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La Coloc’

Chapitre 34

Gay
La nuit est assez courte. Je retrouve Marc au petit-déjeuner, en caleçon noir et t-shirt blanc. Il me tourne le dos pendant qu’il se prépare un café. Je m’approche et ne résiste pas à la tentation de glisser ma main sous l’élastique de son caleçon de la marque Addicted pour plonger mes doigts dans la fourrure douce et chaude de sa raie virile. Je l’embrasse dans le cou pendant qu’il s’appuie sur le plan de travail et se laisse faire. Mon index trouve son anus et le caresse doucement. J’aime la douceur de la peau et la fragilité de son trou de mec. J’ai tellement envie d’y plonger ma queue.— Grrrrr…..tu veux un café ?— ….Mmmm….oui je veux bien….tu aimes ?— …..J’adore— T’es sûr que t’es encore hétéro ?— De moins en moins je croisMa main s’enhardit et j’entre maintenant presque l’intégralité de mon doigt dans sa chatte velue. Je me colle à lui, il tourne la tête et nous nous embrassons passionnément. — T’as envie ?— De ?— ….Tu sais très bien….de faire l’amour comme ça….je veux dire….que je te prenne ?— Je sais pas….en tout cas c’est avec toi que j’aimerais essayer. L’autre jour quand tu m’as caressé….comme là….c’était bizarre pour moi….mais j’ai adoré.— Ton petit cul me rend fou…— Le tien aussi…Je quitte ses lèvres pour m’agenouiller derrière lui. Je baisse son caleçon et le fais tomber sur ses chevilles. Je libère son pied droit pour bien lui écarter les jambes. Il se laisse faire. Je prends ses fesses musclées et poilues entre mes mains et les écartent pour admirer sa raie sombre et l’anus rose qui semble palpiter de désir. Je plonge ma langue dans ce paradis dont les tentations sont trop violentes pour essayer d’y résister.Je lèche son orifice de mec avec délice. La pointe de ma langue pénètre son trou de quelques millimètres qui me font basculer dans un plaisir indicible. On sonne à la porte.— C’est Nicolas ?— Non je pense pas…. Il ne doit rentrer qu’à a fin de la semaine. Je vais voir Je me relève et quitte l’anus de Marc à regret pendant qu’il remonte son caleçon le long de ses cuisses qui me font chavirer. J’ouvre la porte et me trouve face à deux mecs dans la quarantaine, un petit brun au look italien et un autre plutôt blond mais très sexy avec des yeux bleus et une barbe de trois jours. 
— Bonjour….. Inspecteur Jeremy Billon et Enzo Romazi.— Bonjour— Nous voudrions parler à Marc Breillet.— Oui, il est là…entrez. Je vais le prévenir. Je fais entrer les deux policiers dans le salon et vais retrouver Marc dans la cuisine. — Ce sont des flics…ils veulent te parler.— Euhhhh….j’arrive…je vais mettre un jean— Ok Je rejoins les deux policiers. Celui au look italien, brun, barbe sombre est vraiment bandant. Il croise mon regard et j’ai l’impression d’y lire une sacrée quantité de sous-entendus. Je me sens presque obligé de donner des explications qui sonnent à mes oreilles comme des justifications. — Nous sommes en colocation ici— Ah bon ?— Nous sommes trois.— OK. C’est original…. Marc nous rejoint.— Bonjour messieurs— Monsieur Breillet ? — Oui…— Vous avez bien un studio dans l’espace Créa Futur près de la porte de Saint-Ouen ?— Oui— Nous avons été appelés cette nuit, plusieurs locaux ont été cambriolés.— Non ?— Il y a eu une intrusion chez vous. Nous avons remarqué une armoire forte qui n’a pas été forcée— Oui j’y range mes appareils…— Bien….donc il ne doit pas manquer grand chose. Il y avait un téléviseur dans le studio ?— Oui….dans le fond là où il y a un coin salon…— C’est ce qui nous semblait….là pour le coup le téléviseur a disparu… Il faudrait venir faire les constatations.— Ok, je finis de préparer et je vous suis. Marc retourne dans sa chambre pendant que je fais patienter les deux inspecteurs. — Vous êtes photographe aussi ?— Non….pas du tout….je travaille au Ministère de l’aménagement du Territoire— Ah….d’accord… Comment ça se passe une colocation ? Vous vous rencontrez sur internet ?— Non…c’est possible…mais ici c’était une petite annonce à la cantine du bureau…— OK… L’inspecteur qui s’appelle Enzo, le petit italien, me fixe de plus en plus. Jean, polo bleu marine qui moule un torse musclé et poilu à ce que je peux deviner dans l’encolure, blouson de cuir. Il a, comme son collègue; le look viril des flics de séries télévisées. Marc est prêt et tous les trois quittent l’appartement pour aller dresser la liste de ce qui a été volé. Une heure plus tard, je suis au bureau quand mon téléphone sonne. C’est Marc.