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La Coloc’

Chapitre 18

Gay
Adrien se penche doucement vers la queue de Nicolas, entrouvre les lèvres et pose le gland gonflé sur sa langue. Puis sa bouche joue avec l’objet du désir et Nicolas semble monter au septième ciel si l’on en croit son regard presque perdu dans un songe inaccessible.
Le petit livreur aime la queue : il a cette énergie à sucer le gros sexe veiné qui révèle un vrai goût pour la chose. Je suis totalement excité par ce que je vois et ma queue me fait mal, coincée dans mon jean. Après quelques minutes, Adrien retire lentement le pénis de mon coloc’ de sa bouche et se tourne vers moi. Il s’occupe maintenant de défaire la bouche de ma ceinture, de libérer les boutons de mon jean tout en caressant la bosse formée par ma verge gorgée de sang sous le tissu épais. Il fait glisser le Levis le long de mes cuisses, me débarrasse de mon caleçon, et comme avec Nicolas il y a quelques minutes, s’arrête pour contempler mon sexe tendu vers lui avec une étrange lueur gourmande dans le regard. Je sais qu’il va me sucer, je meurs d’impatience de me sentir avalé par sa belle petite gueule virile. J’ai envie, d’un coup de reins de m’approcher plus vite de sa bouche, mais je sais qu’il vaut mieux le laisser faire.
Ca y est, il me suce et je sursaute tant ce premier contact avec sa bouche m’électrise. Il est doué, tout en douceur mêlée de fermeté et je dois tout de suite faire un effort pour ne pas jouir trop vite. Sa bouche va-et-vient sur ma queue, Nicolas nous regarde et se masturbe en cadence avec nous. J’imagine l’étape suivante et je ne suis pas déçu. Adrien prend une de nos queues brulantes dans chaque main, amène nos glands l’un contre l’autre, colle l’orifice du pénis de Nicolas contre le mien et lèche nos deux glands soudés. Jeux de langue à devenir fou. Ensuite Adrien avale chaque gland l’un après l’autre, je jouis de chaque seconde où sa langue se pose sur mon sexe et mon cerveau m’échappe quand il avale le pénis de Nicolas pour m’imaginer ressentir l’effet magique de sa bouche comme s’il était sur moi.
Veut-il nous faire jouir ensemble sur sa belle gueule ? Il sait qu’il nous fait de l’effet et ne doit pas imaginer que nous allons tenir très longtemps. Puis, contrairement à ce que j’attendais, il lâche nos deux sexes érigés et se dégage pour se mettre debout. Il nous regarde tous les deux et sans nous quitter des yeux se déshabille. Je manque d’éjaculer à chaque vêtement qu’il enlève. Son pull bleu ciel, sa chemise qui révèle un torse ferme, poilu, dont il rase la toison très court. Puis, après avoir ses Nike, il quitte son jean et son caleçon orange. C’en est trop. Il nous montre une queue improbable, épaisse comme une canette de bière et longue comme un avant-bras. Ce volume dressé au bas de son ventre est presque disproportionné, mais ce déséquilibre est lui même d’une beauté sidérante. Le regard ne peut pas se détacher de ce membre incroyable qui semble concentrer toute la virilité du monde.
Ni Nicolas ni moi ne pourrons sucer ce sexe au-delà du gland de la taille d’une orange. Adrien prend son jean tombé sur le sol et sort de la poche arrière des capotes et du gel.Il nous tend chacun un préservatif.Bizarrement un peu timide, il nous dit d’une voix un peu étouffée :
— Je veux m’asseoir sur vous...
Je ne suis pas sûr d’avoir entendu. Nicolas veut vérifier qu’il a lui aussi bien compris.
— Euh... ensemble...?— ... Oui... j’aimerais bien...— OK.
Nicolas ouvre le sachet et déroule le latex sur son gros sexe tendu qui néanmoins ne se compare pas à l’engin d’Adrien. Puis il s’allonge sur le dos sur la moquette du salon. Je l’imite et viens m’allonger à mon tour de façon à ce que nos jambes s’entremêlent pour permettre à nos deux queues de se coller l’une contre l’autre. Nos sexes forment une colonne épaisse, dressée à la verticale.Nous regardons Adrien qui nous sourit. Il ouvre un sachet de gel, s’agenouille près de nous et étale le lubrifiant sur notre sexe double. Puis il se remet debout et ouvre un deuxième sachet. Il plie les genoux, se penche en avant et passe la main entre ses cuisses pour accéder à sa chatte velue qu’il enduit soigneusement de gel.
Il nous enjambe et commence la descente qui va amener son trou gourmand vers le gland étrange formé par nos deux sexes. Le contact est établi, nous sentons la chaleur de son anus écarté contre nos queues malgré la barrière du latex. A-t-il l’habitude de cette pratique ou se lance-t-il des défis ?
Je n’ai pas le temps de trop réfléchir. Le poids d’Adrien se fait sentir sur nos deux pénis, il s’ouvre. Je suis déchiré par des sensations folles. Je me redresse pour le regarder avaler nos queues dans sa petite chatte béante. Il descend. Des deux mains, en équilibre au-dessus de nous, il écarte ses fesses et je sens que mon gland passe le premier anneau de son anus. Compressé contre le sexe de Nicolas, j’ai l’impression de découvrir un nouveau monde. La pression est forte, mais nos queues ont la souplesse nécessaire. Nos glands sont passés, abrités maintenant dans l’intimité glissante du bel Adrien.
Il s’arrête pour respirer. Je le vois de profil, il transpire un peu, mais a l’air heureux. Il est beau. Ira-t-il plus loin ? Quelques millimètres, quelques autres encore. Notre alliance est de plus en plus intime, avalée par l’anus inattendu, Nicolas et moi vivons une expérience magique.Je me prends à imaginer de sentir la douce toison de ses fesses venir caresser mon pubis. Adrien assis sur moi, ma queue dans son ventre serrée contre celle de Nicolas. Des 18 centimètres dressés, Adrien a déjà fait disparaître les deux tiers en lui.
Nicolas a visiblement envie que les choses aillent plus loin. Il tend le bras vers un sachet de gel à sa portée et l’étale sur la base de nos deux sexes pour faciliter la progression d’Adrien. Je sens qu’il colle son pénis encore plus intimement contre moi. Adrien comprend nos intentions. Il reprend sa progression et l’incroyable se produit. Le cul velu d’Adrien vient maintenant caresser nos pubis. Le petit livreur s’assied sur nous. Je sens son poids sur mon ventre. Je n’ai pas vraiment mal et je suis ému par ce laisser-aller. Après avoir contrôlé chaque millimètre de la pénétration de nos pénis fusionnés dans son anus, Adrien s’abandonne et relâche son effort. Je m’identifie à ma queue avalée au fond de lui. Le sexe invraisemblable d’Adrien est à moitié en érection entre ses cuisses posées sur les nôtres. Je sens le poids de ses grosses couilles étalées entre les cuisses poilues de Nicolas et les miennes. Je suis sur un nuage.
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