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La Coloc’

Chapitre 9

Gay
— Salut !— Salut Marc ! Tu es là ce soir pour qu’on discute un peu “organisation de la Coloc’” ?— Oui, maintenant si vous voulez. On se fait un apéro ?— OK.
Marc nous regarde et fait semblant de ne rien remarquer, mais je suis presque sûr que nos érections mal dissimulées par nos jeans tendus ne lui ont pas échappé.
Quelques minutes plus tard, nous nous retrouvons dans le salon encore encombré par différents cartons et pas vraiment aménagé.
Nicolas prend l’initiative et nous propose quelques règles de vie auxquelles nous souscrivons Marc et moi sans hésitation. Partage équitable des tâches d’entretien de l’appartement, répartition des espaces de rangement dans la cuisine et le réfrigérateur. Nous n’oublions de prévoir de la place pour un quatrième colocataire qui reste à trouver.
— Marc, je préfère être clair tout de suite sur un sujet plus... personnel.
Marc montre son attention à ce que Nicolas est en train de lui dire.
— Oui ?— Je suis gay. Tout le monde autour de moi est au courant et j’assume complètement mon attirance pour les mecs.— OK, pas de souci. Aucun problème, mon frangin l’est aussi et je connais la plupart de ses copains avec qui nous sortons parfois.— Cool.
Nicolas me regarde et se demande visiblement si je vais le suivre dans la même direction. De toute façon, j’ai l’impression que Marc a déjà compris.
— Euh... et moi aussi je suis gay.
Je n’ai pas l’habitude de le dire, j’ai un peu le cœur qui bat, mais je sais que je peux être en confiance.

