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La Coloc’

Chapitre 19

Gay
J’ai des sensations un peu étranges. D’un côté, je suis totalement excité par la situation. Sentir ma queue enfoncée dans le cul d’Adrien fondue avec celle de Nicolas a de quoi me faire battre le cœur. Et d’un autre côté, mon sexe n’est que bloqué au fond de ce trou divin, mais il n’envoie pas à mon cerveau tous les signaux électriques qui pourraient me faire jouir. Adrien ressent peut-être la même forme de frustration. Il s’appuie des deux mains sur nos cuisses musclées et poilues, et soulève son bassin pour que son anus coulisse sur nos deux queues dressées. D’abord lentement pour nous garder au fond de lui, puis plus vite. Il commence à émettre des râles de plaisir...
— Oh oui... c’est bon... oh vos queues les mecs... ouiiiiiii..... baisez-moi avec vos deux belles grosses queues...
Il me fait bander encore plus dur. Je ne m’attendais pas à ce qu’il soit aussi... expressif.
— Ouiiii il faut me remplir... je suis votre chose... votre chatte... baisez-moi les mecs.....
Nicolas est aussi de plus en plus dur contre moi. C’est dire...Mais finalement, autant Adrien prend son pied à s’empaler sur nous, autant ma queue persiste à demander plus. Il faut que j’en aie le cœur net.
— Nicolas ?— Oui ?— Tu vas jouir ?— Euhhh, nonnnnn, c’est trop bon de baiser sa petite chatte... mais je suis encore loin. Et toi ?— Pareil... j’adore... mais je vais pas jouir tout de suite.
Adrien s’ajoute à la conversation :
— Allez les mecs... prenez votre pied... baisez-moi bien...
Il redouble d’ardeur, remonte et descend sur toute la longueur de nos deux pénis avalés par son trou. A chaque fois que ses petites fesses poilues tapent sur mon pubis, je suis au bord de l’arrêt cardiaque. Sa queue balance au même rythme, de droite à gauche, immense, épaisse, comme folle et indépendante de son propre corps.
— Adrien ?— Oui ?
— Je vais te baiser pendant que tu vas sucer Julien jusqu’à la dernière goutte, OK ?— OK les mecs... il faut me remplir.— Cool.
Adrien arrête ses mouvements verticaux, contracte les muscles de ses cuisses pour soulever son cul et se libérer de nos deux pénis. Puis il se met debout et je suis à nouveau fasciné par son énorme queue à moitié en érection qui semble presque trop lourde pour les muscles de son bas-ventre.Un peu ankylosés par le sol dur, Nicolas et moi nous mettons debout. Adrien passe chacune de ses mains derrière nos nuques et nous embrasse tour à tour.
— Merci les mecs... c’est trop bon... J’ai trop envie de vous...
Nicolas le fait pivoter sur lui même, lui appuie sur le haut du dos pour lui faire comprendre de se mettre à genoux sur le bord du canapé. Adrien s’exécute et se cambre assez pour que nous ne perdions rien de la vue de son anus ouvert, offert à notre désir et brillant de gel. Je fais le tour et viens me poster derrière le dossier, assez bas pour que ma queue soit à la hauteur de la belle petite gueule du livreur.
Nicolas n’hésite pas et enfonce sa queue dans le cul d’Adrien avec une extrême facilité. Le garçon a été bien préparé par notre double pénétration et prendre une seule verge, même de la taille de celle de Nicolas, n’est plus qu’une formalité.Je regarde le visage d’Adrien face à moi et j’adore le sentiment de plaisir que j’y lis. Il sourit...
— Oui..... prends-moi bien... donne-moi ta queue Nicolas...
J’attends qu’il ait fini sa phrase pour m’avancer de quelques centimètres. Adrien ouvre la bouche et je commence à lui baiser sa petite gueule d’ange. Il ne se contente pas de me recevoir, mais mobilise tout son talent et son expérience d’excellent suceur pour me procurer des sensations délirantes.Nicolas a envie de parler :
— Elle est bonne la queue Julien ?— MMMMMM.
