Nous sommes en mi-janvier, tout le monde est revenu depuis deux semaines dans la coloc’, devenue de nouveau au complet. Enfin, en quelque sorte… Après deux semaines de silence et de discrétion, Malovy et Ezequiel ont décidé d’annoncer leur couple. Clara est bien évidemment déjà au courant, mais pas Mathilde, qui ne cache pas son étonnement.
— Mais depuis quand ? demande-t-elle. — Avant les vacances. Réponds la jolie blonde. — Ah, la soirée où vous n’avez pas mangé avec nous ! s’exclame Mathilde. — Oui, c’est ça. Nous sommes allés au cinéma. Réponds Ezequiel. — Oh, trop mignon… Mais attendez. Du coup, vous allez dormir dans la même chambre où vous gardez vos chambres séparément ? Demande Mathilde. — Je pense que quand ils sont dans la même chambre, ce n’est pas pour dormir. Interviens Clara.
Mathilde et Clara rigolent tandis que le seul homme de la pièce est un peu gêné, car ils ont passé toutes leurs nuits depuis leur retour dans le même lit, et la baise a représenté une bonne partie de leurs activités nocturnes.
— En parlant de ne pas dormir la nuit, je suis la seule à avoir remarqué que Laura rentre super tard ? Car personne n’en parle. Dis Malo.
— … (Mathilde détourne le regard). — On a remarqué en effet. Mais si elle ne veut pas vivre avec nous, on n’y peut rien. Dis Clara. — C’est que c’est arrivé si soudainement. Il s’est passé une chose que je n’ai pas suivie ? Demande la blonde. — La fois où tu n’avais pas mangé avec nous, c’est la dernière fois où elle a mangé avec nous. Et elle était partie en furie après un échange avec Clara. Explique Ezequiel. — (Clara en sourit). — Clara, tu as fait quoi, encore ? Demande, en soufflant, Malovy. — Mais rien ma belle, rien. Je parlais tranquillement à table et elle s’est énervée toute seule. N’est-ce pas Mathilde. Réponds Clara. — Oui, Clara à raison. Elle s’est énervée toute seule. Dit-elle en essayant de cacher sa colère envers son ancienne amante. — Vraiment ? Elle a pété un câble juste parce que tu parlais ? Demande Malo. — Je pense plutôt que c’est le fait que Clara parlait avec nous. Dis Ezequiel. — Votre rivalité va trop loin franchement… dis Malovy. — Il n’y a pas de rivalité. Je suis la chef et elle ne peut pas me rivaliser. Mais ne t’inquiète pas, en tant qu’ainée, j’ai déjà prévu le coup.
*****
Le lendemain, Laura rentre à la colocation après sa nuit dehors. Elle a passé de nombreuses heures dans des bars à boire de l’alcool. Puis, en fin de nuit, devant dormir quelque part, elle a accepté les avances d’un mec. Elle ne se souvient même pas de son allure. La seule chose qu’elle sait, c’est qu’elle fut son vide couille avant de dormir très peu de temps. La nuit arrivant bientôt à sa fin et le mec l’ayant bien défoncée dans son pieu avant de roupiller, ça lui a permis de prendre un peu de repos. Mais elle se réveille assez tôt (si 9 heures peuvent être considérées comme tôt) et le mec ronfle encore bien fort dans son lit. Elle prend la direction de la sortie, vomissant dans son couloir avant de récupérer des bières sur la table, et de quitter cet appartement.
Elle a marché de longues minutes en titubant dans les rues de la ville, sous certains regards sur sa dégaine, et elle arrive à destination. Elle se retrouve alors devant Clara qui voit son état déplorable. Sa chevelure rousse ne ressemble plus à rien, tout comme son visage d’ailleurs. Elle porte une robe rouge, arrivant à mi-cuisses. Elle est très mal fagotée. Une bretelle est descendue jusqu’à son coude et un de ses deux petits nichons est visible selon l’angle où on la regarde. Pour le bas, un côté est plus remonté que l’autre. Lorsqu’elle s’est fait défoncer la chatte dans plein de position par cet inconnu, cette robe n’était qu’un torchon autour de sa taille. A son réveil, Laura a remis comme elle peut son vêtement. Lors de son entrée dans la coloc’, elle a balancé ses talons dans l’entrée avant d’entreprendre de rallier sa chambre.
