Manuel joue parfaitement son rôle de professionnel qui fait semblant d’être absorbé par sa tâche. En face de lui Joël semble animé par un désir animal. Son regard passe en permanence de son écran d’ordinateur au visage de son collègue qui l’excite au plus haut point. Il se masturbe sous son bureau à travers le tissu de son costume, la caméra capte la déformation impressionnante provoquée par sa queue énorme encore emprisonnée. Puis il défait sa ceinture, toujours l’air de rien, défait le bouton, la fermeture éclair avant de faire glisser son pantalon sur ses cuisses musclées et poilues qui crèvent l’écran. Joël ne porte pas de caleçon et ce mouvement libère sa queue puissante qui vient buter sous le plateau du bureau. Le pénis, tendu comme un ressort, une fois libéré, semble presque faire mal au bel acteur quand il cogne contre le bois. Le gland surchauffé a du assez peu apprécier la brulûre des aspérités du bois. Je suis fasciné par l’écran de contrôle de la caméra qui permet de suivre, en très gros plan, ce sexe magique, gorgé de sang, dressé entre les jambes hyper viriles de la star du porno. La main de Joël monte et descend lentement le long de la colonne de chair verticale. L’autre camera capte l’expression du visage de l’acteur et la lueur presque déchainée que je peux y lire ne fait rien pour calmer mon érection. Alexandre suit attentivement l’enregistrement des images sur ses deux écrans de contrôle mais cela ne l’empêche pas de lancer des regards fréquents dans ma direction. Je suis debout derrière lui, assez près tout de même pour ne rien manquer du spectacle. Il me parle sans vraiment me regarder pour ne pas perdre de vue les images numériques qui s’animent devant lui. — Julien…— Oui ?— Tu veux venir près de moi ?— Euh….oui je veux bienIl y a une chaise à sa droite et je m’y installe. Je sens comme une charge électrique dans l’air.— Ca te plait ?J’ai la gorge un peu sèche.— ….Oui….— Mets toi à l’aise si tu veux.Je ne suis pas sur de comprendre. Je ne vais quand même pas sortir ma queue devant lui et tous les techniciens. Ceci étant l’un des cameramen est totalement à poil et bande à fond sans aucune timidité. Beau mec dans la trentaine, un peu poilu, avec une belle queue longue et fine bien horizontale. Il émane de lui quelque chose d’assez bandant, probablement le contraste entre la situation et son visage de beau et sage gendre idéal. Je ne regrette pas d’être venu. Puis, plus bas pour que tout le plateau n’entende pas…— Sors ta queue Julien… J’entends dans le ton d’Alexandre du désir, une demande douce qu’il me semble difficile de rejeter. Je suis un peu perdu en réalité. Il a sous les yeux deux des plus beaux mecs du moment à deux doigts de se rapprocher et il s’intéresse à moi…ou plutôt à mon pénis…parce que j’imagine qu’un réalisateur de pornos gays doit sombrer dans une forme d’addiction à la queue et à la chatte de mec. De mon côté je ne sais pas quoi faire….furieuse envie de sortir ma verge et de me donner du plaisir devant cette scène hyper chaude. Toujours “discrètement” Joël se débarrasse sous le bureau de ses chaussures et de son pantalon. Entravé il ne pouvait pas se caresser aussi énergiquement que le commande son excitation. La caméra nous montre ses jambes divinement velues écartées, sa grosse queue dressée, ses couilles rasées que j’ai envie de dévorer, et par moments, l’index de sa main qui s’égare et vient caresser doucement sa rondelle rose tendre. Puis à chaque passage la caresse est plus appuyée jusqu’à ce que son index pénètre sa chatte poilue et brulante.
