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La Coloc’

Chapitre 21

Gay
Deux jours plus tard Marc rentre de son voyage à Londres. Je le croise d’abord dans le couloir de l’appartement, nous bavardons quelques minutes et parlons de tout et de rien, de Londres et de l’ambiance de cette ville que je connais bien.
Comme Marc est un peu fatigué de son voyage en Eurostar, je comprends qu’il ne souhaite pas s’éterniser et nous retournons chacun dans notre chambre.
En fin de journée, je pense que Marc a fait une sieste, il frappe à ma porte.— Entre— Je te dérange ?— Non pas du tout, assieds toi
Marc se dirige vers le fauteuil devant la fenêtre et s’y installe. J’ai l’impression qu’il n’est pas tout à fait à l’aise.— Ca va ?— ….Euh….oui…un peu fatigué…le shooting a été intense….Je le laisse venir mais j’ai toujours du mal à comprendre ce qui l’amène.— Tu es un peu sorti à Londres— ….Oui….pas trop en fait….— Des expériences intéressantes ?En lui posant cette question je ne pense à rien de particulier mais j’ai l’impression qu’il rougit. Je n’en suis cependant pas sur. — …Si on veut…. Julien ?— Oui ?-….— Tu veux parler de quelque chose en particulier ?— Euhhhh, oui….l’autre jour….Je le laisse respirer, il me semble mal à l’aise.— Oui ?
— C’était …..— Tu es gêné d’en parler ? tu n’es pas obligé. On peut en rester là et faire comme si il ne s’était rien passé. Tu voulais faire une expérience, Nicolas et moi on était d’accord et ça nous a bien plu, donc pas de souci.— Nnnn…nnnon c’est pas ça….justement— Justement ?— Oui….je….je voudrais essayer….vraiment….— Ok, cool….et c’est ce que tu as fait à LondresSilence— Ben non….justement….— Tu voulais ?— Oui…je me disais que ça serait facile et puis arrivé là bas j’ai pas osé
Silence
— Tu as tout le temps tu sais. Ecoute seulement ton désir…— Oui, t’as raison….. Mon désir….c’est toiJe reste sans voix. Je ne m’attendais pas à cet aveu.— Tu veux dire….
Je suis moi même à court de mots.
— Je veux dire que je voudrais faire l’amour avec toi. Je voudrais que ce soit avec toi. Juste toi et moi. Mais…— Mais ?— Mais j’ai l’impression qu’entre Nicolas et toi il y a quelque chose…— Tu as senti ça ? vraiment ?— Oui, je sais pas quoi mais… — T’as raison….je l’aime…enfin je crois….non je l’aime vraiment…mais tu sais que Nicolas est très libre…t’as remarqué les mecs au petit-déjeuner quand même ? — Oui…ça ne passe pas inaperçu— Et moi aussi d’ailleurs je suis libre…Marc me regarde dans les yeux. Il me trouble et je sens ma queue durcir.— Jusqu’à faire l’amour avec moi ?— Oui….parce que j’en ai envie aussi— C’est vrai ?— Attends, depuis la première fois que je t’ai vu j’ai envie de coucher avec toi.— ….C’est bizarre…— Qu’est-ce qui est bizarre ?— Je te demande un truc incroyable auquel je n’aurais jamais pensé il y a trois mois et toi tu réponds comme si c’était évident.— Ca l’est …. ce qui est évident c’est que tu me plais et que toi tu as envie de découvrir des choses. Rien de compliqué en réalité.
Je me lève de mon bureau d’où je faisais face à Marc et viens me pencher vers lui. Je prends sa tête entre mes mains et viens poser mes lèvres sur les siennes. Il tressaille. Il lève les yeux vers moi. Quelle beauté. Ces yeux clairs qui respirent l’intelligence et aussi la timidité, la tendresse, la peur de l’inconnu peut-être aussi.
