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Coloc possessif

Chapitre 1

Gay
Ceci est une histoire vraie qui a débuté il y a à un peu plus d’un an, et cela continue encore aujourd’hui. Jamais je n’aurais pensé me retrouver dans cette situation 1 an plus tard, et surtout, je n’aurais jamais pensé l’écrire ici. A des fins de confidentialité, je modifierais les noms.
Tout ça commence début l’année dernière.Je m’appelle Paul, j’ai 20 ans, 1m85, châtain barbu et pas ce qu’il y de plus musclé. Comme tous les hommes en suisse, je dois faire mon service militaire afin de m’inscrire à l’Uni.Pendant ce service, j’ai rencontré un gars, Max, brun aux cheveux bouclés, assez musclé, avec qui je suis devenu très proche, nous étions tous les deux officiellement hétéro et avions nos copines respectives. Les semaines passèrent très vite avec lui et chaque jour, nous devenions encore plus proches, jusqu’à se rendre compte que ce n’était plus seulement de l’amitié, et instinctivement on s’est embrassé quelques jours avant la fin du service et un "je crois que je t’aime" et sorti de ma bouche.
On a donc décidé à la fin de tout ça de se mettre en couple tout en restant discret et gardant nos copines respectives, une très mauvaise idée qui ne durera que 3 mois. Nous avons donc quitté nos copines, car c’était insoutenable de vivre dans le mensonge permanent, et nous pouvions enfin vivre en couple, tout en restant très discrets vis-à-vis de nos amis et famille.
Pendant 5 mois, j’ai vécu les plus beaux jours de ma vie avec Max, j’ai découvert une nouvelle sexualité, de nouvelles sensations, le tout avec un amour sincère, que demander de plus.Nous pouvions désormais tous les deux aller à l’université, mais Max, lui, devait prendre une année pour travailler et se payer un appart : je devais donc commencer l’université sans lui.Mon choix se porte sur la faculté de droit de Fribourg, bilingue et réputé en suisse, mais surtout pas trop loin de chez Max, 40mn. Je commence donc les recherches de chambre en colocation, les studios et autres appartements étant hors de prix.
Je trouve donc la coloc parfaite, une résidence neuve, pas loin de l’uni, j’y emménage sans perdre de temps et fais très vite rencontre avec mes deux autres colocs qui viennent aussi d’arriver : Théo, un étudiant en droit un peu efféminé et arrogant, le feeling ne passe pas trop avec lui, et Simon, 22 ans, étudiant en Médecine avec qui je m’entends très bien directement.
Il est un peu plus petit que moi, mais très athlétique, son vidage est plutôt banal, mais toujours beau, le genre de personne qu’on pourrait croiser tous les jours dans la rue.On commence à discuter un peu de nos vies, des filles, etc. et je lui demande :
— Et sinon t’es en couple ?— Oulah non, moi je suis là pour profiter, pas besoin de sérieux pendant mes études. J’espère que les Fribourgeoises sont bonnes, j’en ai déjà vu quelques-unes pas mal en arrivant, répond-il en riant.— Ouais ça va, j’en ai déjà vu quelques-unes, je vais essayer d’en trouver à l’uni, on verra ce que ça donne ! dis-je, peu convaincu.— Haha mon gars, ça va être un vrai Harem cet appart, la seule règle : personne ne baise là ou je mange ! — Bien sûr haha, t’essaieras de pas faire trop de bruit quand même.— Ah, à ce sujet, je suis plutôt hard, donc désolé d’avance pour le bruit, je vais essayer de maîtriser, lance fièrement Simon.— T’inquiète je vois, mais je veux pas en savoir plus, restons en là haha.
Je n’avais donc pas mentionné le fait que j’avais un copain, je devais donc trouver un moyen, une excuse pour justifier qu’un homme dorme fréquemment dans ma chambre :
— Au fait, j’espère que ça dérangera pas trop, mais vous risquez souvent de voir mon meilleur ami ici, on risque de faire des beuveries assez souvent avec lui ici. Il va venir ce soir, vous allez voir, il est chill.— Cool, bah allez on va chercher à boire pour ce soir ? répond Simon.— Go !