— M…… il jouit ?Alexandre est contrarié par ce qu’il vient de voir, une cascade de jus clair qui coule de la grosse queue de Joël. Puis, se penchant sur l’écran du moniteur il comprend que ce n’est que du lubrifiant pré-éjaculatoire. Le gros gland violacé de l’acteur a du être bien échauffé par le contact rugueux du bois et les caresses énergiques de son sublime propriétaire. — Non, c’est ok, il mouille à fond en fait. Nous voyons la main brillante et trempée monter et descendre le long du pénis tendu et les poils du pubis et du haut des cuisses se coller sous l’effet de la pluie gluante qu’ils viennent de recevoir. Joël en profite pour se lubrifier l’anus et se pénétrer plus profondément avec son index droit.Je crois que les choses vont suivre naturellement leur cours quand Alexandre intervient.— Cool les gars, super ! On est tous en feu déjà ! Manuel , maintenant tu vas demander à Joël de venir voir un problème sur ton ordi.— OKLes techniciens vérifient leur matériel. La cameraman nu en profite pour se masturber et je le trouve vraiment bandant. Le tournage reprend. Manuel suit les instructions données par le réalisateur.— Tu peux venir voir j’ai un truc bizarre dans le code là ?— J’arriveJoël se lève, ne cherche pas à se cacher, révèle à son partenaire qu’il est à poil à partir de la ceinture et bande à fond. Il fait le tour du bureau et je bave d’envie devant le balancement suggestif de son pénis qui semble peser des kilos. Il se penche dans le dos de Manuel pour regarder son écran et son sexe vient toucher le bras du petit acteur débutant. Manuel qui a parfaitement joué son rôle de mec sérieux joue bien maintenant celui qui perd ses moyens mais reprend vite le contrôle de la situation. Le scénario ne prévoit pas de se faire passer pour une vierge effarouchée et Manuel s’empare de la queue impressionnante de son partenaire pour se la mettre en bouche avec un plaisir évident.La queue énorme trouve son chemin sans difficulté entre les lèvres avides du petit espagnol qui semble se régaler de cette colonne de chair chaude, épaisse et palpitante. Joël, totalement déchainé, n’est pas supposé se contenter d’une gentille fellation. Il prend la tête de son collègue pour la caler fermement et mieux l’utiliser comme un sexe gourmand qui ne demanderait qu’à se faire remplir. Les dialogues ne sont pas vraiment écrits mais les deux partenaires ne peuvent s’empêcher d’exprimer leurs sensations.Joël commence :— Oh, P…..c’est bon.Et Manuel, entre deux plongées sur le sexe invraisemblable…— Oh……quelle queue….je te veux…. Pendant que ces images se gravent dans les fichiers digitaux, Alexandre tend la main vers mon entrejambe. Il me caresse à travers mon jean. Ce que je vois sur le plateau, et les images grossies par les zooms des cameras, me font renoncer à mes hésitations. Je déboutonne mon jean, baisse mon caleçon en soulevant rapidement mon cul pour libérer ma queue qui se dresse à la verticale. Le contact de la main d’Alexandre sur mon pénis me rend fou à la première seconde. Main magique ou perte de repères, je ne sais pas, mais je ressens la main du réalisateur sur moi comme si c’était le modèle le plus performant de Fleshlight. — Maxime ?Alexandre interpelle le beau petit coiffeur maquilleur. Maxime comprend sans avoir besoin d’en savoir plus. Il vient s’agenouiller entre mes cuisses, rapidement, au point que je me rends à peine contre de ce qui est en train de se passer. Après la main d’Alexandre c’est la bouche de Maxime qui s’empare de mon pénis et je dois me cramponner aux bords de ma chaise pour ne pas jouir tout de suite. Mais qu’est-ce que ces mecs qui bossent dans le porno ont pour me faire un tel effet ? Ou est-ce moi qui vis une expérience au-delà de ce que je peux supporter sans perdre le contrôle ? Alexandre appuie sur la tête de Maxime pour qu’il avale toute ma longueur. Mon gland bute contre sa gorge et je ne sais pas si je vais tenir longtemps avant d’éjaculer.
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