Puis arrivent les photos de moi avec Manuel. D’image en image il me déshabille. Je regarde mes deux amis qui ont les yeux rivés sur l’écran et se masturbent maintenant avec énergie, presque inconscients de partager ce moment avec moi. Je bande à fond moi aussi et je ne sais pas si ce sont les deux queues dressées de Manuel et Marc, le corps poilu et musclé du petit espagnol magnifié par les photos ou mes propres images qui m’excitent le plus. Est-ce que je vais jouir de me voir en train de me faire sucer jusqu’à jouir sur cet écran digital fascinant ? — Oh…P…..c’est trop bonManuel dit cela dans une forme de râle en me regardant dans les yeux tout en fixant alternativement l’écran sur lequel nos deux corps nus s’unissent dans le plaisir. La photo ultime où Marc a saisi le souvenir de mon sperme propulsé sur les poils de ma cuisse alors que ma queue ne peut plus retenir ma semence apparait sur l’écran. Je comprends pourquoi je n’ai pas pu résister. Voir cette image manque à nouveau de me faire éjaculer malgré moi. Manuel est agenouillé devant moi, la tête tournée sur la droite et la langue posée sur mon gland qui dépasse de dessous l’élastique de mon caleçon. Il brille dans son regard un éclair de lubricité irrésistible. Dans mes yeux je lis un abandon total à une situation que je ne maitrise pas mais qui semble m’emporter dans une forme d’extase.Marc a ensuite fait tout une série de gros plans sur mon gland qui vient de cracher, sur les trainées blanches de mon jus sur les poils sombres de ma jambe et sur le profil de Manuel qui me lèche et semble se régaler. Je me tourne vers Marc, il me sourit tout en continuant à se masturber. Dans son regard aussi je lis un éclat inhabituel et je sens au fond de moi une joie étrange. Je sais qu’il va jouir à force de regarder ces photos de moi et qu’il prend son pied à le faire devant Manuel et moi. Quand je repense à sa timidité, la première fois que Nicolas et moi l’avons invité à regarder nos ébats, je me dis qu’il a parcouru du chemin.Manuel continue à se donner du plaisir.— OH, je vais jouir là……La puissance de ce garçon m’étonne. Combien de fois de suite peut-il connaitre ainsi le plaisir ? Tout à l’heure j’ai eu l’impression de l’avoir vidé de toute son énergie alors qu’il jouissait comme un animal pendant que mon pénis labourait son intimité de jeune mâle en chaleur.Marc et moi le regardons. Il semble nous défier puis il lui vient une idée. Manuel s’allonge sur le canapé en se calant le dos avec des coussins. Il lève ses jambes pour amener ses pieds sur l’accoudoir derrière lui et je comprends qu’il va réussir à se faire une auto-fellation. Je suis pétrifié d’admiration devant ce superbe mec qui réalise un de mes fantasmes les plus récurrents. Sans difficulté il amène sa queue dure et pendante à hauteur de ses lèvres, il n’a qu’un petit effort de souplesse à faire pour faire pénétrer plusieurs centimètres de son sexe divin dans sa bouche-sexe.Marc n’en revient pas non plus.— Oh….P…..Manuel se suce avec la plus grande dextérité. Ses grosses couilles lui caressent le visage. Il joue à sortir et rentrer sa queue de sa bouche et à chaque fois nous voyons sa langue lécher son gland avec gourmandise. Il la fait tourner goulument sur la partie la plus sensible de son anatomie avant de l’avaler à nouveau comme s’il était en manque et prêt à s’étouffer avec sa propre queue.Nous l’entendons gémir. Marc et moi nous masturbons, le spectacle est trop sublime. Puis les gémissement de Manuel accélèrent et nous comprenons qu’il est en train d’éjaculer dans sa propre gorge. J’imagine mentalement le jus blanc descendre au fond de lui et l’image de ce circuit fermé de lui qui se nourrit de lui-même me fait battre le coeur.— OH….c’est dingue…Marc n’a pas pu tenir plus longtemps et je vois son sperme jaillir de son gros gland épais et s’écraser sur son torse poilu.Manuel s’amuse à lécher les dernières gouttes de son sperme avant de se redresser. Il se met debout face à moi.
— Tu me donnes ton jus Julien ?Je manque de jouir en entendant çà. Il va vraiment finir par nous rendre dingues. Sans attendre ma réponse il vient s’agenouiller entre mes cuisses que j’écarte pour l’accueillir. Il prend ma queue dans sa bouche divine et comme tout à l’heure je sombre dans le plaisir le plus intense en sentant la chaleur de sa langue sur mon sexe qui ne demande qu’à cracher.Il n’y va pas par quatre chemins. Il me suce pour me faire jouir, sur de sa maitrise du sujet et je sais d’emblée que je ne tiendrai pas longtemps. Il lève les yeux vers moi pour me confirmer ce que je sais déjà. Il va m’arracher les dernières ressources enfouies au fond de mes couilles.— AHHHHHHHHHHHHHHHHJe n’ai pas pu me retenir. C’est presque insupportable. Je me tors de plaisir sur le canapé, le sexe dans sa bouche dont je voudrais m’échapper tant le contact de sa langue sur mon gland est dément, tout en ne voulant rien de plus au monde que rester enfoncé pour l’éternité entre ses lèvres.— C’était bon ?Manuel a compris le genre de plaisir particulier qu’il m’a donné. Je me penche vers lui et prend sa tête entre mes mains. Nos lèvres se trouvent et je l’embrasse passionnément en trouvant le goût de mon sperme sur sa langue agile et gourmande.Dernier round pour ce soir. Je n’aurais jamais osé imaginer un tel programme. Nous n’avons même plus la force d’aller nous doucher et nous restons affalés dans les canapés déjà à moitié enfoncés dans un demi sommeil.Marc a cependant besoin de faire le point.— Manuel, je t’envoie les fichiers de tes photos sur un drive ? Je te donnerai le contact de mon ami qui fait du porno gay et tu pourras lui donner accès à ton album. Est-ce que tu veux que je fasse des retouches ?— Super, merci ! Les retouches…je sais pas….c’est toi qui vois. Comme çà les photos sont déjà géniales.— Merci ! Je crois qu’elles sont bien pour un premier essai. Tu es doué pour poser, c’est évident. Et toi Julien, tu veux faire quoi avec les photos ?— Je….je sais pas….les détruire je pense…— Vraiment ?— ….Je peux pas laisser trainer ça…— Ca ne t’a pas plus de te voir ? Les pics de vous deux sont géniales…t’as bien vu comme on bandait tous…Marc essaye de me convaincre. Il a raison. Les photos sont sublimes et j’étais moi même excité de me voir dans cette situation imprévue. Je me souviens de ce que j’ai ressenti quand j’ai joui pendant que Marc nous shootait.— Je propose de ne rien décider ce soir et tu me diras dans quelques jours ce que tu veux faire.— OK, on fait comme ça.— On rentre ?— Oui, il est tard là.Nous nous rhabillons. Chacun a la tête pleine des émotions de cette soirée géniale. Nous nous quittons, conscients de partager une nouvelle complicité.
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