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La Coloc’

Chapitre 15

Gay
Je redouble d’excitation dans cette atmosphère étrange entre voyeurisme et exhibitionnisme contrôlé. Mac n’est pas un inconnu et il n’est pas là par hasard. Il m’a parlé de son désir... nous l’avons entendu. Jusqu’où ira-t-il ? Nous devons continuer pour l’aider à se découvrir et je meurs d’envie de faire l’amour à Nicolas.
Nicolas qui comprend la même chose que moi sans que nous ayons besoin de nous parler se penche vers le dossier du canapé, le pied gauche sur le tapis et le droit posé sur les coussins. Il s’offre de profil de trois quarts à la vue de Marc qui fixe sa chatte poilue, comme tendue vers lui. Nicolas creuse les reins pour que ses fesses musclées s’écartent et laissent presque deviner la position de son trou prêt à l’assaut. Il sait que les yeux de Marc fouillent sa raie touffue et tentent de se fixer sur l’orifice caché qui l’attire comme un aimant.
Je viens derrière Nicolas et commence à lui caresser les fesses. Je suis de profil pour que Marc ne manque rien du spectacle. La douceur des longs poils sur les fesses de Nicolas est délicieuse. Je ne m’en lasserais pas. Mes doigts s’aventurent dans la raie sombre et par intermittence, effleurent un point plus nu, là où la toison s’arrête et où une autre douceur se révèle, celle des plis doux de la peau froncée de son anus brulant.
J’écarte les deux lobes musclés, les relâche. Puis je fais passer le gros sexe tendu de Nicolas entre ses cuisses. Il plonge davantage encore sur le canapé et se cambre pour me permettre d’accéder à la queue dure, qui, tendue à l’horizontale en bas de son ventre, offre une résistance à mes intentions. Finalement, le pénis apparaît entre les cuisses poilues, j’ai presque l’impression de faire mal à Nicolas tant la vigueur du sexe gonflé dans ma main me résiste. Mais Nicolas connaît trop bien ce plaisir pour y renoncer, et, la tête maintenant enfouie dans les coussins moelleux du dossier, se laisse sucer et s’abandonne.
Je retrouve son gland sur ma langue et ses grosses couilles qui s’écrasent entre le sexe glissé entre ses cuisses et son cul à tomber. Je le suce, je lui bouffe les couilles et il se tord de plaisir.
Marc est figé, le regard fixe et comme vide, mais, à bien y regarder, il se nourrit avec une impassible avidité de ce qu’il voit. J’ai le sentiment que ses émotions le dépassent, que son corps devient autonome pendant que sa pensée s’aventure sur des terres inconnues.
Je lèche la raie de Nicolas avec énergie, à grands coups de langue pour lui échauffer la chatte et l’amener à ce point du désir qui lui interdira tout retour en arrière. Il voudra se faire prendre, il faudra qu’il se fasse prendre. Il s’assiérait sur la première queue venue pour assouvir un désir qui ne serait plus qu’un instinct animal. Je sens à la chaleur de la peau de son cul, à la dureté de sa queue, au frémissement du trou convoité qu’il avance inexorablement vers ce point absolu. Quand j’ai la langue collée à son anus en chaleur, je me masturbe pour faire monter de mes couilles le jus généreux que je vais offrir à mon bel ami velu.
Je me relève et prends une capote et un sachet de gel dans la poche de mon jean. Je déroule le latex sur ma queue sous les yeux de Marc qui s’est momentanément détourné de la chatte avide de Nicolas. Il bande toujours à fond, il a défait les deux premiers boutons de sa chemise et j’aime la vue de la toison sombre de son torse mise en valeur par le bleu ciel du tissu.
Quand je commence à étaler le gel sur le trou bien ouvert maintenant de Nicolas, je vois Marc s’enfoncer dans son fauteuil. Il attend quelque chose, il s’attend à quelque chose que probablement, il ignore encore.
