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La coloc'

Chapitre 2

L'année commence fort !

Lesbienne
 Ezequiel a eu une sacrée première journée dans sa colocation. Mater une de ses colocataires se faire défoncer la chatte comme une chienne par son mec, au beau milieu de la nuit, ce n’est pas donné à tout le monde. 
Le lendemain, la fac reprend et c’est avec Malovy qu’il fait le trajet en bus pour rallier leur université. Bien évidemment, il a beaucoup de mal à rester concentrer sur leur conversation compte tenu de ce qu’il a vu la veille. Il regarde la Malovy du jour, c’est-à-dire une jeune femme pétillante, souriante et sociable. Et il ne fait que penser à la Malovy de la nuit, la suceuse de grosse bite, celle qui se fait baiser violemment avec une laisse de chien autour du cou. Deux personnalités très différentes. Ezequiel se demande comment elle se comporterait si jamais elle apprenait qu’il a vu son comportement sexuel avec son amant. Les autres filles sont-elles au courant ? Victoria oui, vu la discussion qu’elle a eue avec Malo juste après. Mais elle a dit qu’elle fait venir des mecs en cachette dans leur coloc. Ce qui veut dire que les deux autres ne sont pas forcément au courant et ne sont pas forcément d’accord avec cela.  Durant toute sa journée, il n’est pas concentré sur ses cours, mais bien sur sa coloc. Et notamment à la jolie blonde et à la baise hard qu’il a mâtée. Et l’érection qu’il a ne l’aide pas à refroidir ses pensées.
****
 14 h, à la colocation. Mathilde et Laura déboulent dans la maison. Elles ont une tête bien particulière et des regards qui laissent deviner leurs intentions.
— Hé oh, il y a quelqu’un ? Crie Mathilde.-…— Tu vois, je te l’ai dit, personne n’est rentré. Réponds Laura.— Ouais, tu avais rai, Ah !
Laura plaque Mathilde contre le mur et pose ses lèvres sur les siennes. Les deux jeunes femmes commencent un baiser fusionnel. Les langues s’enroulent ensemble, la salive s’échange. Laura fait glisser ses mains sur le joli corps de son amie qui est totalement soumise à ses envies. Cette dernière finit par chopper les gros seins de Mathilde. Elle ne porte pas de soutien-gorge, il n’y a juste que le fin tissu de son haut noir entre sa peau et la main de Laura. Elle les pétrit, les malaxe, tout en continuant de l’embrasser amoureusement. Les tétons de ses seins sont bien vite raides et Laura les chope entre ses doigts et les triturent comme elle aime tant le faire. Mathilde halète de plus en plus et Laura lâche sa bouche pour lui lécher le cou. Les gros seins moelleux sont gonflés d’excitation, ne donnant qu’une envie à Laura : les dévorer !
— Allez, sors-moi tes gros nichons, maintenant !
Mathilde n’a même pas le temps de retirer son vêtement que son amante l’a déjà relevé au-dessus de sa poitrine. Sa main touche cette fois les seins à même la peau et la langue de la rousse vient lécher la chair tendre et douce avant de venir sur le mamelon et le téton. Elle enroule sa langue autour, gobe le bout du nichon avant de mordiller sa pointe. Mathilde est en transe.
-AAaahhh… C’est bon, aahhh… mais, ooohhh… on devrait… huummm, aller dans la, AAaaahhhh… chambre, OOoohhh…— Non, je vais te sauter ici, dans le salon !— Oooohhhh... Lauraaaaa…

Laura passe sa main à l’intérieur du jean de Mathilde après avoir défait le bouton. Elle passe à l’intérieur de la culotte et pose sa main sur une chatte rasée avec juste un ticket de métro au-dessus. Elle est toute chaude et le bout de ses doigts glisse entre ses lèvres déjà bien humides avant de se poser sur son clitoris bien dur. Elle s’amuse alors à le triturer, à le pincer entre ses doigts habiles. Mathilde ne cesse de geindre sous ce traitement, sans oublier les sensations que lui procurent ses seins léchés. 
