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Colocation réussie

Chapitre 1

Travesti / Trans
Coucou Chère lectrice, Cher lecteur,

Laissez-moi me présenter, je m’appelle Benjamin, j’ai 20 ans. Physiquement je mesure 1m74 pour 61kg, donc pas très grand et surtout très fin. J’ai les yeux bleus, les cheveux longs châtains toujours coiffés en queue de cheval. Je suis pas franchement le mec masculin dont rêve les filles mais plutôt sûr de moi donc j’ai pas mal d’aventures avec des femmes. Depuis tout jeune, je suis aussi attiré par les travestis et transexuelles et récemment, j’ai eu la chance de rencontrer l’une d’elle, c’était absolument magnifique. A tel point que j’ai du mal à retourner vers une femme. Mais tout ça, je n’en ai jamais parlé à personne.

Septembre 2019-
Je vis en collocation avec un de mes meilleurs potes depuis un an et sa chérie vit avec nous depuis deux mois le temps de trouver un boulot. Lui travaille, et elle recherche du travail en salon d’esthétique. Elle est esthéticienne de formation.

Lui est grand et très masculin, brun cheveux courts, bien foutu et il plait beaucoup aux femmes. Je suis un peu gêné vis-à-vis d’elle car il adorait me vanté ses exploits et le nombre de fois où il l’avait cocufiée ; me mettant dans des situations délicates. Ludo est souvent au travail alors que je suis aussi en recherche d’emploi. Autant dire que Léa et moi sommes souvent seuls à l’appartement… Alors bien souvent elle se confie, partage ses doutes ; et moi, en bon pote de Ludo, je la rassure en sachant tout ce qu’il lui a fait avant.

Léa est jolie fille, légèrement plus petite que moi, fine, et agréable. Elle est toujours bien apprêtée, très féminine. J’ai du mal à comprendre Ludo… Mais depuis qu’elle est là, je dois dire qu’il ne déconne plus. Un soir, on prend l’apéro tous les deux tandis que Ludo bosse encore et elle se confie. Elle sait que Ludo a un appétit sexuel débordant. En réalité je les entends souvent faire l’amour, ils sont franchement pas discrets, et lui est plutôt démonstratif. Elle m’avoue :

— Quand j’étais à Lyon et qu’on se voyait, on passait notre journée au lit. Depuis que je suis avec vous, on le fait au moins deux fois par jour.

Elle m’avoue que sans ça, il lui fait la gueule ou des allusions. Elle ne crache pas dans la soupe, elle adore le sex aussi ; mais elle s’inquiète de lorsqu’elle est absente. Et bien sûr, je la rassure… en y pensant pas une seconde. Elle est aussi inquiète de ne pas trouver de boulot alors qu’elle est douée. Je lui demande :

— Tu as de l’expérience ? C’est peut-être ce qu’il te manque pour trouver une place…


— Oui je travaillais à Lyon mais j’ai choisis Ludo. Dis, depuis quelques semaines on sympathise et on s’ennuie, tu voudrais pas me laisser garder la main sur toi ?

— Je sais que tu entretiens ton homme mais avec moi, ce serait bizarre tu crois pas ?

En effet, pour avoir vu Ludo en short sans haut, sa pilosité est parfaitement entretenue et très masculine.

— Tu sais j’ai vu plein de mecs en salon c’est courant maintenant. Et puis Ludo a pas besoin de savoir ça si tu redoutes sa réaction. T’en dis quoi ?

— C’est pas que ça…

Je n’ai pas d’argument en fait.

— Allez, laisse-moi faire, après tu te sentiras encore mieux dans ton corps promis ! Je vais chercher mes affaires et toi tu t’allonges sur ton lit ok ?

J’accepte. Elle arrive dans ma chambre et me fait mettre en boxer. Je suis plutôt peu poilu mais j’ai évidemment des poils aux jambes, au torse, aux bras et aux aisselles. Elle s’enthousiasme parce qu’elle a du travail. Elle demande :

— Bon, tu veux quoi ? Ludo, je lui enlève tout. Avec son corps, il reste masculin et viril. Mais toi, t’es plus androgyne mais je sais que t’aimes les filles, on en a parlé avec Ludo.

— Tu te posais la question ?

— Franchement oui, avec ton physique et ta coiffure c’est plutôt normal non ? Et puis il y a quelques jours j’ai vu l’historique de ton ordinateur.

— Quoi ? Tu as vu quoi ? T’es sérieuse ?

— Ça va j’ai juste vu que tu à l’air d’aimer les travestis aussi.

