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La Coloc’

Chapitre 13

Gay
Je retrouve Nicolas deux jours plus tard au petit-déjeuner de retour d’un déplacement en province. Il est à poil dans la cuisine comme tous les matins désormais et je bande en regardant son corps poilu et terriblement sexy à mes yeux.
— J’ai parlé avec Marc l’autre jour.— Ah oui ? Il était bizarre la dernière fois qu’on s’était vus... tu te souviens ?— Oui justement, c’est de ça que nous avons discuté.— Et ?— Et en fait... il se demande s’il n’est pas un peu bi.— Non ?— Si... il m’a dit qu’il était assez excité quand nous baisons ensemble...— Donc ça le gêne pas ?— Non, pas du tout... au contraire...— Comment ça “au contraire” ?— Ben... il aimerait nous regarder...— Quoi ? Il t’a dit qu’il voulait nous regarder en train de baiser ?— Oui...
Nicolas semble réfléchir, visiblement surpris par ce que je viens de lui dire. Sa queue se met à durcir, et de flaccide et verticale, commence à se dresser au bas de son ventre velu.
— Mais c’est cool ça...— C’est ce que je lui ai dit. Je ne voulais pas trop m’avancer, mais je lui ai fait comprendre que tu n’y verrais... probablement... pas d’inconvénient.— Tu as bien fait...
Nicolas me regarde avec un grand sourire.
— J’ai envie que tu me suces...

Je fais le tour de la table et viens m’accroupir devant sa belle queue maintenant totalement dressée à l’horizontale. Je bloque son gland entre mes lèvres. Il se raidit encore dans ma bouche et je joue avec ma langue autour du gros fruit avalé.
— Mummm, putain c’est bon...
Il m’appuie sur la tête pour que je le prenne tout entier, mais je résiste. Je joue avec le gland qui ne va pas tarder à laisser échapper une bonne rasade de precum si j’insiste encore un peu sur le frein du prépuce retroussé. Je le sens dur comme une pierre sur ma langue et Nicolas gémit sous l’effet de ce qui s’apparente presque à une douce torture infligée à son pénis en feu.
— Fais-moi jouir Julien !
Il est vraiment excité et je me demande si je vais lui donner satisfaction ce matin. Puis je repense à Marc et me dis que nous devrions patienter et nous réserver pour notre ami colocataire.Je me relève. Il proteste.
— Nonnnnnn ! je veux jouir... allez... sur ta tartine...— Ton jus a le goût de fraise ?— Sais pas.— Bon, et bien on attendra la prochaine fois avec Marc pour savoir...
L’idée fait son chemin dans le cerveau de Nicolas...
— Quand alors ?— Je crois qu’il est là ce soir.— Alors on baise ce soir et il nous mate ?— Oui...ça te va ?— Oui... mais ça t’empêche pas de me faire jouir maintenant.
Je le regarde en riant.
— Ca empêche pas, mais tu vas patienter jusqu’à ce soir...— T’es pas sympa...— Quoi ? redis-le !— Euh... non... tu es super sympa et tu suces super bien et c’est pour ça que je veux que tu me fasses jouir là maintenant et que tu te régales d’une bonne tartine de mon sperme à la fraise... ça te va ?— OK, je préfère ça...— Tu me suces alors ?— Non ... ce soir...
Nicolas s’amuse comme moi de ce petit jeu. Il vient m’embrasser en enfonçant sa langue chaude entre mes lèvres.
— Tu me tortures.— Non... tu aimes ça...— J’ai envie de toi...— Moi aussi... ce soir, j’ai envie de te prendre...— Grrrrrrr... yess... Oui... tu vas bien me baiser devant Marc... cool... je vais y penser toute la journée.
Nous nous embrassons encore longuement, je pose mes deux mains sur ses fesses nues, écarte les deux muscles ronds et fermes et viens caresser son trou avec mon index. Je m’imagine déjà ce soir en train de lécher ce doux anus poilu avant de m’enfoncer en lui. Nous devons malheureusement en rester pour finir de nous préparer.