— AAaahhh… AAAaahhhh…OOoohhh…
 Laura retire sa main de sa culotte pour la poser sur son bras et la retourner. Son amante est alors debout contre le mur, ses gros seins plaqués contre la paroi, ce qui les fait gonfler sur le côté. Laura se met à genoux et baisse le Jean’ qui lui bloque le passage et la culotte ne reste pas en place longtemps. Des claques sur ce beau cul se font entendre avant que les mains de Laura écartent les deux fesses pour que sa langue vienne s’aventurer entre elles. Elle bouffe sa chatte et son trou du cul en même temps, sans ménagement, comme au début de leur partie de jambes en l’air.  Mathilde halète, gémit et grogne de plaisir. Elle tend bien son cul en écartant bien ses jambes pour s’offrir à la langue perverse de son amante.La langue de Laura est tellement agile, qu’elle parvient à laper le clitoris malgré la position, et elle finit par faire jouir Mathilde.
Cette dernière n’a pas le temps de se remettre de son orgasme que Laura la chope pour la poser sur le canapé, mi- assise, mi- allongée. Elle écarte bien ses cuisses et lui enfonce profondément deux doigts, dans sa chatte dégoulinante de jus. Elle crache sur son gros sein le plus proche de sa bouche, puis le gifle de sa main libre avant de le malaxer violemment. Mathilde respire très fortement et regarde Laura avec des yeux suppliants. Elle sait ce qui va lui arriver et à quel point Laura aime être ‘active’ dans cet exercice. Elle commence à la doigter comme une folle. La vitesse des vas et vient de ses doigts dans son vagin est vraiment impressionnante. Laura lui défonce la chatte avec ses doigts. Des ‘flocs ! Floc !’, bien fort résonne dans la pièce, mélangée aux cris de plaisir de Mathilde.   
— OOOOOOH ! AAAAAAH !
Laura retire ses doigts d’un coup sec et trois énormes jets de cyprine sont éjectés de sa jolie minette grande ouverte et finissent à l’autre bout de la pièce. Sous un gros ‘OUUUUUUUUUUH !!!!!!!’ de Mathilde et le regard remplit d’étoile de Laura, qui a créé cette fontaine digne d’un film porno américain. Elle s’en lèche même les doigts…Mathilde, peine à réaliser ce qu’il vient de se passer et à reprendre ses esprits. Elle émerge progressivement, les joues rouges, le visage grimaçant et les yeux plissés avec force. Son corps tremble encore, de ses doigts de pieds à la racine de ses cheveux. Ses jambes repliées sous elle, la pauvre n’arrive pas à s’en remettre.
 Laura quitte la pièce et revient moins d’une minute plus tard. Toute nue et avec un gode ceinture de vingt centimètres. Elle écarte les jambes de son amie et enfonce doucement son faux sexe dans la petite chatte de Mathilde, toujours choquée par son éruption de cyprine qu’elle vient de vivre. Mathilde commence ressentir le plaisir que Laura lui procure de nouveau avec son gros et long gode qui va et vient dans sa chatte toujours en chaleur. Elle ronronne comme une chatte et Laura en profite pour accélérer ses coups de bite pour l’entendre crier de nouveau de plaisir, Cette dernière bien trop sensible et de nouveau excitée jouit encore une fois, en même pas deux minutes
— Hannnn ! Hannnn ! Ooooh ! Hannn ! Ahhhh !— Et bien, ça jouit vite dis donc !— Stop… S’il te plaît… Stop…— Ah non ! Je veux continuer de te baiser moi !— Ça commence à faire mal… dit-elle toute timide.
Laura retire son gode de sa chatte baveuse et se rend compte qu’encore une fois, elle y est allée trop fort avec ses doigts. Et cela l’empêche de la baiser comme elle le voudrait, avec son gode.