Je deviens rouge tomate !

— Ok peut-être que j’ai regarder des trucs comme ça mais je suis pas gay je te jure.

— Je te crois stresse pas. Cette séance va te relaxer j’en suis sûre.

Sans plus dire mot, Léa prépare son matériel et commence mon épilation. C’est franchement douloureux ! Mais rapidement je me retrouve avec des jambes complètement lisses et je trouve ça plutôt… excitant et sexy. Elle relance la discussion voyant que je me détends et apprécie les premiers résultats.

— Tu as déjà couché avec un garçon ?

— Non jamais, tu veux vraiment me voir gay ou quoi ?

— Non non t’énerve pas. Et une travestie ?

— Je… oui une fois.

— Et à l’évidence tu as aimé…

— Oui j’ai aimé ça va ?

Plus de bruit, elle continue son travail. Après quelques minutes, j’ai le torse lisse et le bas ventre aussi.

— Tu l’as caressée ?

— Quoi ? Comment ça ?

— La travestie, tu lui as caressé le sexe ?

— Mais pourquoi tu veux savoir ça ?

— Benjamin, quitte à se retrouver tout le temps les deux, autant qu’on puisse tout se dire non ? Je dirai rien à Ludo je te jure.

— Ok ok tu as raison, et au fait merci de t’occuper de moi, c’est plutôt cool en fait d’être lisse.

— Ça te va bien je trouve oui, mais t’as l’air encore plus féminin j’espère que ça te dérange pas.

— Oui, oui je l’ai caressée. Et j’ai aimé.

— Tu détourne la conversation. Je finirai par tout savoir de toi toute façon.

— Qui sait, dis-je avec curiosité car cette conversation me fait du bien. D’extérioriser ce jardin secret, c’est bon en fin de compte.

— Et tu l’as sucée ? Demande-t-elle avec un grand sourire coquin.

— Non désolé de te décevoir… Mais je l’ai léchée.

On éclate de rire. Elle continue en s’occupant de chaque poil encore visible sur mon corps.

— Vas-y raconte je veux tous les détails, raconte-moi tout du début à la fin.

Voyant qu’à l’évidence, ça l’excite autant que moi, je commence :

— Ok mais si ça me chauffe tu m’en voudras pas. Donc je rencontre cette fille sur un tchat en ligne, et on se donne rendez-vous dans un hôtel. Arrivés là-bas on mange au restaurant de l’hôtel, on discute beaucoup et on monte dans la chambre. Là, un jeu de séduction s’installe et rapidement on se caresse et on se déshabille. Elle portait des genres de baskets à talons avec un jean et un petit haut. Dessous elle avait juste un string. Elle était au début de sa transition physique donc elle avait pas encore de seins mais bon sang ce qu’elle était féminine ! Une vraie bombe, j’étais sous le charme. Elle m’a chauffé en me caressant, elle suçait divinement bien ! Et dans ma tête je me demandais comment agir. Je veux dire, avec une fille, j’aime faire des cunilingus pour lui faire du bien. Mais est-ce que j’allais faire ça avec elle…?

— Tu m’as menti, je suis sûre que tu l’as sucée !

Lèa a l’air de boire mes paroles, très excitée. Moi, en boxer, me remémorant ce moment torride, j’aurais du mal à dissimuler mon excitation.

— Alors je suis passé sur elle échangeant les rôles, j’ai d’abord pris son sexe déjà tendu dans ma main en embrassant sa poitrine et son ventre, comme je le fais avec une fille. Et descendant vers son sexe, je voyais ses yeux, comme si elle n’en revenait pas, comme si aucun mec ne lui rendait ses caresses comme ça. Du coup ça m’a conforté et je me suis retrouvé nez à nez avec sa queue. Entre parenthèses, voir ma partenaire bandée, je veux dire, physiquement, ça m’a grave excité. Et puis j’ai continué à la branler en lui léchant les couilles. Elle me regardait fixement en gémissant elle avait l’air d’adorer ça en espérant plus. Et là j’ai lécher sa tige des couilles vers le gland et arrivé sur le haut, ma tête allait exploser. Moi-même j’y croyais pas. Alors j’ai refermé mes lèvres sur son gland quelques secondes en léchant le bout. Et je suis remonté vers elle. On arrêtait pas de s’embrasser à pleine bouche et je branlais nos sexes l’un contre l’autre entre mes mains. Quelques minutes après, on a tous les deux jouis ensemble sur son ventre. C’était trop bon.

