Maxime me montre le costume prévu pour mon personnage. Tenue sexy inspirée des séries américaines qui mettent en valeur la virilité des protagonistes. Le pantalon est ajusté et je sens ma queue déjà exposée aux regards à travers le tissu avant même que les choses sérieuses aient commencé.Sur le plateau Manuel et Joël se retrouvent et reprennent leurs positions d’avant la pause, Manuel couché sur le bureau et encore tout heureux d’avoir senti le beau Joël jouir au fond de lui comme une bête sauvage. La star du X en nage et épuisé par cette jouissance. Alexandre reprend les commandes. — Bon, Manuel c’est à toi. Joël fait se redresser Manuel, l’attrape par sa cravate à moitié dénouée et le fait pivoter pour le mettre face à lui. Il se jette sur ses lèvres et les deux hommes s’embrassent à en perdre le souffle. Un des cameramen a la mission de ne pas quitter des yeux ni de l’objectif les deux grosses queues viriles qui se cognent, se frottent et se donnent du plaisir dans cette étreinte furieuse. Je regarde les écrans de contrôle comme tout à l’heure et je suis toujours aussi excité par le spectacle de ces deux bêtes viriles qui me font baver de désir. Sur l’écran les deux glands découverts brillent du lubrifiant que les deux garçons lâchent inconsciemment pour profiter à fond de leur complicité. Leurs corps sont aux ordres, rien ne semble pouvoir les arrêter.Manuel prend le contrôle de la situation. Il fait à son tour pivoter Joël et le pousse assez violemment pour qu’il tombe à plat ventre sur son bureau. Le beau mâle ne tente pas de résister et se vautre sur le plateau en bois, les pans de sa chemise s’écartent pour offrir son sublime cul poilu aux regards. Manuel défait le noeud de sa cravate, la jette par terre, suivie bientôt par sa chemise. Il se débarrasse de l’entrave du pantalon de son costume qui le maintenait jusqu’à maintenant soumis aux désirs de Joël pour bien signifier que désormais c’est qui dirige les opérations. Totalement nu et en portant plus que sa montre, Manuel s’agenouille derrière Joël pour lui bouffer le cul avec la même ardeur que celle manifestée par son partenaire dans sa propre chatte dans la scène précédente. La réciprocité est parfaite et le spectateur comprend le parfait équilibre, le défi symétrique que se lance les deux hommes. Joël ne se fait pas prier pour s’exprimer — Oh…putain…..c’est trop bon….oh….ta langue….ouiiiiii….bouffe moi la chatte….bouffe moi….oui….là….bien…..comme ça…ouiiiGros plan sur la langue de Manuel qui semble transformée en un sexe définitivement voué à donner du plaisir anal à son partenaire en chaleur. Alexandre laisse les caméras filmer, les deux acteurs sont en extase et nous n’avons rien d’autre à faire que de jouir de l’instant présent.Manuel est en rut absolu. Il se relève, équipe rapidement sa queue d’une capote extraite de la boite que Joël avait laissée sur le bureau et pose son gland énorme contre le trou avide et poilu de son partenaire… — Je vais te baiser….je vais te prendre bien profond puisque tu aimes ça— Oui…baise moi….déchire moi la chatte…c’est trop bon…Je ne sais pas si les dialogues sont écrits ou spontanés mais je sens que je mouille dans mon costume ajusté. Je n’ai pas de caleçon et j’ai l’impression que le tissu révèle déjà l’état dans lequel me met la scène. Manuel semble animé d’une énergie étrange, véritablement déchainé à labourer le cul de la star du porno.Je regarde les cameramen. L’un filme en gros plan la queue de Manuel qui va en vient dans la chatte velue, les deux autres les visages des deux acteurs. Joël donne le sentiment de recevoir une correction qu’il n’est pas près d’oublier mais qui n’est pas pour lui déplaire. Manuel lui est dans un autre monde, je le reconnais à peine tant ses traits sont déformés par le désir et la sauvagerie de son pilonnage de l’anus offert à son plaisir hors de contrôle.Alexandre se tourne vers moi et me regarde étrangement. Je n’en bande que plus fort et je comprends qu’il ne se contentera pas de m’avoir fait jouir dans sa main tout à l’heure. — Bon, Manuel tu baises Joël encore deux minutes et on passe à la scène avec Julien. Soudain j’ai envie de fuir. Trop tard pour reculer ?