Mais Clara se trouve belle et bien devant elle, dans le salon. Elle lui lance un regard noir tandis que la rousse peine à la regarder dans les yeux, essayant de comprendre ce qu’il se passe. Elle doit attendre que Clara parle la première pour bien s’en rendre compte.
— Tu as vu l’heure ? Tu comptes faire ça pendant encore longtemps ? — Ta gueule sale pute…
Laura commence à avoir une nouvelle montée de colère envers Clara. La jugeant responsable de toutes ses erreurs et de la perte de Mathilde. Clara s’avance pour être face à face avec elle, à quelques centimètres de son visage.
— T’es ridicule ma pauvre. Tu fais n’importe quoi avec les gens qui t’entourent et tu n’es même pas capable d’assumer tes actes. Lui dit Clara en la dévisageant du regard. — Va te faire foutre. Lui répond Laura, les dents et les poings serrés. — En parlant de foutre, tu en as même dans tes cheveux, petite conne. — PAF !
Clara vient de recevoir une énorme claque en pleine figure, la rousse y a mis toute sa fureur et toute sa force. Elle voit Clara avoir un petit rictus en se caressant la partie de son visage qui vient de se faire frapper. D’un coup, que Laura n’a pas vu venir, Clara lui choppe une poignée de cheveux et amène Laura contre le mur, son autre main se plaquant contre sa mâchoire.
— Tu as vraiment cru tu pouvais m’en coller une sans toute impunité ? J’imagine que ça t’a bien fait kiffer pétasse ! Maintenant, tu vas déguster !
Clara lève une de ses mains, celle posée sur sa mâchoire, et elle s’apprête à lui refaire le portrait. Laura, ferme ses yeux comme si, elle attend la sentence. Finalement, Clara baise sa main et regarde son ancienne soumise.
— Ouvre les yeux. — (elle s’exécute). — Ouvre la bouche. — (elle s’exécute). — Suce mes doigts. — (elle s’exécute). — Tu as fait du mal à notre petite Mathilde. Et ce n’est pas bien du tout. Alors tu mérites une punition. Pas vrai ? — (Oui de la tête)
Clara retire ses doigts de la bouche de Laura, la tient toujours par les cheveux et l’amène dans sa chambre. Une fois arrivée, elle la jette sur le lit. Elle tire sur sa robe pour qu’elle se retrouve encore en chiffon autour de sa taille. Elle crache sur son petit, mais mignon 90B et les lèche rapidement, en mordant avec rage ses tétons, faisant gémir Laura. Elle lui écarte les cuisses pour lui rentrer deux doigts dans sa chatte, doigts qu’elle va vite retirer.
— Mais regarde-moi ça, tu as même du sperme plein la chatte !
Elle donne ses doigts à lécher à Laura puis part lui bouffer la chatte. Elle prend en bouche un maximum de semence qu’elle peut pour venir cracher au visage de la rousse.
— Nettoie-moi ça ! Sale pute !
Laura s’exécute et prend ses doigts pour amener le sperme à sa bouche, les sucer et l’avaler. Clara recommence à mettre ses doigts dans la chatte de Laura et commence à la doigter avec force. Ce qu’elle lui a fait a de nombreuses reprises, et que Laura a aussi pris l’habitude de faire à Mathilde. Laura redresse la tête pour voir ce que Clara fait à sa minette et le teint rouge, elle jouit en criant et éjectant un jet de cyprine. Mais pas de manière aussi impressionnante que sa Mathilde qui est très femme fontaine.
— AAAAAH ! OOOOOOH !