— Trop sex ! Et après ?

— On s’est douché et ensuite on s’est à nouveau chauffés sur le lit. On a fait l’amour de longues minutes. Je la prenais en lui caressant la queue jusqu’à ce que je jouisse en elle et qu’elle se fasse jouir juste après avec sa main.

— T’as l’air bien chaud dis-donc, ça t’a plu on dirait.

— Je joue ton jeu Léa… Oui et depuis je fantasme beaucoup de travesti et transexuelle.

Je suis maintenant lisse des pieds au cou. Enfin sauf sous mon boxer…

— Enlève ton boxer Benji.

— T’es sérieuse ?

— Vas pas t’imaginer des trucs c’est juste pour t’épiler.

Je le baisse et le retire, en me mettant sur le ventre. Le passage des fesses et de la fente est douloureux. Puis elle me fait retourner et me fait la totale !

C’est fait, je n’ai plus un poil nul part. Elle m’invite à me regarder dans le miroir. Une excitation intense me traverse. J’ai l’impression d’être cette « fille » que je fantasme ! Cette vision me glace le sang.

— Alors tu te plais ?

— A vrai dire, un peu trop, c’est hyper troublant… Dis-je timidement.

— T’as le physique d’un femboy Benji.

— Un quoi ?

— Un mec qui joue la fille pour se faire des mecs.

— Arrête !

— Quoi ? Oses-me dire que tu trouves pas féminin là ?

— Ok je me trouve hyper féminin et excitant j’avoue mais je compte pas me faire des mecs…

Elle me passe des lotions et me masse. Rien de sexuel entre nous mais beaucoup de complicité. Une belle amitié naissante.
Plus tard, on poursuit l’apéro et c’est elle qui me parle des exploits sexuels de son mec, mon pote. Il est super chaud et insatiable.

Durant les semaines et mois qui suivent, c’est le calme plat pour moi sexuellement. Mais notre complicité à Léa et moi est incroyable. Elle m’apprend a me garder lisse seul, pour quand ils partiront dit-elle. Elle me répète sans arrêt que je serais trop belle si je me faisais fille. Elle est persuadée que je refoule mes envies et que je rêve de devenir travestie pour des mecs. Et plus elle incite, plus j’y crois.

Janvier 2020-
Quand, chaque jour, je les entends faire l’amour, je regarde des sites pornos spécialisés. « Sissy hypno » disent-ils. Et plus je regarde, plus c’est les filles que j’envie, plus je désire la queue des mecs. Je suis perdu… Jusqu’à ce qu’elle arrive à me convaincre.

Ce matin-là, Ludo vient de partir au boulot. Elle me rejoint dans ma chambre.

— Coucou Léa, il t’a défoncée ce matin non ? T’as hurlé hyper fort !

— Oui il m’a fait jouir par le cul c’était incroyable !

— Par le cul ?!

— Oui j’ai mes règles, tu crois que je le satisfait comment ? Il me saute tous les jours et en ce moment c’est plus trois fois que deux.

— T’es vraiment trop chaude ! Coquine.

— Allez arrête je suis venue pour toi, je te proposes de jouer avec moi aujourd’hui. Tu te laisses faire, tu fais tout ce que je te dis et tu as rien le droit de refuser, ok ?

— OK Léa, et j’imagine que j’ai pas le droit aux questions ?

— Non !

Je dois me doucher et une fois sorti, Léa me tend des fringues. Elle me fais mettre un tanga rose et un soutien-gorge assorti. Puis elle me passe une robe moulante rose aussi. On me regarde dans le miroir, et ça m’excite.

— T’as vu comme t’es bonne en fille chérie ?

— Arrête !

Elle me fait m’installer au salon, elle me fait les ongles au verni rouge aux mains et aux pieds. Ensuite elle me passe des bas auto-fixant blanc. La sensation est à couper le souffle sur mes jambes lisses. Je bande. Puis c’est séance maquillage et coiffure. Selon elle, il faut me faire blonde.

Il est déjà treize heures quand enfin elle me montre le résultat. Elle est bourrée de talent ! Je ne me reconnais pas. La femme que je vois me met une trique d’enfer, impossible à calmer. Elle semble ravie du résultat. Elle nous serre du vin blanc et commence une longue discussion.

— Comment tu te sens Benji ?

— Je me sens plus du tout Benji en fait…

— Quelle surprise je vois que même ta voix s’adoucit.

— Quoi, je parle normalement.