— Julien ?— Oui. Alors, c’est grave ?— Non…pas trop….mes appareils sont tous là et j’avais rangé mon mac dans l’armoire avant de partir.— Cool…— Euhhhh— Oui….t’es un peu choqué quand même ?— Euhnnn non…c’est pas ça. Dans….dans le téléviseur qui a été volé….il y avait la carte mémoire d’hier. Je viens de comprendre. — Tu veux dire….avec les photos ?— Oui…. Elles ne sont pas perdues parce que je les avais sauvegardées dans un drive….mais la carte est restée dans le téléviseur.— P…… Qu’est-ce qu’on fait ?— Qu’est-ce que tu veux faire toi ?— Je sais pas… Il y a un risque ?— J’’en sais rien. Il peut ne rien se passer….on peut les trouver un jour sur internet….ou le voleur peut essayer de nous les vendre…— Oh…P…… Je réfléchis aussi vite que possible mais je sens que je perds un peu mes moyens. — Pas de chantage. Si on te menace…tu bouges pas….tant pis… personne ne peut faire le lien avec Manuel et moi.— Oui t’as raison. Tu veux que j’en parle aux flics ?— Euh non…pourquoi ?— Si ils retrouvent le téléviseur et les photos….c’est peut-être mieux si on les met au courant…— Oui…je sais pas….fais comme tu le sens.— J’appelle Manuel pour le prévenir. Marc me racontera le soir sa conversation avec les deux inspecteurs. Il a choisi d’instinct de s’adresser au bel italien.
— Euh….capitaine ?— Oui ?— Dans le téléviseur…il y avait une carte mémoire…avec des photos— Des photos pour vos clients ?— Non…des photos pour le book d’un ami— OK…vous avez des copies des fichiers ?— Oui.— Pas de problème alors. Envoyez les moi. Si on les voit sortir quelque patt ce sera une piste.— C’est que…. les photos sont assez….intimes
L’inspecteur regarde alors Marc avec un petit sourire et l’autre semble également commencer à s’amuser. Celui qui s’appelle Enzo sent le caractère délicat de la situation et comme il est le plus gradé, envoie son collègue compléter l’enquête de voisinage.
Quand ils sont seuls la conversation reprend.— Mon collègue est un très bon pro….mais pas toujours….enfin on se comprend— Merci beaucoup— Donc ces photos ?— Il y a d’abord un jeune de notre immeuble qui a besoin d’un book pour des photos….de nus…vous voyez— OK— Et puis…hier soir….Julien….mon colocataire….que vous avez vu ce matin….était venu ici avec nous…— Et il a aussi fait des photos à poil ?— Oui….enfin….pas seul….avec Manuel— Vous voulez dire du porno ?— Euhhhh….non pas vraiment….c’est plutôt artistique….mais c’est vrai que les dernières sont plus….— Hards ?— Euh….oui… on peut dire ça— Vous avez les fichiers ?— Euhhhh….ouiMarc va chercher son mac dans l’armoire blindée et montre les photos à l’inspecteur. Au début il ne dit rien mais semble respirer plus vite.— P…..— Je….je suis…..c’est gènant…— Non….non soyez pas géné….vous savez on en voit d’autres tous les jours. Non….ces photos sont justes tellement….vraies….tellement… Je sais pas comment vous dire.Marc regarde l’inspecteur assis devant l’ordinateur et remarque que sa queue forme maintenant un beau volume le long de sa cuisse droite sous le tissu tendu qui suit les contours du sexe durci du policier.— Vous êtes doué— MerciInstinctivement le petit italien se masturbe à travers son jean.— Vous êtes gay aussi ?— Euh….non….enfin plutôt bi…— Mouais… Soyez pas choqué. Moi je suis gay et vos photos me font bander grave. Donc, ce qu’on va faire, vous allez m’envoyer une copie et c’est moi qui vais m’occuper personnellement de votre affaire. Honnêtement il y a peu de risque que quelqu’un se manifeste. Ne vous inquiétez pas. L’autre mec, Manuel…c’est ça ? c’est un acteur X gay ?— ….Non….ça ce sont ses premiers essais….mais il a envie d’essayer….— OK….il a de quoi réussir….j’aime bien moi ce genre viril, bien poilu et pas timide…Marc ne sait plus quelle contenance choisir. Le policier se lève une fois qu’il a visionné toutes les photos et fait face à Marc. Leurs yeux se croisent.— Ce n’est pas le bon moment….mon co-équipier ne va pas tarder…mais on pourrait prendre un verre ?— …..Oui…..volontiers…
Enzo pose sa main sur la queue de Marc qui elle aussi a pris du volume sous l’effet de la tournure que prend la convertion.Marc et Enzo échangent leurs numéros de portables avant d’être rejoints par Jeremy et d’autres enquêteurs.Quand les policiers quittent le studio Marc est soulagé. Il prend conscience d’une sensation mouillée au contact de son gland et du tissu de son caleçon.
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