Clara prend la tête de Laura et la plaque entre ses gros seins. Son bonnet D se fait manger par sa petite langue qui passe partout avant que Clara tire sur ses cheveux pour l’arrêter de lui téter les bouts de nichons. Elle pousse Laura pour qu’elle se retourne. Clara quitte le lit et prend des objets qu’elle lance dessus, en regardant Laura affalée sur le ventre.
— Une chienne, c’est à quatre pattes !
Laura, difficilement, relève son cul, et se redresse sur ses avant-bras. Clara remonte sur le lit et se place derrière elle. Elle prend un gode ceinture de trente centimètres et se l’enfile. Ses mains sur les hanches de la rousse, le bout en plastique s’enfonce dans sa petite chatte déjà bien rougie par son activité sexuelle de défouloir à bite durant la nuit. Clara commence à pilonner Laura qui fait résonner sa jolie voix dans cette chambre. Une main vient choper les cheveux de Laura pour les tirer assez fort tandis que l’autre commence à lui claquer les fesses.
Elle arrête de lui claquer les fesses et prend sur le lit, une ceinture. Plié en deux, elle caresse les fesses comme pour la prévenir de ce qu’il va arriver. Et…
— Shlack ! Shlack ! Shlack ! — RHAA ! AAARRH !
Les fesses de Laura sont fouettées par le cuir. La douleur, mêlée à l’excitation et au frisson, fait défaillir Laura. Clara prend la ceinture et la passe autour du coup de Laura et lui lâche les cheveux. Elle la baise comme cela, avec une ceinture lui improvisant une laisse de chien. La sienne ayant disparu… vu que Malovy lui a piqué quand elle s’est fait défoncer par ses anciens amants… En tous cas, Laura se fait baiser comme une vulgaire pute, et jouit avec un orgasme qui manque de la faire s’évanouir.
— OOOOH ! OOOOH ! UUUUUURRGGHHSTTT !
Clara regarde Laura écroulée au milieu de son lit. Exténuée par sa petite nuit, enfin, ses petites nuits, et par cette dernière baise sauvage.
— J’espère que tu as compris que tu n’arriveras jamais à mes chevilles en matière de baise. Je suis une dominatrice et toi, une soumise. Ton petit jeu avec Mathilde n’était qu’illusion. Maintenant, tu as deux choix : redevenir ma chienne à plein temps ou avoir une relation normale, mais pleine d’amour avec Mathilde. Maintenant, va prendre ta douche, repose-toi bien. Et prends la bonne décision.
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Mathilde fait tranquillement la vaisselle après le repas du soir. Encore une fois, sans Laura. Mais pas parce qu’elle est de sortie, mais, car elle dort. Clara vient donc voir Mathilde. Elles sont seules dans la cuisine. Elle se colle à elle et la belle brunette en frissonne.
— Tu vas bien Mathilde ? — Oui… — Tu es sure ? J’ai bien vu comment tu regardais Malo et Ezequiel depuis qu’ils ont annoncé leur couple. Tu es en manque et tu les jalouses. N’est-ce pas ? Tu as besoin de sexe ! Dis Clara en passant ses mains en avant, pour choper les gros seins de Mathilde et les malaxer. — (elle souffle de désirs) Ouiiii, vas-y… Baise-moi… — Non ma puce, ce n’est pas ce que tu veux, ce n’est pas ce dont tu as besoin. C’est Laura qu’il te faut. — Laura, mais… — Je sais, mais si je te disais que j’ai réussi à la remettre dans le droit chemin, tu accepterais de lui donner une seconde chance ? L’interrompt Clara. — Tu… Tu as fait ça ? — Oui. Tu peux avoir la relation que tu as toujours voulue avec elle.
Après lui avoir donné un baiser sur la joue, en pressant ses seins avec ses mains, l’un contre l’autre, elle se retire d’elle. Ses mains quittent sa poitrine, son corps de décolle et elle s’en va. Laissant la jolie Mathilde réfléchir à la situation, à la possibilité de revenir vers une Laura qui s’est remise en question.
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