— Tu ne t’en rends même pas compte c’est trop. Écoute, depuis qu’on se connaît, je suis persuadée que tu ne seras heureuse que comme ça.

— Heureuse ?

— Oui, dis-moi que t’es pas une fille là ?

— Non je… Je me sens très féminine c’est vrai.

— Je vais t’aider pour la voix et la gestuelle mais je suis sûre que pour la première fois, tu te plais vraiment.

— Tu as raison Léa mais ça fait peur.

— Je te propose que tu sois fille à chaque instant ou Ludo n’est pas là. Et quand tu seras prête, on lui dira la vérité ok ?

— J’ai de la chance que tu sois là.

— T’as du mal à cacher ta bite par contre.

Elle éclate de rire et je me sens stupide. L’après-midi on surfe sur le tchat en me faisant draguer des mecs avec des photos de moi. Je plais visiblement. J’aime l’idée que je puisse exciter un mec.

— Léa, je pourrai jamais coucher avec un mec. J’aime ce que tu me fais découvrir là mais je me sens pas gay, je me vois pas sucer un gars ou pire, me faire prendre.

— Tu n’y connais rien, je te comprends mieux que toi-même crois-moi. Si je trouve du boulot, faudra bien que tu m’aide avec l’appétit de Ludo.

— Mais ça va pas ?! Jamais !

— Je rigole t’es à fleur de peau dis-donc, une vraie gonzesse !

Le soir elle m’apprend à me démaquiller, et les jours suivant à me préparer, à me féminiser. Si bien que cinq jours sur sept, je suis une jeune fille de plus en plus crédible. Ma gestuelle, le ton de ma voix, elle me conforte dans l’idée qu’on y croit. Mais je n’en démords pas, je ne veux pas coucher avec un homme. Je me sens juste terriblement bien en fille.

Début Mars 2020 (Oui, toi Cher lecteur, tu sais ce qu’il va bientôt arrivé, mais à ce moment-là, pas moi !)-
Léa me réveille avec entrain :

— Réveille-toi ton cadeau est arrivé, je suis trop contente !

— C’est quoi ? Demande-je alors en nuisette dans mon lit.

— Apprête-toi avec moi et fais-toi sexy, on va jouer à un nouveau jeu.

On est maquillées, sexy toutes les deux. Elles nous a réservé des tenues ultra sexy, pour pas dire ultra bandantes : ensembles noirs soutien-gorge et string avec porte-jarretelle, bas assortis et talons noirs fermés. On fait la même pointure. Et elle m’a déjà appris à marcher avec et les supporter longtemps. Je bande comme un fou à nous voir toutes deux si excitantes ! Léa s’éclipse et me rejoint au salon une minute plus tard. Elle a troqué son string contre un gode ceinture de 5cm de large sur 18cm de long. Je reste béate, subjuguée par la beauté de cette femme.

— Je suis transsexuelle pour toi aujourd’hui. Tu ne diras jamais ça à Ludo tu me le jures ?!

— Jamais c’est promis Léa.

— OK, alors aujourd’hui tu vas devenir femme. Tu as peur des garçons et je veux que tu comprennes comme c’est bon.

Je ne dis rien, conne en regardant ce gode. Elle s’approche de moi et m’embrasse sur la bouche :

— J’ai toujours fantasmé de coucher avec une fille ça va être trop bon ! Elle embrasse ma nuque et me murmure à l’oreille : à genoux chérie, suce-moi.

Comme hypnotisée, je m’exécute. A genoux devant cette femme fatale, j’ouvre la bouche pour prendre le jouet directement quand elle s’écrit :

— Non ! Pas comme ça ! Comme avec cette fille que tu as failli sucer, vas-y lentement…

— Oui ok Léa.

Je prends le gode en main et feinte de le branler. Ma langue parcoure les couilles et remonte lentement sur la tige. Nos regards ne se quittent pas, elle se mord les lèvres. J’arrive sur le gland et ouvre mes lèvres, qui se referment légèrement sur le gland que je lèche du bout de ma langue.

— Parfait maintenant rattrape-toi. Suce-moi comme tu regrettes de ne pas l’avoir sucée, elle.

Je gémis et pousse le jouet dans ma bouche. Ses mains accompagnent mes mouvements sur la tige. Je lèche et suce de longues minutes. Mes genoux me font mal. Mais j’ai l’impression d’être de plus en plus à l’aise… Elle s’installe sur le lit et me fait continuer ma pipe à quatre pattes. Ses gémissements me confortent dans l’idée que je travaille bien sur le membre.