Je rentre du boulot vers 18H00. A peine ai-je fermé la porte que j’entends Nicolas qui m’interpelle du salon.
— C’est toi Julien ?— Oui, tu as besoin de quelque chose ?— Tu viens prendre une bière ?— OK, j’arrive.
Je passe déposer mes affaires dans ma chambre et enfiler un jean et un polo avant de rejoindre le beau Nicolas que je trouve assis sur le canapé. Je le rejoins et il s’arrange pour que son genou touche le mien.
— Tu as passé une bonne journée ?— Oui, super et toi ?— Oui, cool aujourd’hui. Je suis rentré tôt. Des nouvelles de Marc ?
Nicolas pose sa question de façon totalement anodine et je ne peux m’empêcher de sourire au fond de moi.
— Non... il ne devrait pas tarder.
Nicolas pose la main gauche sur ma cuisse et remonte vers la bosse de mon sexe. Il appuie fermement sur ma queue qui durcit immédiatement sous l’effet de ce contact. Puis il s’avance sur le bord du canapé pour accéder plus facilement à ma ceinture qu’il défait et aux boutons de mon jean. Ma queue est coincée entre ma cuisse et le tissu, il change de place et vient s’agenouiller face à moi pour m’enlever rapidement mon 501. Il en profite pour virer mon caleçon et je me retrouve la queue à l’air, dressée à la verticale.
— Putain, j’adore ta queue.
Il m’a l’air en forme ce soir... comme d’habitude.
Il prend ma verge dans sa main droite et se penche sur mon gland qu’il lèche à grands coups de langue comme une glace. Il a l’air de se régaler et ses lèvres forment maintenant un anneau qui glisse le long de la peau douce et rasée de mon sexe. Je m’accroche aux coussins du canapé pour profiter du plaisir délirant que me procure sa fellation.Puis je bloque sa tête entre mes mains et le guide pour que sa bouche coulisse presque magiquement sur mon sexe dressé.
— Oh... c’est trop bon...
Il s’interrompt.
— Tu aimes ?— Ouiiiiii j’adore...
Nicolas reprend ses mouvements sur mon pénis qui m’approche sérieusement du septième ciel.
J’entends du bruit dans la serrure et j’entrevois Marc dans l’entrée. Il jette un œil dans notre direction et je crois qu’il ne voit pas tout de suite Nicolas agenouillé entre mes cuisses.
Il entre dans la pièce et sur le seuil, s’arrête au moment où il prend conscience que la tête de Nicolas est enfouie entre mes cuisses. Il a l’air gêné, mais je lui souris tout de suite pour le mettre à l’aise. Il n’a pas oublié notre conversation, mais ne s’attendait pas forcément à ce que nous lui donnions satisfaction aussi vite.
— Salut Marc.— Salut les gars...
Sa voix est un peu étouffée...
Nicolas libère sa bouche de ma queue et se tourne vers Marc.
— Ca va Marc ?— Ouuuui... ça va...
Nicolas se met debout et se fige, les yeux dans ceux de Marc. Puis il déboutonne lentement sa chemise, l’enlève et nous offre la vue sublime de son torse dessiné et totalement poilu.
Puis il enlève ses chaussettes, défait les boutons de son jean et s’en libère. Il ne porte pas de caleçon et je me dis qu’il a vraiment le don de tout faire pour m’exciter. Il bande à fond et sa queue se tend comme un ressort. Je vois que les yeux de Marc ne quittent plus ce sexe qui rendrait fou plus d’un hétéro taraudé par quelques questions de fond...
Nicolas se masturbe pendant quelques secondes et je me dis que la pénombre de la fin de la journée doit cacher le rouge qui peut être monte aux joues de notre ami.
Nicolas reprend sa place entre mes cuisses et avale à nouveau ma queue. Il sait qu’un hétéro rêve toujours de se faire sucer par une bouche experte et a forcément entendu mille fois qu’une bouche de mec experte ne se comparait pas aux efforts parfois désespérés d’une nana même motivée.
Marc ne sait pas quoi faire...
— Assieds-toi Marc...
Nicolas l’encourage et Marc s’installe dans un fauteuil à peu près en face de moi. Nicolas lève les yeux vers moi et je comprends ce qu’il veut me dire. Je change de place dans le canapé pour m’appuyer contre un accoudoir et étendre mes jambes sur les coussins de velours. Nicolas se met à genoux entre mes jambes pour que maintenant Marc nous voie de profil et ne perde rien du spectacle de mon pénis avalé par notre colocataire plus qu’accueillant.
Je tourne la tête vers Marc pour essayer de ressentir ses émotions et je crois deviner qu’il bande. Il n’ose pas aller plus loin et garde les mains loin de la bosse de sa queue emprisonnée.
Nicolas est toujours soucieux de le mettre à l’aise.
— Marc ?— ... Oui...?
Je l’entends à peine. Il a le souffle court.
— Ca va ?— ... Oui... Merci...
Il l’a dit dans un murmure. Je suis un peu ému par son émotion et nous nous sentons encouragés à poursuivre. Nicolas se met maintenant tête-bêche sur moi. Il avale ma queue et je prends la sienne qui pend lourdement entre ses cuisses dans ma bouche tout en écartant ses fesses velues pour que mon index se pose sur son anus. Le trou est chaud et humide et je sens mon sexe cogner contre son palais, traversé par une nouvelle décharge électrique. J’admire ses belles grosses couilles que je lèche et pose sur ma langue en alternance avec sa queue puissante.
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