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La Coloc’

Chapitre 17

Gay
Quelques jours passent sans que nous nous croisions à nouveau tous les trois, Marc est parti à Londres pour plusieurs jours pour un gros contrat décroché dans le milieu de la mode. Nicolas ne m’a pas reparlé de notre expérience avec notre colocataire en pleine interrogation sur sa sexualité.
Un soir, Nicolas et moi rentrons tard du boulot et ni lui ni moi n’avons envie de préparer quoi que ce soit à dîner. Nicolas propose de commander des sushis au japonais du coin. Il est presque 22H30 et je ne suis même pas sûr que le restaurant livre encore à cette heure. Nous tentons notre chance et notre commande est acceptée quelques minutes avant la fermeture. On nous annonce la livraison pour 20 à 30 minutes plus tard. Nous ne sommes plus à cinq minutes près.
Nous bavardons dans le salon. Nicolas se dit fatigué, mais je le trouve plutôt en forme et la conversation est animée alors que nous parlons des derniers films que nous avons vus et aimés.
Le livreur sonne à l’interphone et Nicolas va lui ouvrir. J’entends la conversation du salon.
— Bonsoir.— Bonsoir, votre livraison, deux menus sushis.— OK, merci.— Comme vous étiez les derniers clients à ajouter un sashimi pour ne pas perdre la marchandise.— Ah, c’est sympa ça... mais nous ne sommes que deux...
Un silence, puis Nicolas enchaîne :
— Vous avez diné ?— Euh, non, c’est la course toute la soirée... en général, j’avale un truc vite fait en rentrant chez moi et je me couche, crevé. Je fais pas loin de 40 kilomètres en trois heures.— Vous... tu veux partager le sashimi avec nous ?— Euh... ben... oui c’est sympa... faut peut-être que je rende mon vélo dans la cour de l’immeuble alors...— Oui c’est plus sûr... On t’attend... je vais trouver des bières au frais...
J’entends le livreur qui redescend l’escalier et Nicolas me rejoint :
— Super mignon, il va te plaire.
— Je rêve, tu l’as dragué ?— Il ne demandait que ça... d’ailleurs t’as entendu... il ne s’est pas fait prier.— Pour le sashimi ! ... Pas forcément pour baiser avec toi...— Avec nous... on partage les sushis... et le dessert.
Je souris. Nicolas est décidément incorrigible. Il va chercher des bières au frigo, déballe les plateaux et accueille le livreur qui frappe discrètement à la porte restée ouverte.
— Entre !
Nicolas et le mec me rejoignent dans le salon.
Le livreur est sublime. Dans les 24, 25 ans, brun, avec une barbe de trois jours et des yeux bleus qui doivent troubler aussi bien les nanas que les mecs.
— Bonsoir, moi c’est Julien.
Il vient vers moi et me tend la main :
— Adrien.— Bienvenue, installe-toi.
Il s’assied dans un fauteuil en face de moi. Il est habillé d’un jean et d’un pull bleu pâle qui met en valeur la couleur de ses yeux. Il se débarrasse du coupe-vent qui porte le logo de la boîte de livraison de repas pour laquelle il passe ses soirées à sillonner Paris à vélo.
Nicolas le met à l’aise.
— Une bière ?— Oui je veux bien.— Sers-toi...
Par délicatesse, Adrien choisit le sashimi offert par le restaurant.
— C’est pas trop dur comme boulot la livraison ?— Non, ça va, ça paye mes études. C’est pénible quand il pleut, mais sinon c’est une façon de faire du sport et de joindre l’utile à l’agréable.
Nous apprenons qu’Adrien est étudiant en architecture et nous nous découvrons pas mal de goûts communs. Nicolas avance dans une nouvelle direction.
— Tu dois souvent te faire draguer non ?— Non... pourquoi ? En général, les clients nous regardent à peine. Ils ont faim et ils se jettent sur leur repas...— Dommage...
Adrien n’est pas sûr d’avoir compris la remarque de Nicolas
— Dommage ?— Oui, dommage. Les sushis c’est top, mais en l’occurrence, le livreur est la partie vraiment intéressante...
Adrien rougit légèrement. Il n’est pas mal à l’aise et je lis un sourire presque imperceptible sur son visage de beau mec viril.
— On peut tomber sur des clients sympas...— Comme nous ?— Oui... ce genre...
Nous nous regardons tous les trois. Un silence s’installe.
Nicolas se lève et vient se pencher vers Adrien pour poser ses lèvres sur les siennes. Adrien tend les bras vers le visage de Nicolas et lui caresse les cheveux tout en me regardant dans les yeux. J’y lis une invitation. Je me lève et je me mets de l’autre coté du fauteuil d’Adrien qui tourne la tête vers moi, abandonne les lèvres de Nicolas pour venir m’embrasser alors que je me suis penché vers lui pour l’embrasser dans le cou.
Le salon est silencieux et l’on n’y entend plus que le bruit de nos bouches qui se découvrent et de quelques murmures de plaisirs sourds et confus.
Adrien alterne ses baisers entre ma bouche avide de sa douceur et celle de Nicolas. Il semble veiller à ne privilégier aucun de nous deux. Adrien est toujours assis dans le fauteuil que nous encadrons de part et d’autre, debout et penchés vers lui à jouer avec ses lèvres.
Après de longues minutes de cette tendresse partagée à trois, Adrien s’intéresse au jean de Nicolas, déboucle sa ceinture de cuir fauve, défait les boutons et fait glisser le tissu bleu et rêche sur les cuisses musclées et très poilues de mon beau coloc’. Il glisse les doigts sous l’élastique du caleçon Armani qu’il descend de quelques centimètres puis plonge la main gauche vers la bosse appétissante qui révèle l’excitation de Nicolas et saisit sa queue dure qui déforme le tissu et la dégager. De la main droite, il fait glisser le caleçon qui rejoint le jean à hauteur de ses chevilles.
Nicolas nous montre fièrement son gros sexe tendu à l’horizontale, et je me régale comme à chaque fois de la vue sublime de son gros gland encore protégé par le prépuce épais et parcouru de veines proéminentes. Son sexe dégage une impression de puissance qui me trouble à chaque fois que mes yeux se posent dessus.
Adrien s’arrête quelques secondes, comme pour admirer lui aussi ce pénis plein de force et d’énergie. La main gauche d’Adrien se pose sur la verge pointée vers lui et doucement, tout en douceur, il décalotte le gland qui apparaît, rose et irrésistible quand la peau se retire. Comme caressé par nos regards fascinés, la queue de Nicolas se raidit encore et vibre de tensions qui la font se dresser vers le plafond.
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