Devant une jolie petite maison, un jeune homme attend. 1M75, une corpulence normale. Brun aux yeux marrons, pas désagréable à regarder, mais il ne transpire pas le charisme. L’air assez simple et un peu réservé, il attend devant une maison, après avoir sonné. Au bout de quelques secondes, une jolie blonde vient lui ouvrir. — Salut ! Tu es le nouveau ?— Oui, je m’appelle Ezéquiel.— Moi c’est Malovy. Viens, je vais te faire la visite. Il suit donc cette Malovy, qui se trouve être une très jolie femme. Dans le même âge qu’Ezéquiel. Ses cheveux blonds sont lisses, coupe au carré. Petite de taille (environ 1m65), elle a cependant de très belles formes : un 90C pour la poitrine, bien ronde et ferme et un gros fessier rond et bombé. Une belle silhouette qu’Ezéquiel ne peut s’empêcher de reluquer en étant le plus discret possible.Il n’y a pas que son corps qui est agréable à regarder, mais aussi son visage aux yeux très angélique, qui déstabilisent Ezéquiel. C’est vraiment un très joli bout de femme. De plus, elle est très avenante, souriante et elle a une belle voix. Elle lui fait donc la visite de cette maison, lui montrant sa chambre où il installe ses affaires. Il y a déjà une armoire, un lit et un bureau. Une belle chambre avec assez d’espace. Elle lui montre la salle de bain, les toilettes, la cuisine et le salon. Dans la cuisine, il y a un bar à l’américaine où Malovy lui explique que c’est là qu’elles mangent généralement. Elle lui montre aussi les chambres des autres, juste de vue. La visite terminée, ils s’installent au bar de la cuisine. — Tu veux boire quelque chose ? On a de l’Ice-Tea.— Oui, je veux bien. Merci.— Tiens. Au fait, que fais-tu comme études ?— Je suis en L3 Gestion, en Marketing. Et toi ?— Énorme ! Moi aussi. Mais je suis en Ressources humaine. C’est fou qu’on ne se soit jamais vu avant… Enfin, moi, je ne t’ai jamais vu.— Oui, moi aussi je ne me rappelle pas t’avoir croisée. Il faut dire que lors de la L1, on était avec les économies.— Ouais, c’est vrai. C’était blindé ! Et puis avec le covid… L’année dernière, on a fait que du distanciel. Mais en vrai c’est cool, on pourra faire les trajets ensemble. Le bus c’est chiant quand on est seul.— Ouais, ça peut être sympa.— Bon, je vais te présenter un peu nos chères colocataires, avant qu’elles n’arrivent. On a Victoria, elle a dix-neuf ans et c’est la plus petite. Elle est très différente de moi, tu verras… enfin, quand tu la verras, car elle ne sort pas beaucoup de sa chambre. Elle mange souvent toute seule, et très tard.— Tu veux dire quoi par elle est très différente que toi ?— Et bien, moi, je suis assez ouverte d’esprit, j’aime parler avec les gens, je suis souriante pas nature. Elle, c’est une gothique qui reste dans son monde de mangas et ce qui tourne autour. Je ne juge pas ses hobbits, hein, mais je trouve qu’elle devrait un peu plus être dans le monde des humains. Elle déteste vraiment le contact avec les autres personnes. Moins elle en a, mieux elle se porte. Mais bon, quand on la connaît un peu, elle reste sympa. Elle fait des études en littéraire, du japonais.
Ensuite, nous avons Laura, qui veut faire du droit, juriste. Elle a 22 ans et elle est en M2. Quand on fait une soirée, elle finit très vite pompette et elle est vraiment drôle. On a aussi Mathilde qui a 21 ans et qui est en M1. Au passage, c’est une super cuisinière. Elle est très à cheval sur la propreté et le rangement de la cuisine, alors si tu fais quelque chose, assure-toi bien de tout remettre comme c’était. Parce que, quand elle s’y met, elle est vraiment chiante.Pour finir, nous avons Clara, notre aînée. Elle a 23 ans et on ne sait même pas ce qu’elle fait de ses journées, et de ses nuits d’ailleurs. Pas la peine d’approfondir sur elle, tu ne vas pas la voir de sitôt. — Ah oui, pourquoi ?