Adrien me garde dans la bouche, mais parvient à nous faire comprendre que la réponse est positive.
— Et la mienne dans ta chatte... elle est bonne aussi ?
Même réponse.Nicolas poursuit.
— Tu vas nous faire jouir hein ? Tu veux notre bon jus hein ?
Toujours d’accord le petit brun poilu qui accueille nos deux sexes prêts à cracher.Adrien saisit mon pénis et le sort de sa bouche. Je suis à deux doigts d’exploser.
— Allez les mecs... donnez-moi tout.
Il reprend sa fellation et Nicolas redouble d’énergie. A chaque coup de boutoir de ses cuisses puissantes contre le cul d’Adrien, mon pénis s’enfonce plus loin dans la gorge chaude qui me baise. Je découvre à cette occasion un mouvement de droite à gauche du dessous de mon gland sur sa langue qui me rend littéralement fou.
— MMMM...
Nicolas et moi échangeons un regard. Je comprends que, comme moi, il sent son sperme monter dans sa tige enfoncée dans Adrien. Un éclair partagé, une secousse de tout le corps d’Adrien qui vient s’écraser sur mon pubis et je sais que Nicolas a joui. Un dixième de seconde plus tard, je lui remplis la bouche avec la cascade chaude et gluante de mon sperme.Adrien s’immobilise. Il veut tout ressentir. La queue dure qui, repue, va se désengager de sa chatte en feu, la mienne qui baigne dans sa bouche remplie de ma semence généreuse, et, entre ses cuisses écartées, la masse semi-dure de sa verge. Il attend, une longue minute au moins, puis Nicolas se retire. Je fais de même. Adrien se retourne et s’allonge sur le dos au fond du canapé profond.
Son sexe est à demi dressé. Offert. Trop tentant. Nicolas et moi nous agenouillons sur le sol de chaque côté du petit livreur et nos bouches se retrouvent sur son gland invraisemblable. De nos mains, de nos langues, de nos consciences aveuglées par ce sexe impossible nous faisons durcir cette colonne virile. Il réagit à nos caresses, à nos empoignades, à notre exploration de ce pénis incomparable. Je n’imaginais presque pas qu’il puisse bander aussi dur que nous, et pourtant si. Comme en équilibre, le pieu énorme est maintenant dur comme la pierre. Deux bouches suffisent à peine. Ni Nicolas ni moi ne pouvons l’avaler très loin, mais la démesure du pénis et la folie de l’instant font que nous voyons bientôt gonfler le canal qui amène la délivrance.
— Oh... putain... je vais jouir les mecs...
Encore des jeux de mains, de bouches écartelées, de poings fermés sur ce sexe fou et le flot blanc jaillit, haut, puissant, avant de retomber en pluie sur nos visages admiratifs et prosternés contre cette queue troublante.Nous sommes épuisés. Nicolas pose la tête sur la cuisse d’Adrien. Je fais de même. Adrien pose une main sur nos têtes et nous caresse doucement les cheveux...
Puis il prend la parole...
— ... Vous... vous m’avez bien baisé... merci...— Tu nous as bien excités...— Ah oui ?— Tu le sais très bien...— C’était top avec vous deux...
Le silence s’installe entre nous. Je sens le jus d’Adrien couler sur ma joue.
— Il faut que je rentre.
Nicolas indique la salle de bain à Adrien qui revient dans le salon, à poil, fascinant de beauté et de virilité. Il se rhabille et je sais qu’il apprécie de sentir nos regards sur lui.
Une fois prêt, il nous sourit. Il est redevenu un jeune mec presque timide.
— Je...— Oui ?—... On recommencera ?— Oui... autant de fois que tu voudras.— En fait... j’aimerais bien parler avec vous...— De ?— Un peu tout. Je sais pas vraiment à qui parler...
Il semble soudain fragile et en besoin de protection.Je m’avance vers lui et le prends dans mes bras.
— Viens quand tu veux, pour parler... tout ce que tu veux...— OK, merci... Ciao.
Il nous tourne le dos, ouvre la porte, et disparaît dans la cage d’escalier, comme s’il s’enfuyait.
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