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La Coloc’

Chapitre 31

Gay
Désormais tout peut arriver. Marc ne lâche pas son appareil et fait des gros plans de la belle gueule virile de Manuel qui lèche mon sperme gluant collé dans les poils de mes cuisses. Il a basculé dans le monde du plaisir entre hommes et le découvre jour après jour avec gourmandise. Ma queue me fait mal comme à chaque fois que je jouis trop violemment. J’ai des souvenirs de différentes circonstances dans lesquelles mon cerveau avait pris le contrôle de mon corps et m’avait amené à éjaculer sans même avoir presque besoin d’une bouche, d’une main ou d’un cul poilu. C’est ce qu’il vient de se passer. J’ai éjaculé parce que c’était ça ou devenir fou de désir et d’excitation. Une fois les dernières traces de mon jus disparues sous la langue du bel étalon espagnol, Manuel lève les yeux vers moi, toujours agenouillé à mes pieds. Je recommence à durcir aussitôt, ses yeux sont animés du désir le plus brulant que l’on puisse imaginer. Il semble me demander la permission…mais de faire quoi ? Je lui rends son sourire et il descend mon caleçon, libère ma queue de l’élastique qui l’emprisonnait au moment où je me suis vidé. Je bande à moitié. Manuel se penche sur le coté pour amener sa langue à la pointe de mon pénis. Il la glisse entre les plis de mon prépuce qui a repris sa place après la jouissance. Marc immortalise cet instant, avant que les lèvres de Manuel ne repoussent la peau de mon sexe pour livrer mon gland à la caresse chaude de sa bouche. Un instant je m’évade et j’imagine toutes les photos de ce soir courir de serveurs en serveurs à travers le monde, partagées et rebloguées de sites en sites gorgés d’images de mecs virils nus et en rut. Il me suce, il m’avale et je m’abandonne. Sa bouche est magique. Assis à mes pieds Manuel me touche et à chaque fois que je croise son regard j’ai l’impression de tomber amoureux. Marc pose son appareil et s’immobilisé, les yeux fixés sur nous. Peut-être a-t-il ressenti que le moment n’était plus celui des images mais de l’intimité. Il se caresse la queue discrètement à travers son jean. Il me plait et je lui dois cette soirée démente. Je plonge mon regard dans le sien et lui fais comprendre de nous rejoindre.Manuel ne bouge pas pendant que Marc s’approche. Il déboucle sa ceinture, ouvre son jean, le descend de quelques centimètres pour libérer son gros pénis épais déjà humide. A coté de moi, il offre sa queue tendue et bien épaisse à la bouche de Manuel qui alterne sa fellation entre ma verge et celle de mon coloc’. — Mmmm, c’est bon les mecs… Manuel se régale, j’espère autant que nous qui ne résistons pas à l’étrange magie de la bouche du petit étudiant en architecture sur nos queues bandées.Marc pose un main sur ma nuque et m’attire vers lui pour l’embrasser. Nos glands se frôlent à l’entrée et à la sortie de la bouche de Manuel qui s’amuse des contractions que ces contacts furtifs et électriques ne manquent pas de provoquer dans nos sexes fous. Manuel va même jusqu’à prendre une de nos queues dans chaque main pour caresser le gland de Marc avec le mien. J’ai l’impression que je vais à nouveau perdre le contrôle. Il s’applique à marier intimement les petites lèvres qui bordent les orifices de nos deux pénis comme si elles inventaient un baiser au plus profond de nos intimités. Ma queue se soude à celle de Marc dans les mains de Manuel. Que puis-je rêver de mieux sur terre ? Je repense alors à l’image du cul poilu de Manuel offert à l’objectif de l’appareil de Marc. Cette façon de faire en dit plus long que des mots pour comprendre qu’il aime se faire remplir le trou par un mec bien viril. Sans un mot, je prends Manuel par le bras pour le faire se lever et je lui appuie sur le haut du dos pour lui faire comprendre de se pencher sur le tabouret sur lequel Marc l’a photographié assis tout à l’heure. Marc comprend mes instructions et s’installe, ses fesses fermes et poilues tendues vers nous. Rien ne sera jamais plus beau au monde que cette raie touffue prometteuse de plaisirs sans limite. Marc me regarde avec envie, mais il me laissera faire. Il s’absente dans la cuisine et revient vite avec des capotes et du gel. Un sourire. Je le remercie pour cette complicité silencieuse. Marc n’est pas en dehors du jeu. C’est lui qui fait couler du gel sur ses doigts et dans la raie sombre de Manuel pour me préparer le terrain pendant que j’enfile la capote. Je fais attention, j’ai peur de jouir rien qu’à l’idée de faire l’amour à notre beau modèle de la soirée. Marc écarte les fesses de Manuel. Je vois son anus rose pale au milieu d’une forêt de poils collés maintenant par le gel. C’est là que je veux aller, c’est là que je veux être, tout de suite. Alors je pose mon gland au milieu de la cible que me désigne mon ami, et je sens que Manuel s’ouvre le plus simplement du monde. Je m’enfonce dans la fourrure virile et juvénile comme si j’y avais mes habitudes. Manuel ne fait pas que se faire pénétrer. Il fait l’amour à celui qui le visite. Les mouvements de son bassin et la pression variable de son anus sur ma queue me baisent. Il m’aspire, me suce avec les parois de son intimité, avec les muscles de ses fesses sublimes. Ce garçon est un sexe entier et tout son corps semble dessiné pour accueillir le sexe d’un homme qu’il comblera de plaisirs divers et intenses. Marc, nu à coté de moi ne lâche pas le cul de Manuel pour me permettre de m’enfoncer totalement dans le trou divin. Le photographe bande à fond. Il semble que son hétérosexualité soit gravement compromise. Son regard se trouble, son corps se crispe et sa queue laisse échapper un jet de precum. Sans avoir la puissance d’une éjaculation, l’émission de cette rasade généreuse d’un jus clair et épais m’excite au plus haut point. Une partie coule sur ma cuisse et je suis heureux de ce partage inattendu d’une jouissance annoncée. — Oh…c’est bon Julien….vas-yManuel m’encourage. Je n’en n’ai pas besoin mais il m’amuse et j’accélère mes mouvements dans son cul qui me fait l’amour comme rarement. Tant de mecs sont des trous qui se contentent de se faire remplir. — Baise moi…Oui, je te baise Manuel, je te baise pendant que ton trou baise ma queue et que Marc se retient pour ne pas nous arroser tellement le spectacle l’emmène lui aussi de l’autre coté du concevable. Et puis, pour la deuxième fois ce soir la frontière de l’irréversible va être franchie. Manuel se masturbe avec énergie, Marc s’abandonne, je ressens une caresse définitive au fond du cul du bel espagnol et à la même seconde j’inonde la capote enserrée par son trou velu. Marc jouit contre ma cuisse et j’adore sentir ce nouveau flot brulant couler contre moi, plus chaud, plus généreux, plus ultime. Encore dur dans l’anus de Manuel je sens la contraction de ses muscles intimes qui m’annoncent son éjaculation et son sperme de jeune mâle s’écrase violemment sur le sol du studio.
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