Je l’embrasse longuement. Je revois en un éclair la première fois où nous nous sommes rencontrés dans le bar où Nicolas nous avait donné rendez-vous pour que nous fassions connaissance avant de nous engager dans une colocation.
Puis je m’accroupis devant lui, il se penche vers moi et je commence à défaire un à un les boutons de sa chemise. Il se laisse faire. Je tire sur les pans de sa chemise pour les dégager de l’emprise de sa ceinture. Je regarde son torse et la toison touffue, parfaite, qui a elle seule suffirait à me faire bander des heures. Cette fourrure dense et douce me rend dingue. Je m’approche pour la lécher, je la veux, je m’imagine m’endormir la tête posée sur cette peau velue si virile.
Ma queue serrée dans mon jean me fait mal. Je sens que je mouille mon caleçon. Je perds mes moyens devant cet hétéro qui respire la testostérone et qui me demande de lui faire découvrir le plaisir de l’amour entre hommes. Son corps poilu qui dépasse mes rêves et défie mon animalité, et sa demande si simple qui défie la raison me rendent totalement fou. Ma queue coule parce que je suis submergé d’un désir incontrôlable au moment où je dois justement ne rien faire qui puisse le brusquer ou le faire fuir.
Est-ce que je dois réfléchir à ce que je veux ou me laisser guider par mon intuition ? J’ai terriblement envie de lui mais tout autant peur qu’il change d’avis. Pour sa première fois avec un homme, je me sens responsable et je veux plus que tout qu’il en garde un bon souvenir.
Il se libère de sa chemise et, contrairement à ce que j’attendais, délace ses chaussures et se retrouve bientôt pieds et torse nu face à moi. Je comprends qu’il est d’accord pour aller plus loin. Il est toujours assis au bord du fauteuil, les jambes écartées. Je tends les mains vers la boucle de sa ceinture que je défais rapidement, puis je m’occupe des boutons du jean. Il s’appuie sur les accoudoirs pour soulever légèrement son cul et me permettre de faire glisser le jean de long de ses cuisses musclées et poilues. Il me regarde dans les yeux avec une intensité étrange à chaque fois que nos regards se croisent.
Son caleçon aussiebum est gonflé par son sexe en érection. Je vois la tache de lubrifiant qui indique l’extrémité de sa queue sous le tissu tendu. J’ai le coeur qui bat. J’ai pourtant l’habitude de baiser des mecs mais il se passe quelque chose de particulier ce soir. J’ai envie de sa queue. Il n’y a plus que cela qui compte pour moi à ce moment précis. Je tire sur l’élastique et le caleçon glisse pour libérer le sexe emprisonné. Son pénis sublime se dresse à la verticale au bas de son ventre poilu. Superbe fuseau, long et épais, encore couvert par le prépuce qui brille du precum qui s’est déjà répandu sous l’effet de l’excitation de ce moment rare. Je suis fasciné par la beauté parfaite de son pénis juteux et celle de son corps tout entier qui me semble appartenir davantage au monde de mes fantasmes qu’à la réalité.
J’enserre son sexe à hauteur du gland que je sens volumineux et dur dans la paume de ma main droite. Rien que ce contact me fait lâcher un nouveau jet de lubrifiant dans mon Calvin Klein. Je tiens une des plus belles queues possibles et je vais bientôt l’avaler avec passion. Je fais glisser doucement la peau vers le bas, le prépuce s’écarte et révèle le gland violacé, puissant, brillant et humide. La peau se replie sous la couronne du gland et je me penche pour poser ma langue sur le trou ultime. Puis je la fais tourner doucement sur le gland avant d’enserrer la chair précieuse entre mes lèvres. Je l’avale doucement, formant avec ma bouche un sexe doux et serré qui peut-être lui rappellera une chatte récemment visitée.
— Oh putain !
