Etrange matin décidément. Je ne m’attendais pas au spectacle bandant de la nudité provocante de Nicolas et de la séduction virile de Luc. Je regarde ma semence et je décide de l’avaler. Je ne le fais pas d’habitude, mais ce matin, tout est assez étrange et ce premier petit-déjeuner marque, d’une certaine façon, le début de quelque chose de nouveau.Je ne sais pas si j’aime mon sperme. Le goût du café domine, mais finalement, je suis content de cette sensation un peu bizarre dans ma gorge.
— Salut Julien, bonne journée !
Nicolas et Luc sont passés par la cuisine pour me dire au revoir. Se doutent-ils que je viens de jouir en pensant à leurs petits jeux dans la salle de bain ? Sentent-ils à travers les odeurs de café et de pain grillé le parfum de mes hormones et de mon désir en ébullition ?
— Bonne journée !— A ce soir ! On discutera avec Marc s’il est là.— OK.
J’entends les deux mecs dévaler l’escalier. Finalement, je ne sais pas vraiment quoi attendre de cette vie en colocation. Ce matin, mon désir de sexe avec un mec viril m’a sauté à la gorge et je ne sais plus si je regrette de ne pas avoir fait comprendre à Nicolas mon envie de son corps, quitte à le partager avec le beau petit Luc dont je sais que lui aussi ce matin me faisait bander...
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