— Mets-toi à genoux.
Mathilde commence à se relever et Laura l’aide pour se positionner. Cette dernière prend ses cheveux bruns pour lui faire une queue-de-cheval avec sa main et pose sur ses lèvres le gland de sa bite en plastique recouverte de cyprine. Docile et soumise, Mathilde ouvre sa bouche et Laura, surexcitée, lui baise sa petite bouche. Elle lui donne de gros coups de bites et écoute ses ‘blop ! Blorp ! Glorsck’. Puis elle lui retire la queue de sa bouche pour la laisser respirer, mais elle lui tient toujours les cheveux.
Elle commence à retirer son gode ceinture et dévoile sa chatte complètement rasée aux yeux de Mathilde qui la regarde avec envie.
— C’est ça ce que tu veux ? Tu veux la manger, hein ?— (elle fait oui de la tête)— T’as été sage ma petite chienne, tu as le droit à ta récompense.
Elle approche le visage de Mathilde jusqu’à sa grotte intime. Elle l’embrasse et commence à la lécher avec douceur et tendresse. Alors que Laura aime baiser Mathilde de manière bien hard, ce n’est pas réciproque. Mathilde a toujours des gestes très sensuels quand elle couche avec Laura. La respiration de la rousse commence à s’accélérer et Mathilde se régale de sa chatte et de son jus.
— Hummm, ouiiii, c’est bon ma belle. Lèche-moi bien. Allez, régale-toi. Oh oui, tu l’aimes ma chatte !— Muuhhhhh, huuummmm, slurp, slurp.— Allez, t’as assez mangé, petite chienne gourmande
Laura met fin à cette partie sexe. Ce qui n’est pas au goût de son amante.
— Mais ! … J’ai à peine commencé mon tour.— On n’a pas le temps, les autres ne vont pas tarder à rentrer.— À chaque fois, c’est pareil ! Tu me défonces et tu ne me laisses pas jouer ma partition.— Oh, tu ne vas pas me faire une scène quand même ! Les autres vont bientôt arriver.— Ouais, mais bon, tu aurais pu moins me baiser, et me laisser plus de temps pour jouer avec ton corps au lieu de prendre tout ton temps.— Tu sais quoi, cette nuit, tu viens te faufiler dans ma chambre et tu me fais ce que tu veux.— Non, c’est trop risqué. Il ne faut pas que les autres apprennent.— Mais non, ce n’est pas risqué. Tu ne me fais jamais crier, ils n’y verront que du feu.— (Mathilde écarquille les yeux). Quoi ?! T’es sérieuse là !— Oh, mais non, ce n’est pas ce que je voulais dire.— Si, c’est ce que tu as dit. Je ne te fais pas crier, donc, je ne te fais pas jouir !— Rhooo, mais nooooon. Arrête un peu. T’es chiante quand tu t’y mets !— Ah, et en plus je suis chiante ?!— Mais c’est pas vrai… Ne sois pas en colère. J’adore quand tu me fais l’amour, mais je ne suis pas si expressive que toi et on n’a pas le temps.— Si tu aimais vraiment ça, tu m’aurais laissé plus de temps.— Oui, c’est vrai.— Égoïste !— Quoi ?— T’es qu’une égoïste.— Non, mais arrête ! Tu vas trop loin.— Moi je vais trop loin ? Tu m’as encore fait mal à la chatte avec ta violence ! Dès que c’est ton tour, tu fais tout ce que tu veux, et dans l’extrême. Et moi, je reste sur ma faim.— Genre t’as pas aimé ?— J’ai pas dit ça, mais tu m’as fait mal ! Et je n’ai pas pu profiter de toi à mon tour.
Laura se rapproche de Mathilde et lui donne un tendre baiser.