— Elle n’est pas encore revenue pour la nouvelle année scolaire. Elle m’a juste envoyé un message il y a quelques jours pour me dire qu’elle était à l’étranger et qu’elle n’allait pas être des nôtres tout de suite. Bref, pour Victoria, comme je te l’ai dit, tu ne la verras pas beaucoup. D’ailleurs, elle est dans sa chambre et elle n’a pas pointé le bout de son nez de toute la journée. Quant à Laura et Mathilde, elles sont sorties il y a peu. Elles reviendront ce soir pour le dîner. Ah, viens avec moi, j’ai un truc à te montrer. Les deux jeunes du même âge, c’est-à-dire vingt ans, se lèvent des tabourets et Ezéquiel suit Malovy. Encore une fois, ses yeux ne peuvent s’empêcher de se poser sur ses fesses, incroyablement bien dessinées et mises en valeur par un leggings qui colle à sa peau. Elle l’amène là où il y a la machine à laver, et cinq bacs à côté. — Voilà la machine à laver. On a rajouté un bac pour toi, c’est le dernier. Tu mets tes affaires sales ici et on fait une machine deux fois par semaine. C’est Laura qui s’en occupe. Depuis que Clara n’est plus à cent pour cent avec nous, elle fait un peu office de grande sœur et s’occupe de nous. Comme Mathilde, elle est un peu maniaque, mais elle, c’est du costaud. Elle veut une égalité totale pour les vêtements lavés. Donc, tout doit être carré. Quand la lessive est terminée, tout le monde peut la vider. Avant, vu qu’on est que des filles, on faisait directement le tri et on donnait aux autres leurs affaires. Maintenant que tu es là, je pense que ça risque d’être gênant et difficile pour toi de venir trier et classer nos soutifs et nos petites culottes. Rigole Malovy.— Ouais, c’est sûr…— Du coup, on verra comment on fera… Oh, mais merde, elle abuse là ! Malovy vient de choper un soutien-gorge bleu à paillettes qui se trouve entre deux bacs. Ezéquiel a littéralement les yeux écarquillés devant le sous-vêtement féminin. Non pas qu’il voit un soutif, mais parce qu’il peut rentrer sa tête dans ce bonnet ! Il se demande laquelle de ses colocataires peut avoir une poitrine aussi énorme. — Tu vois quand je te dis que Victoria est dans un autre monde, elle n’est même pas capable de mettre ses vêtements dans son bac. Je te jure, la moitié du temps, elle a son casque et son téléphone dans ses mains, et elle ne fait pas attention à ce quel fait. **************** L’après-midi s’écoule et Ezéquiel a beaucoup discuté avec Malovy. Ils ont notamment parlé des profs qu’ils avaient eues en commun, la même année, sans le savoir. Et ils ont beaucoup ri aussi. La porte d’entrée s’ouvre et des voix féminines se font entendre. Petit à petit, les voix s’approchent avant que deux femmes n’entrent dans le salon. — Ah, le nouveau est arrivé. Dis une rousse.— Ouais ! Ezéquiel, je te présente Laura (la rousse fait coucou) et Mathilde (une brune fait un sourire). Dis Malovy.— Enchanté. Dit-il— Nous de mêmes. Disent-elles en cœur. Laura est donc rousse. Ses cheveux lisses sont attachés en un chignon fait à la hâte. Elle mesure 1 mètre 70, son corps est fin et tonique. Une petite poitrine 90B et un fessier rebondi définissent ses formes. Mathilde est une belle brune, cheveux également lisses tombant sur ses épaules avec une frange. Elle est un peu plus petite que Laura, de quelques centimètres. Ses seins sont plus gros (95C) proche de ceux de Malovy. Mais ils ne sont pas aussi ronds et probablement plus moelleux. Ses petites fesses bombées sont assez mignonnes. Mais la chose qui est le plus notable, c’est leur teint rouge et les cheveux ébouriffés de Mathilde. Cette dernière ne fait d’ailleurs, que de passer sa main dans sa chevelure. — Il vous est arrivé quoi ? Demande Malovy.— Hein ? Réponds Mathilde.— Bah, vous avez les joues toutes rouges, ta respiration se fait forte et regarde un peu ta coupe de cheveux.