— Oui vas-y suce ma queue chérie, t’as l’air d’adorer ça. Imagine que c’est une vraie queue dans ta bouche, avec le goût du pré-sperme, avec la veine sous ta langue, le prépuce avec lequel tu jouerais. Tu fais ça vraiment bien, y’a déjà plein de mecs qui t’auraient rempli la bouche de jus… Regarde-moi !

Je relève la tête vers elle, elle me rend dingue d’envie ! Je suis excitée comme jamais !

— Dis-moi que t’aimes ça et que tu veux sucer une vraie queue !

— Oh Léa oui ! Oui j’aime te sucer et comme tu me parles ! J’aimerais tellement que ce soit ta vraie queue !

Elle pousse ma tête pour que je la suce encore.

— Tu vas devenir une bonne salope toi aussi. Tu vas adorer entendre un mec te parler comme à une catin, t’es faite pour servir les mecs, exactement comme moi avec Ludo. Maintenant, je vais te montrer comment rendre un mec fou, pour être sûre qu’il te démonte bien le cul après. Vas-y, tire la langue et ouvre bien la bouche salope !

Elle pousse sur ma tête et remonte ses hanches pour baiser ma gorge. Je suis à un doigt de vomir. Elle m’entraine de très, très longues minutes. Mon corps se crispe et ma mâchoire me fait souffrir.

— Voilà, parfait tu y arrives enfin. T’es vraiment douée ! Oui c’est beau quand ton nez heurte le bas ventre de ton mec ça le rend dingue et maintenant je comprends pourquoi !

Ma gorge accepte enfin le jouet, je suis fière de moi et content de faire cet effet à Léa.

— Ok regarde-moi. Comment tu te sens ?

Un filet de bave me relit au gode, j’ai l’air d’une salope.

— Je suis contente d’avoir réussi et de te plaire.

— Dis-moi que tu veux que je t’encule pour soulager ta gorge ou je continue !

— J’ai mal à la mâchoire Léa, je veux que tu me prennes, supplie-je.

Elle passe derrière moi, elle pousse sur mes épaules pour me cambrer au maximum. Sa langue vient rapidement lécher mon trou vierge. La sensation de cette langue entre mes fesses me fait frissonner, c’est une sensation magnifique je n’en reviens pas ! Je me mets à gémir comme une femelle supplierait son mec de la baiser.

— Je savais que t’allais aimer ça ma chérie, me dit-elle en se redressant.

Elle tape le gode entre mes fesses.

— Oui Léa, tu me rend folle ! C’est trop bon, vas-y j’ai envie que tu m’encules !

— C’est bien supplie ton mec ils adorent ça !

Elle prend du lubrifiant anal et en passe sur le gode puis me doigte avec d’abord un doigt. J’agrippe le matelas en couinant. Ça glisse tout seul, sans douleur, alors elle insiste avec deux puis trois doigts.

— Je crois que tu es prête, retourne-toi je veux voir ton visage.

Je me retourne sur le dos et remonte les jambes pour m’offrir :

— Vas-y Léa, baise-moi !

— Oui parfait je savais que tu allais aimer devenir une femme. Je pose le gland sur ton entrée, et maintenant je… pousse pour forcer le passage…

J’ai la bouche grande ouverte, la tête relevée et je couine. Le gland passe et ma partenaire pousse lentement la queue entière au fond de moi. Quand elle heurte ma garde, elle m’observe :

— Benji ?

— Oui ?? Je couine comme dans les hentaï.

— Tu es une femme maintenant, je veux t’appeler Sarah !

— Oui, oui, je suis Sarah. Je t’en supplie baise-moi !

Elle commence donc de lents va-et-vient puis les accélère, elle me lime le cul maintenant fort variant les cadences. Je hurle de plaisir en répétant des « Oui », « Plus fort », « Encore ». Elle me demande de me branler me disant que j’encaisse bien, qu’elle est fière de moi. Et à peine quelques secondes plus tard, je gicle me provocant un orgasme intense qui me coupe le souffle et me transperce le corps de longues secondes. Quel bonheur !

— Bravo Sarah, tu es devenu une femme ça y est ! On va t’organiser une rencontre avec un vrai mec maintenant tu vas adorer ça !

Malheureusement quelques jours plus tard, le Président nous annonce que nous sommes en guerre, que le confinement commence. Et Léa décide de rejoindre sa famille à Lyon sur leur demande. Je vais donc passer ces prochains jours enfermés avec Ludo à ne pourrai pas vivre ma féminité.

Léa va me manquer !
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