Marc est assez clair et sourit :
— Quand je suis arrivé, vous étiez en train de vous amuser non ?— Oui... exactement.— Vous êtes ensemble depuis longtemps ?
Je laisse Nicolas répondre :
— Oh nonnn, on n’est pas “ensemble”. On s’est rencontrés le même jour qu’avec toi pour la coloc’. Aujourd’hui, c’était l’occasion de faire connaissance... Comme nous avons la réputation d’être obsédés par le sexe...
Marc rebondit :
— Il n’y a pas que les gays.— Heureusement ! Moi je suis naturiste et j’aime bien vibre à poil. J’espère que ça non plus ça ne te pose pas de problème. Ce matin tu n’étais pas là, mais je me suis pointé tout nu avec un copain dans la cuisine où Julien prenait son petit-déjeuner sans trop faire attention.— Pas de souci pour moi. Je sais pas si je peux dire que j’aime ça, mais ça me déplait pas d’être nu avec des mecs dans un vestiaire par exemple. Je l’ai déjà fait sur la plage aussi.— Génial ! Je suis vraiment content de m’installer avec vous deux. C’est bizarre, mais tout parait assez évident et facile. Je crois que ça va être sympa avec le côté convivial et le respect de la liberté de chacun.— Je peux vous poser une question ?— Bien sûr.— Vous êtes 100% gays ou bi ?
Nicolas est toujours plus à l’aise pour répondre :
— Moi c’est 100% gay ! J’ai jamais eu envie d’une nana sexuellement;— Et toi Julien ?— Pareil.
Nicolas poursuit :
— ... Pourquoi ? Tu te sens un peu Bi sur les bords ?
Il le dit gentiment pour mettre Marc à l’aise.
— Non, je crois pas. Je me sens hétéro, mais j’ai pas cette vision macho du rapport avec les filles et je peux trouver un mec beau. C’est peut-être mon métier qui veut ça.— Oui, la photo, ça fait regarder les choses différemment.
Je bande en écoutant Marc. Il flotte dans l’air une complicité un peu chargée sexuellement. Je le regarde et je suis excité par la virilité qui émane de lui. J’aime ses yeux verts et son look viril presque militaire. Ses mots sont en décalage par rapport à son image et je ressens sa sensibilité. Il semble réfléchir à quelque chose, semble prêt à poser une question puis se ravise.
Nous passons la soirée à ranger l’appartement et à mettre en place notre organisation. Avant d’aller dormir, je vais me laver les dents dans la salle de bain. Je laisse la porte ouverte et Nicolas me rejoint. Il glisse sa main dans l’ouverture de mon caleçon et me caresse la queue en me lançant un regard de défi.
— Tu viens dormir avec moi ?
Je ne peux pas lui répondre, j’ai la bouche pleine de dentifrice. Je le regarde dans les yeux pour lui dire Oui... il sourit et rejoint sa chambre.
Je rejoins Nicolas dans sa chambre. Il est torse nu, assis sur le bord de son lit face à la porte, en caleçon noir Emporio Armani. La lumière tamisée ne m’empêche pas de voir et d’admirer son torse velu superbement dessiné. J’avance vers lui, j’ai furieusement envie de sa bouche sur ma queue dure depuis qu’il m’a proposé de passer la nuit dans son lit. Il glisse ses deux mains sous l’élastique de mon caleçon et le descend à mi-chemin sur mes cuisses. Ma queue bondit vers sa bouche dès qu’elle recouvre sa liberté. Il pose juste ses lèvres sur mon gland encore caché sous mon prépuce, puis appuie un peu plus fort pour repousser la peau qui protège le dernier bastion de mon intimité. J’aime ce moment où un mec se montre plus nu encore et offre à son amant du moment le spectacle intime et secret de son gland découvert, prêt à jouir. Je cherche presque quelque chose à quoi me raccrocher tant la caresse de sa langue sur mon sexe me vrille de plaisir.
Je suis debout devant lui, je dois faire un effort pour retrouver mon équilibre alors que les mouvements de sa bouche chaude sur mon sexe sont à tomber à la renverse.
Il se concentre sur mon gland et je ressens une forme de plaisir particulière, celle de la bouche d’un homme qui joue uniquement avec l’extrémité de mon pénis. Dans ces moments complices, nous avons souvent envie de nous enfoncer totalement dans la chatte virile ou la bouche qui nous accueille, mais il existe un plaisir particulier à des caresses qui se limitent à gland. J’ai découvert ça un jour alors que je me faisais sucer dans un glory hole et mon partenaire m’avait envoyé au septième ciel uniquement en s’intéressant, de très près, à mon gland. Je ne sais pas si c’est là l’intention de Nicolas, mais il me procure un plaisir intense et je commence à avoir chaud. J’enlève mon t-shirt. Il pose sa main sur mon ventre et caresse doucement ma toison abdominale. J’aime le contact de sa peau sur mon ventre. De l’autre main, il se débarrasse de son caleçon et je peux admirer sa queue puissante dressée entre ses cuisses.
Je vois que les plis de son prépuce brillent des premières gouttes de son precum. Il commence à se masturber en rythme avec les mouvements de sa langue sur moi. Il alterne les rotations autour de la couronne de mon gland, les coups de langue rapides sur le frein de mon prépuce, la formation d’un anneau presque dur avec ses lèvres autour de ce fruit défendu et magique qui termine mon sexe et disparaît en lui.
J’ai furieusement envie qu’il prenne ma queue en main et me masturbe pour faire monter plus vite ma semence vers la libération, mais je sais aussi le prix rare de ce plaisir génial, parce qu’incomplet. En ne suçant que mon gland, il me fait connaître une jouissance extrême, à laquelle se mêle la frustration, presque à devenir fou, de ne pas obtenir tout de suite les caresses plus radicales qui me feraient jouir. Chaque mouvement de sa langue sur ma queue brulante me rapproche du plaisir, mais la destination reste lointaine et floue. Je sais qu’il pourrait m’avaler ainsi pendant des heures avant que mon corps ne se vide de mon sperme pourtant impatient.
Le plaisir me fait me tordre le long de ma colonne vertébrale sans quitter cependant une seconde le monde magique de sa bouche. Ma queue est mon point fixe, je ne veux pas perdre un millième de seconde de sa fellation démente. J’ai une envie presque incontrôlable de changer les règles du jeu et de faire disparaître jusqu’au dernier centimètre de mon pénis dans sa bouche experte. Mais justement, je dois me contrôler. Sinon ce serait trop facile, trop rapide, trop attendu.
J’écarte un peu les jambes pour trouver une meilleure assise, mon gland toujours prisonnier et assailli par sa langue. Il en profite pour passer une main entre mes cuisses et je sens son index qui explore ma raie poilue à la recherche de mon anus. Je plie imperceptiblement les genoux pour lui faciliter le chemin et il commence à jouer avec mon trou avec la même légèreté qu’il me bouffe le gland. Il caresse, appuie, va se perdre dans la moiteur de ma raie, revient se poser, juste se poser sur l’orifice caché, il appuie puis renonce, il n’entre pas, ce n’est pas le jeu qu’il veut jouer.
Mes nerfs sont à vif. Ce petit jeu avec mon anus combiné avec celui sur mon gland me rend totalement fou. Je donnerai n’importe quoi pour qu’il m’avale totalement et me rentre un doigt dans le cul, mais je préfère encore, ultime folie, qu’il ne le fasse pas et reste ainsi aux marges de mon désir. Il sait, comme moi, mieux que moi, que l’incomplétude du plaisir qu’il me donne ne fera en réalité que le décupler. Ce soir, Nicolas est le maître du temps, de mon corps et de mes envies.
Il me rend fou. Je ne peux pas ne prendre que le plaisir fou qu’il m’offre sans lui en donner en retour. Je lui fais comprendre, en lui appuyant sur l’épaule, de s’allonger sur le lit. Je le rejoins et m’installe en 69 contre lui. J’écarte les lèvres et y pose, comme dans un écrin, son gland mouillé de son lubrifiant de mec. Moi aussi je sais jouer à son petit jeu. La symétrie est désormais parfaite. Je pars à la recherche de son anus poilu et pose doucement mon index à l’entrée de son intimité. Il étouffe un grognement de plaisir.
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