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Ma colocataire

Chapitre 4

Lesbienne
L’éducation.
J’ai pensé à Magalie toute la journée du lendemain. Elle m’avait complètement possédée, et où qu’elle m’entraîne, j’étais bien décidée à la suivre. Mes cours s’étant terminés assez tôt, je suis arrivée la première dans la chambre. J’ai ôté ma culotte, relevé mon kilt pour me laver l’entrejambe au lavabo que nous avions en commun. Je voulais être prête au cas où... Puis je me suis assise à ma table, me suis mise au travail.La perverse rentra une heure après, et comme si de rien n’était, me sortit les banalités habituelles avant de s’atteler aux lectures qu’elle avait à faire. Ma seule consolation fut de pouvoir accéder facilement à mon intimité. Plus tard, au réfectoire, assise à côté d’elle, j’ai écarté les jambes dans l’espoir qu’elle y glisserait sa main. En vain.
Le supplice perdura toute la soirée ; Magalie se battait avec Marx, et moi avec Fourier. Enfin, vers onze heures, elle rangea livres et cahiers. Elle mit le plus grand soin à préparer son sac pour le lendemain, toujours sans m’accorder un mot ni un regard. Puis elle se leva, se dirigea vers son lit, se dévêtit avec une lenteur inhabituelle, disposant méthodiquement ses habits sur sa chaise. Quand elle n’eut plus sur elle que ses sous-vêtements, elle s’approcha de moi, m’enjoignit de les lui enlever.
J’ai commencé par le soutien-gorge, dévoilant une jolie poitrine. Je n’osais tâter ses seins malgré l’envie que j’en avais.
— Comment les trouves-tu ? Pas mal, non ? Minauda-t-elle.
Elle sortait à peine de l’adolescence, et la gravitation n’avait pas encore eu le temps de modeler ses seins. Ils pointaient comme deux obus miniatures, avec un détonateur assez large, et foncé. L’excitation avait contracté ses mamelons, les faisant saillir comme si elle y avait appliqué des glaçons. Sa jeunesse se voyait aussi à ses hanches fines et peu galbées. Son nombril parfaitement circulaire mettait en valeur un ventre plat.Je lui descendis lentement son slip, et quand je vis apparaître ses premiers poils, Magalie se retourna pour m’exhiber ses fesses. Je découvris alors avec admiration les deux ravissantes fossettes qu’elle avait au bas des reins. Magalie avait des fesses de petite fille. Je n’eus pas le temps de m’émouvoir sur ce mélange de femme et d’adolescente, car elle se retourna à nouveau, m’exhibant son intimité. Un triangle équilatéral presque parfait de poils bruns peu fournis laissait deviner une médiatrice pleine de promesses. Une auréole jaune marquait le fond de sa culotte de coton, descendue à mi-cuisses.
Elle leva une jambe après l’autre pour me permettre de récupérer le slip. C’était manifestement une invite à l’utiliser, c’est du moins ainsi que je l’ai compris. J’ai posé sur mon visage l’empiècement où se dessinait la tache jaune. C’était humide. Je suis restée plusieurs secondes à la humer, m’enivrant de son parfume où dominait nettement l’odeur d’urine. Magalie me regardait, l’air à la fois incrédule et ravie.
— Tu aimes ?
J’ai opiné d’un mouvement de tête. Elle s’est allongée sur le lit.
— Alors, lèche-moi comme hier. Tu m’as rendue dingue, je n’ai pensé qu’à ça.
Je me suis mise à genoux ; elle a écarté les jambes. Ses lèvres fines, d’un rose tendre, brillaient. Je les ai ouvertes avec mes pouces. L’intérieur était tapissé d’une liqueur opaque. J’y ai plongé mon nez : l’odeur était enivrante. Puis j’ai léché son méat. Le goût était salé. La coquine avait préparé son coup. Je revivais le baiser d’Christine, sauf que c’est moi qui agissais. Je me suis arrêtée juste avant qu’elle jouisse : c’était mon tour de la torturer.
— Vas-y, continue... Ah ! C’est bon !
Pour l’exciter encore plus, j’ai fait semblant de la gronder :
— Tu n’as pas honte de faire pipi-culotte à ton âge ? Je parie que tu l’as fait exprès pour me le faire lécher, petite cochonne !
Comme je l’avais prévu, le simple fait de lui dire que j’entrais dans son jeu suffit à la faire partir. Elle cria. Ses yeux grands ouverts se révulsèrent pendant quelques fractions de secondes. C’est étonnant comme la jouissance sur un visage peut ressembler à la souffrance. J’attendis qu’elle ait retrouvé ses esprits.