J’ai une excuse pour justifier la présence récurrente de mon copain désormais. Max arrivait et on commença la soirée, et tout le monde s’est plutôt bien entendu. Mon copain resta bien sûr « dormir » dans mon lit, en essayant de faire le moins de bruit possible. On répéta bien sûr le processus plusieurs fois par semaine sans se faire griller, ou du moins ce que je pensais.Simon, lui enchaînait les plans cul plus ou moins bruyamment, mais le dernier, trop bruyant était celui de trop pour Théo :
— Tu casses les couilles t’as fait vraiment trop de bruit hier soir, on a bientôt partiels grand ! hurle-t-il.— Calme-toi, excuse-moi d’avoir une vie sexuelle plus intéressante que la tienne, je suis sûr que tu te branles en écoutant le bruit va haha, répond Simon.
Je lâche un éclat de rire, mais je n’aurais pas dû.
— Toi aussi Paulo, je sais pas ce que vous avez foutu dans la chambre avec ton pote y a deux jour, mais ça m’a réveillé, vos petits bruits suspects là, dit Théo.
J’étais en panique, je devais trouver une excuse rapidement :
— Ahh oui c’est vrai haha, on était un peu ronds, on s’est mis à faire du sport en plein milieu de la nuit haha.
(Quelle excuse de merde quand j’y repense)
— Pfff vous êtes des abrutis, me répondit-il.— En parlant de ça, faudrait que tu viennes au fitness avec moi gros Paulo, tu commences à prendre du vide à rien foutre, ou au moins venir courir un coup, dit Simon pour détendre la conversation.— Allez si tu veux, je teste demain soir, courir, j’ai la flemme de payer le fitness haha.
Le lendemain après les cours, je pars donc avec Simon pour un jogging dans un parcours qu’il avait trouvé et on commence à discuter :
— Tu trouves vraiment que j’avais fait trop de bruit la dernière fois ? J’lui avais pourtant foutu mon point dans la bouche pour qu’elle ferme sa gueule cette chienne haha, demande Simon.— Non ça passe, j’avais de la musique dans les oreilles, il devrait faire la même ce couillon de Théo.— Ouais un abruti ce gars. Par contre pour les bruits, j’ai aussi entendu, t’inquiète pas, t’as pas à me sortir ton excuse de morts là haha, je sais ce que vous faisiez, t’as pas à t’expliquer.— hein comment ça ? dis-je d’un air faussement étonné.— Je sais que c’est pas juste « ton meilleur ami », j’avais déjà aussi entendu des bruits presque à chaque fois qu’il est venu.— Ah merde, busted, bah j’ai rien d’autre à ajouter haha, j’hésitais à te le dire depuis le début, mais je pensais que t’allais prendre peur, j’ai pas envie de me retrouver solo avec Théo moi, il est chelou.— Non non t’inquiète, je suis tolérant, je t’ai dit tant que tu ne baises pas là où je mange tout est bon, et je dirais rien, dit-il en me tapant l’épaule.
J’étais à la fois perturbé et soulagé qu’il le sache, et nous rentrons tranquillement à l’appart. En rentrant, il se met en boxer et se sert un verre. Il était la debout, sa transpiration coulait sur ses pecs et ses abdos en béton, ça m’a instinctivement donné une trique. Il l’a vue puis sans rien dire, il est allé se doucher.Deux semaines passèrent, je me suis mis à garder l’habitude de courir avec lui, mais étrangement, pendant ces deux semaines, je n’ai vu aucune fille défiler dans l’appart, Théo lui était content, mais moi je me posais des questions, et j’en profitai pour lui demander lors d’un jogging :
— T’es sûr que ça va gros ? on se disait avec Théo que c’est chelou de voir ou d’entendre aucun de tes plans, t’es à sec haha.— Non non haha..., répond Simon.— T’as fait le tour de toutes les meufs bonnes de Fribourg et t’en trouves plus ? Ou peut-être que tu travailles enfin vraiment !— Non plus...— Okay je laisse tomber alors.— Je te plais ? — Groooos, je suis en couple, Max me plaît énormément et je l’aime vraiment, à quoi tu joues ?— Bah je sais pas l’autre jour, j’ai vu en rentrant, tu bandais alors que tu me regardais, je me demandais...— Ah... désolé je sais pas quoi dire merde.— C’est pas grave, t’inquiète, je fais de l’effet aux femmes alors pourquoi pas aux Pd, lance Simon en riant.— Haha ouais je vais pas le cacher, t’es bien foutu oui.— Merci et toi t’as un beau cul pour un mec.— T’es sérieux grand ? Merci quand même, mais bon...— Bah ouais si t’étais une meuf, je t’aurais baisé direct avec un Boulard pareil.