— Ah ça. On a fait une course pour rentrer à la maison. Mathilde est moins sportive que moi on dirait. Rigole Laura qui provoque gentiment son amie du regard.— Pourquoi avez-vous fait ça ? Demande Malovy.— Tu sais bien que j’adore les défis Malo. Réponds Laura avec un grand sourire.— Ouais, pas faux.— Mais du coup Ezéquiel, quel âge as-tu ? Demande Laura.— 20.— Ah, comme Malo. Intervient Mathilde, un peu trop muette depuis le début de la conversation.— C’est drôle, ils sont nés la même année, et tous les deux ont des prénoms bizarres. Rigole Laura.— Hé ! On n’a pas des prénoms bizarres, on a des prénoms originaux. Et ça claque madame ! C’est bien mieux que Laura et Mathilde. Réponds Malovy.— Pourquoi je me retrouve là-dedans moi aussi ? Dis Mathilde.— Bah t’est tout le temps d’accord avec Laura. Réponds Malovy, comme si c’était une évidence.— Mouais, pas faux. Bon, je me douche et je réfléchis à ce qu’on mange ce soir. Dis Mathilde avant de quitter la pièce. ******************* Dans sa chambre, Ezéquiel pense à sa journée. Il a fait la connaissance de trois très belles jeunes femmes. Seule deux manques à l’appel dont une qui est enfermée dans sa chambre. Le repas préparé par Mathilde était super bon et ils ont beaucoup parlé et il a pris ses marques petit à petit. Il se dit qu’il va passer une belle année. Il n’arrive pas à dormir et décide d’aller dans la cuisine pour boire un verre d’eau. Il se lève de son lit et quitte sa chambre. Il essaie de ne pas faire de bruit. Il passe devant la chambre de Victoria, où il voit de la lumière sous la porte. La lumière qui provient d’une télé ou d’un ordinateur. Il continue son chemin en direction de la cuisine. Lorsqu’il est presque arrivé, il entend un bruit étrange. Il se bloque et ne bouge plus. Le bruit recommence et il devient même constant. Il tente de se concentrer pour savoir d’où il vient. C’est alors qu’il remarque que la chambre de Malovy n’est pas fermée et une faible lumière filtre. Une lumière qui provient de sa fenêtre. Il se concentre alors encore plus pour mieux écouter ce son et comprendre de quoi il s’agit. Mais il n’y arrive pas. Il s’approche alors doucement, vers sa porte de chambre. Il est plus que discret et arrive à destination. Il jette un coup d’œil et tombe alors des nus. Il ne voit pas grand-chose, mais en voit assez pour comprendre ce qui se passe. Et le son qu’il entend devient tout d’un coup bien plus clair. — Slurp, slurp, slurp. Un homme noir et très grand est allongé dans le lit de Malovy qui est à quatre pattes entre ses jambes. Elle suce sa bite de bien belle manière. Une main branle la queue raide, une autre lui caresse les couilles et sa bouche va et viens sur ce mandrin de très belle taille. Lorsque Malovy lèche le bout de son gland gonflé d’excitation, Ezéquiel se rend compte que cette grosse bite doit dépasser les 20 cm. Malovy la suce comme une assoiffée en manque de sexe et lui, sans expression particulière, la regarde faire. Comme s’il ne sentait rien. Ce qui surprend Ezéchiel qui aurait giclé depuis bien longtemps. Malovy se redresse et essaie de le branler entre ses seins, mais la queue est bien trop grosse pour elle alors qu’elle est loin d’être plate. Malovy arrête alors les préliminaires et enjambe son amant. Elle place son gland entre ses lèvres de chatte et commence à descendre le long de ce gros pénis pour s’empaler dessus. Son vagin dégoulinant de cyprine accepte facilement cette grosse queue noire et Ezéquiel peut voir sur son visage un rictus pervers. Elle commence à sauter sur cette bite tout en haletant. Mais les ‘Han ! Han !’ de Malovy n’est pas du goût de l’homme qui veut l’entendre crier. Il donne alors une claque sur une de ses fesses pour lui faire comprendre le message. Elle arrête de bouger puis se retire. L’homme se relève et se décale. Malovy avance pour se placer au centre du lit et le noir se retrouve derrière elle. Ezéquiel voit à la faible lumière du dehors, la courbe incroyable de ses fesses qu’elle lui tend. L’homme rentre d’un coup sec toute la longueur de sa bite dans sa chatte, laissant Malovy lancé un gros ‘OUH’ et il commence à la baiser. Les coups de boutoir sont secs et puissants. Ses grosses mains noires pétrissent ses hanches, ses fesses blanches et il les claque de temps à autre. Malovy halète et gémit sous cette baise qu’elle semble beaucoup apprécier. Ezéquiel la regarde et l’écoute sans trouver la force ou l’envie de s’en aller, fasciné par cette grosse bite qui défonce sa chatte. — Han ! Aaah ! Han ! Ouiiii ! AAAhhh ! Hannn !— T’aimes ça ma chienne, hein t’aimes ça !— Han ! Aaaahh ! Ouiiii ! Hannn ! Baise-moi fort ! Hannn ! Baise ta chienne ! Hannn !— Tu veux que je te baise comme une chienne ?!— Hann ! Ouiiiiii !!! AAAAaahhh ! S’il te plaît ! Hannn Son amant passe sa main sur le côté et prend quelque chose avant de se pencher pour manipuler le cou de la jeune femme. Ezéquiel n’arrive pas à bien voir ni à comprendre ce qu’il se passe avant qu’il recommence à la baiser. Et il n’en revient pas ! Malovy à une laisse de clébard autour du coup et son baiseur lui martèle la chatte de gros coups de bite tout en tirant la laisse. Et le pire, c’est qu’elle en jouit ! — OOOoooooh ! AAAAAaaaaaa ! AAARRGHHH !— Oh ouais, salope ! Tu jouis comme une chienne ! Il se retire de sa chatte et lui tire les cheveux pour qu’elle se retrouve rapidement devant lui pour lui envoyer trois grosses giclées de sperme au travers de son visage d’ange. Ezéquiel commence à s’en aller alors que le mec commence à se rhabiller. Il veut rallier sa chambre et tant pis pour son verre d’eau. Mais des bruits de pas venant de l’autre côté lui font comprendre qu’il va se retrouver en face de quelqu’un. Il se cache pour ne pas se faire cramer par la personne qui se dirige vers la cuisine. Malovy raccompagne son mec à la porte d’entrée avant de se diriger, elle aussi, vers la cuisine. Trop curieux, Ezéquiel part regarder discrètement qui est dans la cuisine. Il voit alors la fille qu’il n’a pas encore rencontrée : Victoria. Elle est habillée d’une jupe noire, chemisier blanc, veste noire, grosses botes. Ce qui est étrange, car, on est en pleine nuit. Cela veut dire qu’elle n’a toujours pas fini sa journée ni entrepris de se coucher, car elle ne s’est toujours pas mise en pyjamas. Ses cheveux noirs ondulés lui arrivent aux épaules. C’est la plus petite de toutes mes colocataires (1M57). En corpulence, elle n’est pas mince, mais pas grosse. De bonnes cuisses et, mais surtout, une majestueuse et énorme poitrine. Ezéquiel n’en revient pas. Comment une fille aussi petite peut-elle avoir des seins aussi énormes. Car c’est bien du 110E que cette jeune fille de 19 ans porte sur son buste. — Tiens, Victoria. Tu sors enfin de ta chambre après avoir maté tes Hentai dégoûtants toute la journée.— Dis la fille qui a ramené un nouveau mec en cachette pour se faire tringler.— Combien avait-il de tentacules cette fois ?— Et toi, combien de centimètres ? Les deux filles se regardent et éclatent de rire, avant de boire une gorgée de leur verre d’eau. — Bon, je vais me coucher. Dis Malovy. Fais de beaux rêves… Ezéquiel s’enfuit avant de se faire surprendre et retourne dans sa chambre.Il ne peut s’empêcher de prendre sa bite, de se branler comme un fou avec l’image du cul de Malovy dans sa tête et de se faire jouir en pensant à ce qu’il vient de voir et d’entendre.
L'auteur a prévu une suite à ce chapitre. Ajoutez cette histoire à vos favoris et soyez alerté de la sortie du prochain chapitre !