…..je ne sais plus ce que je veux… Deux minutes interminables les yeux collés sur les écrans à me régaler d’une des plus belles scènes de cul que j’ai jamais vues…— OK, pause. Bon, les gars vous allez reprendre. Julien va arriver dans le couloir derrière la baie vitrée, il va vous découvrir et va se planquer dans le bureau d’à coté qui reste dans la pénombre pour vous mater. Il se masturbe sans intervenir. OK ?Les deux acteurs confirment qu’ils ont compris.— Julien, tu es prêt ?— ….— Julien ? Ca va ? tu as peur ? tu veux renoncer ?Je voudrais être à mille lieux d’ici mais je ne veux pas, je ne peux pas planter l’équipe du tournage maintenant. La gorge sèche je réponds à Alexandre— ….Oui….c’est bonJe me place en suivant les indications que me donne Adrien. Il me souffle des encouragements à l’oreille :— Ca va aller…tu vas voir….tu es super sexy….tu vas adorer….ça se voit déjà sur ton uniforme….j’aimerais être mon cockring là tout de suite….Décidément il ne rate rien lui, il m’a maté et a vu que j’avais suffisamment mouillé en regardant le tournage pour que le haut de ma cuisse porte la marque de l’emplacement où mon gland a laissé coulé le jus collant et protecteur qui annonce une bonne éjaculation… Ma queue me fait mal, trop serrée et trop dure…Alexandre pense à tout….il a confié au beau petit cameraman qui bosse à poil et qui s’appelle Bastien, le soin de me filmer. Il est en face de moi et recule au fur et à mesure que j’avance vers le bureau où Manuel et Joël ont repris leurs ébats. Manuel est encore plus déchainé et je me demande si c’est parce que je participe maintenant à la scène. Mon cameraman bande toujours à fond et à nouveau je vois pendre de son gland découvert un filet de lubrifiant épais. C’est trop pour moi, il faut que je me concentre sur mon rôle alors que j’ai l’impression que tout est fait pour me rendre fou. J’avance, je vois la scène, Bastien filme la surprise sur mon visage et je comprends, en suivant le mouvement de la caméra, qu’il plonge vers ma queue pour fixer l’image de la tache de mon precum. Je sens que je lâche une nouvelle rasade. Nous entrons dans le bureau plongé dans le noir, juste éclairé par la vitre de séparation avec celui d’à coté où Joël continue de se faire défoncer la rondelle avec un plaisir évident. Je suis trop excité… e ne joue plus la comédie…je ne sais pas ce que je dois jouer d’ailleurs…tout ce que je sais c’est qu’il faut que je sorte ma queue de l’emprise de mon pantalon d’uniforme… mes gestes sont saccadés, mes doigts s’énervent sur la boucle de ma ceinture, sur la fermeture éclair qui se déchire sous la pression de mon sexe en feu…enfin je me libère, ma queue se dresse à quelques centimètres de la caméra… Je commence à me masturber… je sens que ce ne sera qu’une question de secondes… mais il faut que je tienne un peu…pour le film…. Je ne vais pas y arriver… mon jus monte… je ne peux plus rien contrôler… Finalement je vais décevoir mes camarades mais ils en attendaient trop de moi… et je jouis vers l’objectif… trop près….trop tôt….Bastien n’a pas eu le temps de prévoir le coup et mon jus épais s’écrase sur la vitre de la caméra numérique… Bastien est surpris mais il garde son sang-froid. Il continue à me filmer pendant je fais tomber par terre les dernières gouttes de mon jus. Le cockring d’Adrien a eu des effets magiques ou tragiques sur moi… j’ai peur d’avoir tout gâché… mais d’un autre coté j’ai pris un pied incroyable…. J’ai découvert des sensations nouvelles… une nouvelle alliance de mon corps et de mon cerveau… plus forte que moi… au-delà de mon contrôle… avec pour résultat cette éjaculation violente sur le matériel précieux…. En face de moi, comme figé….Bastien jouit aussi presque sans s’être touché la queue…
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