Ça m’a fait directement bander et il l’a vu, je me sentais extrêmement mal à l’aise par rapport à Max. Je suis rentré tranquillement avec et pris une douche froide pour calmer mes ardeurs.La semaine d’après, nous avions prévu une grosse soirée en ville avec des potes de l’uni et Simon (Théo était rentré chez lui), très très arrosée, on rentre vers 4h du mat à l’appart. Trop bourré pour chercher les clés de l’appart dans mon sac, je demande à Simon d’ouvrir mon sac et de chercher dedans. J’entends le bruit des clés, mais Simon continue à fouiller et tombe sur une bouteille de lubrifiant :
— Qu’est-ce que tu fous, donne les clés et ferme le sac, dis-je.— Hmm oui les clés hmmm, fit Simon, complètement ivre.
Il referme mon sac, qui est toujours dans mon dos, puis je sens un truc près de mes fesses : il jouait avec la bouteille de lubrifiant dans ma rais à l’extérieur de mon pantalon.
— Ça doit bien glisser avec ça hein ? fit-il en continuant de la glisser de bas en haut.— Putain Simon ferme ta gueule et arrête ça, t’es bourré !
On réussit tant bien que mal à arriver à l’appart et je vais pisser avant de me coucher. J’entends Simon qui me suis dans la salle de bain, mais je pisse quand même. Il vient se coller derrière moi en riant :
— Haha ton chibre est minuscule, je comprends que tu te sois tourné vers les gars, tu peux rien faire avec ça haha !— Calma il fait 17 centimètres quand je bande, répondis-je un peu heurté.
Je termine de pisser et me retourne. Il avait baissé son pantalon et son caleçon, tout en restant derrière moi :
— Ça, tu vois, c’est la raison pour laquelle les meufs crient dans mon lit, 23 centimètres c’est une vraie teub.
En effet, elle était énorme, ce n’est pas juste un fantasme d’histoire érotique, mais elle faisait réellement 23 centimètres par 6 au moins, avec une énorme paire de couilles, j’étais bouche B.Sans prévenir, il me pousse en arrière et je tombe assis sur les toilettes puis sans prévenir, il me met une biffle et me rit au nez:
— Haha je suis sûr que tu bandes petit Pd.
Il avait raison, mais j’étais incapable de répondre, bourré et sous le choque. Pourtant lui semblait avoir perdu son ivresse.
— Allez ouvre ta bouche, j’avais envie de faire ça la dernière fois qu’on était dans les bois en train de courir, mais t’avais pas l’aire réceptive petite pute.
J’ouvre la bouche sans un mot et il commence à faire des va-et-vient, et d’un coup sec me la met au fond, gorge profonde et me maintient très fort avec ses mains : je ne peux plus bouger et respirer. Il reste comme ça pendant 30 secondes en poussant des grognements de plaisir, qui arrête quelque instant et ramasse son Natel par terre :
— Il faut bien qu’on ait quelques souvenirs pour plus tard non ?
Il me remet les 23 centimètres dans la bouche avant que je puisse répondre et commence à me filmer avec le flash, j’étais bien trop bourré pour réaliser ce qu’il faisait.
— Hmm tu as faim petite chienne hein ? Viens téter un gros calibre de mâle alpha, dit-il tout en me biffant violemment puis en me crachant au visage.— Hmm c’est bien petit Paulo, tu vas avoir ta petite récompense comme toutes les chiennes qui sont passées dans mon lit, t’inquiète pas.
Il continue à me pilonner la gorge pendant 10 mn tout en filmant, mais je suis toujours sonné :
— Hmmm la voilà ta récompense !
Il sort sa bite de ma bouche et me gicle partout sur le visage, je suis recouvert :
— Viens nettoyer, il y en reste sur mon chibre.
Je passe un coup de langue, mais il me prend par surprise et me le renfonce au fond de la gorge. Il arrête de filmer et prend une dernière photo de moi, couvert de sa semence avec son chibre dans la bouche.
— Tu es officiellement ma chienne, pauvre Max, j’espère que tu vas pas trop lui manquer.
Je suis scotché, mais pas le temps de reprendre mes esprits, il me prends par le col et me jette dans la douche :
— Tiens je vais te nettoyer tout ça, tu vas pas aller au lit couvert de mon foutre quand même ?...— non haha..., dis-je abasourdi par la situation.
Je pense réellement qu’il va me nettoyer, mais que je suis naïf.Il commence à me pisser dessus, puis rapproche sur mon visage, enlève un peu de foutre puis me retourne avec son pied et me pisse sur la raie.
—... tu vas aller au lit couvert de mon foutre et de ma pisse. Maintenant, j’ai bien marqué mon territoire, Max devra comprendre que tu es à moi maintenant.
A suivre...
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