Ses deux mains se sont crispées sur les accoudoirs du fauteuil et sous l’effet de ma fellation qui visiblement ne le laisse pas indifférent il a laissé échappé ce cri en même temps que par réflexe il a soulevé son bassin avec comme résultat d’enfoncer encore plus profondément sa queue dans ma bouche. Son gland vient cogner contre mon palais et je sens à la contraction des veines de son sexe qu’il apprécie cette sensation nouvelle.
Il aime et commence à me baiser la bouche et soulevant en cadence ses fesses velues dont les muscles sont bandés à fond. Retrouve-t-il son instinct d’hétéro avide de jouir rapidement dans un trou chaud et accueillant ?
Je retire sa verge de ma bouche, et, la maintenant serrée dans mon poing, me concentre sur son gland en feu que ma langue enveloppe, caresse, provoque d’une certaine façon.— Putain c’est trop bon... je vais jouir…
Pas déjà. Pas question. Je lâche sa queue, quitte ma position, accroupi entre ses cuisses et m’assied sur mes talons sur la moquette. Nous nous regardons. Il me sourit. Il prend sa queue dans la main droite et commence à se masturber. Je l’interromps. Il n’insiste pas et nous regardons tous les deux sa queue qui semble en acier, tendue vers le plafond et parcourue de vibrations presque violentes sous l’effet du sang et du sperme qui affluent dans ce pieu sublime.
Il se penche vers moi, pose les mains sur les deux cotés de mon polo et me le retire. J’ai levé les bras pour lui faciliter le passage. Il me caresse alors les tétons, doucement, comme s’il explorait une terre inconnue. Il aime peut-être jouer avec les seins de ses copines et se demande si les mecs ressentent quelque chose de particulier. En l’occurrence la réponse est oui et je sens l’extrémité de mes pectoraux durcir rapidement sous l’effet du contact divin et électrique de ses doigts.
— Lève toi …Sa voix est douce. Troublante. Bandante… Je me mets debout et enlève mes chaussettes. Je suis face à lui qui reste assis.
Il vient poser la tête contre mon sexe. Il appuie comme s’il voulait entrer en contact cérébralement avec ma virilité, avant d’aller plus loin. Je bande à fond et j’ai l’impression qu’une communion étrange s’installe entre nous. Puis il se redresse, déboucle ma ceinture, fait tomber mon jean sur le sol et m’aide à m’en dégager. Mon caleçon trempé ne lui cache rien de mon excitation. Il pose à nouveau la tête contre ma queue. Il n’y a plus que la fine épaisseur du coton qui sépare son cerveau dont je donnerais cher pour connaitre les pensés qui l’agitent et mon sexe fou qui commence à me faire mal tant le désir me déchire le corps et la conscience.
Enfin il me libère et ma queue horizontale se tend vers lui. Que va-t-il faire ? Il lève les yeux vers moi. J’y découvre un nouveau sentiment. Le désir joyeux, son regard brille comme jamais, avec une lueur de défi et autre chose que je n’arrive à nommer précisément.
Il m’imite et dégage mon gland de la protection de mon prépuce dont les veines gorgées de sang paraissent prêtes à exploser sous la peau tendue. Il me donne d’abord un premier coup de langue sur le frein. Je tressaille d’un plaisir indicible. Puis il tend la langue et la pointe vient effleurer mon orifice prêt à laisser couler encore une rasade de lubrifiant. Il faut que j’évite cela pour ne pas l’interrompre. C’est bon, je me contrôle et je sens le contact de sa langue sur les petites lèvres de mon trou déjà brulant. Il essaye d’y entrer la pointe et je manque de hurler.
— OHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!
Il lève à nouveau les yeux vers moi, heureux du plaisir qu’il me donne. Puis il ose. Il ose ouvrir les lèvres pour faire entrer, pour la première fois, un sexe d’homme dans son intimité. En un éclair je revis ma première fellation…Je me souviens de ma timidité et de l’extase qui tout de suite l’avait effacée….
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