J’approche de Nicolas, je pose mon gland dans la forêt chaude de ses poils. J’écarte les fesses sublimes pour trouver mon chemin. C’est une fournaise, il a le cul en feu et la chaleur de son excitation se communique à mon pénis tendu à fond. Maintenant que je sais que je n’ai plus qu’à avancer pour pénétrer le trou divin, je regarde Marc dans les yeux.
Un dialogue silencieux commence :
— Regarde Marc, je vais entrer dans Nicolas, je vais le pénétrer.— Oui Julien, vas-y, rentre ton beau pénis dans le trou de Nicolas.— Tu veux que je baise Nicolas alors ?
— Oui, baise-le, baise bien sa chatte en chaleur.— Tu vois ma queue qui le prend ?— Je la vois qui s’enfonce petit à petit, je vois qu’il l’avale et qu’il aime ça.
Je suis maintenant enfoncé à fond dans le cul poilu, je regarde mon sexe soudé à son anus qui m’enrobe de douceur.
Nicolas émet un bruit rauque de plaisir
— Grrrrr, c’est trop bon... baise-moi...
Notre conversation sans mots avec Marc reprend :
— Tu vois Marc, là je suis au fond de la petite chatte poilue de Nicolas, c’est inimaginable. C’est trop bon. Toi hétéro, tu ne connais pas ça...
Puis j’hésite... et j’ajoute :
— Tu devrais essayer...
Marc ne répond pas. Je suis peut-être allé trop loin, trop vite.
Mais je l’entends sans l’entendre qui me dit :
— Baise-le, prends-le, secoue-le pour qu’il sente bien ta queue...
Nos regards toujours croisés, nos bouches silencieuses laissent nos consciences se parler. Je suis sûr qu’il entend ce que je lui dis et je suis sûr que les mots que j’imagine ne sont pas inventés. Je n’ai pas d’explication, mais je sais qu’à l’instant où je crois les entendre, il les prononce au fond de son esprit.
Et... il n’a plus le choix. Sa main s’empare de son sexe dressé vers le plafond, il découvre son gland brillant et étale le lubrifiant qui s’était échappé entre les plis de son prépuce long et épais. Sans me quitter des yeux, il commence un va-et-vient rapide sur son pénis. Il est excité à fond. Ce ne sont pas des mouvements lents pour faire monter le plaisir, mais déjà une danse presque frénétique dans laquelle il entrerait pour se libérer. Je comprends que la tension accumulée est trop forte et qu’il est maintenant pleinement avec nous. En se masturbant sans retenue devant moi, il me rejoint dans le plaisir que je ressens à faire l’amour à Nicolas.
Notre conversation implicite reprend...
— Dis-moi comment c’est...— C’est fou. Comme un monde chaud, souple, qui t’accueille, t’entoure. Le cul de Nicolas me fait l’amour, caresse ma queue à chacun de mes mouvements, prend mon gland, l’aspire et l’électrise à chaque point sensible...— Ohhhhhh.— Et puis je sens mes couilles qui s’écrasent contre ses fesses et j’adore ça... je suis totalement en lui... nous ne sommes plus qu’un corps...— Mmmmmm.
J’aimerais que le plaisir dure et lui raconter chaque détail pendant des heures, mais je vois bien que Marc ne tiendra plus longtemps. Il se masturbe avec de plus en plus d’énergie si c’est encore possible, le regard noyé dans le mien, nos deux consciences fusionnées.
— Tu vas jouir Marc ?— ..... Oui.— Tu vas jouir parce que tu mâtes deux mecs en train de baiser ?— Ouii.— Tu aimes ça alors ?— Ouiiiiiii.— Ca t’excite de voir ma queue qui pilonne Nicolas ? Et de l’entendre prendre son pied, ça te fait bander hein ?
Son regard se perd. Il éjacule. Son sperme jaillit vers le plafond et retombe en pluie blanche sur son pubis, ses cuisses velues et sa chemise bleue.
Ce que je vois me rend fou et sans crier gare, j’explose à mon tour dans la chatte brulante qui m’enserre.
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