— Jamais, je n’ai eu autant de plaisir, me dit-elle. C’est vrai qu’hier, tu m’as chauffée à blanc avec tes histoires. J’ai voulu savoir l’effet que ça produisait, et j’ai fait exactement la même chose que toi, après ta visite médicale. Toute la journée, j’ai espéré que tu me lécherais.
En l’écoutant, je réalisais que c’était notre cerveau qui commandait nos zones érogènes, qu’il était le siège de la sexualité. Les bonnes sœurs avaient essayé de me dégoûter du sexe et de me détourner des plaisirs sensuels, mais la curiosité et l’excitation avaient passé outre à l’interdit ; il en était de même pour Magalie.
— Ça y est, dit celle-ci, je suis revenue sur terre, on va s’occuper de toi.
J’étais toujours à genoux. Elle m’aida à me relever, passa sa main entre les pans de mon kilt pour me caresser la fente.
— Oh ! Tu n’as pas de culotte ! Voyons si tu es aussi négligée que moi.
Elle sentit ses doigts, les goûta.
— Ah non, c’est tout propre !— Oui, je me suis lavée tout à l’heure...— Je vois. Mademoiselle veut me faire honte ! Eh ben, si tu veux être propre, j’ai une idée pour que tu le sois encore plus !
Magalie me fit ôter mon kilt, m’ordonna de m’asseoir au bord du lit, jambes écartées. En se levant pour aller fouiller dans sa trousse de toilette, elle m’exhiba ses fesses et ses fossettes. Pendant qu’elle était occupée, j’ai achevé de me déshabiller. Elle revint près de moi en brandissant une paire de ciseaux...
Dans les années quatre-vingt, on sortait tout juste de la révolution sexuelle, et c’était encore la période sans soutien-gorge, mais avec les poils en friche. Magalie allait donc encore une fois dynamiter un tabou.
Excitée comme je l’étais, j’étais prête à accepter n’importe quoi. S’installant confortablement à mes pieds, elle entreprit de couper mes poils. Le froid de la lame sur ma peau me fit frissonner. Une première touffe tomba. Ma copine me débarrassa de ma toison, et quand elle eut fini, elle s’arrêta pour me montrer son œuvre.
— Passons à la seconde phase, si mademoiselle veut bien s’approcher du lavabo.
Elle fit couler l’eau, fourragea à nouveau dans ses affaires. Je vis apparaître un rasoir, un blaireau et de la crème à raser. Elle fit rapidement mousser la crème dans un bol, puis s’asseyant sur une chaise, face à moi, trempa le blaireau dans le bol. Elle me le me passa, en insistant sur des endroits pourtant dépourvus de poils. Elle le faisait remonter en forçant l’ouverture de ma fente ; ça me donnait des frissons à travers tout le corps.
— Ne bouge pas, dit-elle en s’interrompant, j’ai besoin de concentration pour le rasage.
D’une main experte, Magalie supprima les poils qui avaient échappé aux ciseaux. Un rapide passage de son gant de toilette pour rincer, un coup de serviette, et j’étais prête pour l’inspection. Le miroir me renvoya plusieurs années en arrière, avant ma puberté.
— Regarde, c’est pas mignon ? Viens, on va l’essayer. Couche-toi sur mon lit.
Elle se plaça au-dessus de moi tête-bêche et me lécha partout où le rasoir était passé. Encore une sensation nouvelle pour moi. Je me suis sentie nue comme je ne l’avais jamais été.
Magalie fit une pause. Elle s’assit sur mon visage.
— Vas-y, fais ma toilette.
J’eus tout le loisir, pendant qu’elle s’occupait de mon sexe, d’admirer son intimité béante à quelques centimètres de mon visage, avant d’y passer la langue.
Quand elle atteignit mon clitoris, je pris mon plaisir. Magalie se retourna ensuite, et toujours à califourchon mais face à moi, se masturba quelques secondes, s’excitant elle-même de son exhibition. Je sentis couler quelque chose sur mes seins : Magalie jouissait.
Je pensais que nous allions en rester là, mais elle avait encore une idée derrière la tête.
— Tu veux me faire plaisir ?
Comme si j’avais envie de lui refuser quoi que ce soit ! Sans attendre la réponse, elle alla chercher mon verre à dents.
— Allez, dit-elle, c’est l’heure de l’entraînement, pas plus d’un centimètre.
Je me suis levée, j’ai pris le verre, je me suis cambrée, j’ai écarté mes lèvres, puis approché le flacon de mon sexe. Magalie s’était accroupie à mes pieds pour ne rien manquer du spectacle. Après avoir émis quelques gouttes, j’ai attendu les nouvelles instructions.
Magalie écarta le verre, colla sa bouche à ma fente, et de la pointe de sa langue, chercha mon méat.
— Recommence ! dit-elle en se retirant.
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