— Alors, je t’ai fait mal à ta petite fleur ? dit-elle en la caressant.— Humm, un peu, humm…— Je saurais me faire pardonner.— Ciseaux.— De quoi ?— Un ciseau et je te pardonne.— Non, mais je suis sérieuse, on n’a pas le temps.— C’est ma condition. Sinon, je ne te servirais pas de chienne pendant un semestre.— Tu ne tiendras jamais.— Comme tu l’as dit, je suis chiante quand je m’y mets.— Bon, d’accord ma belle. Viens là.
 Laura se positionne à même le sol et Mathilde la rejoint. Leurs petites chattes se collent, s’embrassent, se frottent. Tout cela avec une sensualité menée par Mathilde. Les deux cyprines se mélangent et coulent entre leurs cuisses. Les mains de Mathilde caressent les jambes de Laura avant de remonter sur ses petits seins au bout tendus.
— Hannn, ouuuuh, hannn, aaaaahhhh… Tu vois bien, tu me fais jouir. Dis Laura.
Les deux femmes éclatent de rire.
— Bon, c’est bon, tu m’en veux plus ? Demande Laura.— C’est bon, tu t’en sors pour cette fois. Mais il faut que tu arrêtes de me déchirer la chatte.
Un nouveau fou rire des deux amies et amantes tandis que des clés rentrent dans la porte. Le bruit distinctif est heureusement entendu par les deux femmes qui se regardent avec un air qui veut dire ‘Oh merde !’. Elles récupèrent leurs affaires et courent dans leurs chambres. Mais elles ont été à deux doigts de se faire chopper.
******
Plusieurs heures se sont écoulées. Laura et Mathilde ne se sont pas fait surprendre dans leurs ébats tumultueux, et se sont comportées comme si de rien n’était lors du repas, comme d’habitude. Ezequiel tente de faire pareil. De faire comme s’il n’a pas vu Malovy se faire baiser par son mec la nuit dernière. Mais cela reste bel et bien dans son esprit. Il se demande même si cela se reproduira. Il n’arrive pas à dormir et part prendre un verre d’eau. Il se dirige donc vers la cuisine et se retrouve, avec surprise, nez à nez avec Victoria. Les deux ne se sont encore jamais vus, jamais rencontrés. Ezequiel a juste écouté sa conversation avec Malovy la nuit dernière. Mais à part ça… Ils se font donc face pour la première fois. Elle le regarde comme si il est transparent, mais surtout, elle n’est aucunement étonnée de le voir. Lui, il l’a déjà vue la nuit dernière en cachette. Mais elle, jamais. Elle n’a aucun moyen de savoir à quoi il ressemble. Croiser un inconnu dans sa maison, au milieu de la nuit et en slip, aurait dû un minimum la faire réagir.
Ezequiel détaille rapidement la jeune femme de dix-neuf ans. Ses cheveux noirs bouclés tombent en cascade sur ses épaules et son dos. Elle a un débardeur sans manche qui ne recouvre pas tout son ventre légèrement rebondi et qui donne une vue incroyable sur ses énormes seins. Ses seins qui, justement, pointent avec force. Un petit shorty recouvre ses fesses et cache son sexe. Ezequiel croit y voir une tache plus sombre au niveau de son entre-jambes. Elle a aussi un casque sur ses oreilles et écoute quelque chose. Se sentant un peu con face à elle, il lui fait un petit coucou. Elle décale son casque sur le côté droit pour libérer son oreille.
— Salut, je suis…— Le nouveau coloc, dit-elle.— Oui, c’est ça. Et toi, tu es Victoria, n’est-ce pas ?— Ouaip.— J’allais dans la cuisine pour boire.— Moi aussi.
Les deux se rendent donc dans la cuisine et boivent leur verre d’eau. Il la détaille du coin de l’œil. De profil, ses mamelles sont encore plus impressionnantes et ses bouts sont bien plus visibles. Mais surtout, elle ne le calcul absolument pas. Elle a l’air assez froide comme fille. Il voit que Malovy lui a bien décrit le personnage. Elle repart aussi tôt son verre fini, sans même lui dire au revoir.
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