Quatrième jour sans Léa, je me réveille alors qu’il fait encore nuit. C’est dur… oui je parle bien de ma verge enfermée dans sa cage rose. L’érection du matin est moins douloureuse que la veille. Ça me presse à fond et c’est à la limite de la douleur. Mes doigts cherchent le rosebud planté dans mon cul et je me rappelle sa taille. Je l’ai mis après la sodomie de Ludo mais j’ai maintenant peur d’avoir mal… Je tente de le sortir doucement et me rend compte que mon cul est toujours bien lubrifié, ce qui me rassure. Je penses à la journée d’hier et à celle qui m’attend surement.
Au lieu de m’inquiéter, cela m’excite et je repense à sa bite, énorme dans ma bouche et dans mon cul. Je penses aux sensations incroyables qu’il m’a procuré. Et j’en salive à nouveau. Je me lève et file à la salle de bains. Avec cette cage, je n’arrive à uriner que sous la douche. Je me lave, puis m’apprête pour mon pote qui semble encore dormir. Je file à la cuisine avaler quelque chose pour prendre des forces et entend Ludo qui prend sa douche. Mon coeur s’accélère, je décide de passer une tenue provocatrice : bas noir, talons sexy, porte-jarretelles et string, puis soutien-gorge assorti. J’emprunte les lunettes coquines de Léa qui me donnent un air salope avec ma queue de cheval. Ça y est, je suis prête ! L’eau s’arrête et au même moment, la sonnette de l’entrée retentit.
— Sarah, s’il te plait, tu peux aller ouvrir ?
— Je suis pas vraiment en tenue tu peux… Il ouvre brusquement la porte de la salle de bains,
— Oh mon dieu, t’es trop bonne ! Vas ouvrir comme ça tout de suite ! M’ordonne-t-il,
Inutile de protester, son regard sur moi est clair, il va me sauter dès mon retour. Et je ne demande que ça. Je me dirige vers l’entrée et ouvre la porte timidement. La voix de Ludo s’écrit : « Ouvre grand ! ». J’exécute et me retrouve nez à nez avec un livreur amazon. Il me regarde l’air ahuri.
— Merci, dis-je complètement gênée mais flattée de son regard sur moi qui me dévore de la tête aux pieds.
Le malaise s’arrête enfin quand je referme la porte et reviens au salon avec le colis. Ludo me fait remarquer que le livreur aurait adoré me baiser. Comme si j’avais pas remarqué… On s’empresse donc d’ouvrir le colis pour savoir enfin ce que Léa nous a réservé : une paire de faux seins réaliste, un gode ventouse et un vibromasseur. Je sourit bêtement en prenant la poitrine et Ludo me demande de la mettre, ce que je fais immédiatement évidemment. Quand la sonnette retentit pour la deuxième fois, je me tétanise et mon regard inquiet cherche celui de Ludo. Mais celui-ci en rajoute :
— Si c’est encore lui, je veux que tu le soulage dans l’entrée !
— Non Ludo, pour toi j’ai accepté, mais là non, s’il te plait.
Il part lui ouvrir, je suis soulagé. C’est encore le même livreur, et Ludo lui ouvre en boxer.
— Bonjour Monsieur je suis désolé, j’ai oublié un colis tout à l’heure pour la jeune femme, le voici. Il lui tend le petit paquet,
— Salut, j’imagine que t’espérais retomber sur elle n’est-ce pas ? Tu veux boire un verre ?
Quoi ? Il est sérieux ? Il se fout de moi ! Pourvu qu’il dise non !
— Oui pourquoi pas, avec plaisir.
— Parfait, je te présente Sarah, et voici…
— Tom !
— Salut Tom, dis-je du bout des lèvres.
Ludo l’invite à s’assoir et il lui demande :
— Le confinement est dur pour tout le monde, tu veux qu’elle te soulage ?
— Quoi ? Comment ça ? Il est hyper gêné le pauvre, plus que moi.
— Sarah, soulage notre ami.
Étrangement je me prends de compassion pour lui, il a l’air tout timide, gêné et perdu par la situation, et je décide de le mettre à l’aise. Je me place à genoux devant lui, défais sa ceinture et déboutonne son jean. Il se lève légèrement pour me laisser baisser le pantalon sur ses chevilles. Je le regarde et lui demande :
— Ça te dérange s’il me prend pendant que je suce ta bite Tom ?
— Non, essaie-t-il de dire en déglutissant,
— Ludo, s’il te plait, encule-moi, supplie-je,
Je me place à quatre pattes et alors qu’il vient se placer derrière moi et me retire lentement mon string, je baisse au même rythme le boxer de Tom et découvre une jolie bite semi-bandée avec des couilles toutes rondes et serrées. Il a les jambes écartées et ma langue vient parcourir ses couilles tandis que Ludo me retire mon plug lentement. Il retire son boxer et se place derrière moi.
Je le lèche, le branle, et commence à sucer son gland alors que Ludo commence à me sodomiser. J’en gémis immédiatement tellement ça m’avait manqué. La queue de Tom est clairement plus petite que celle de Ludo. Je parviens facilement à le sucer sans crainte de lui faire mal avec mes dents. Je me fais remplir les trous à fond de très longues minutes. Ludo nous propose un jeu :
— T’as l’air d’aimer la bouche de ma colocataire Tom, t’as envie de son cul ?
— Elle suce bien, c’est trop bon, j’adorerais oui,
— OK, alors je vous lance un défi : elle va te sucer encore deux minutes pour voir si tu mérites son cul. Si tu jutes pas dans sa bouche, tu me rejoins dans son cul, sinon, tu continues ta tournée, ok ?!
— Ok j’ai hâte de lui prendre le cul alors ! S’enhardit-il,
— Sarah, si tu veux pas te faire prendre en double pénétration suces-le à fond ! Me conseille mon pote.
Je dois avouer que sucer sa bite alors que Ludo m’encule me plait énormément ! Mais je galère à respirer, je suis obligée de me retirer de temps en temps pour prendre mon souffle. Ludo me défonce bien le cul en me limant comme une catin et je n’ose pas imaginer deux queues dans mon cul ! Alors je lance :
— Tom t’as l’air bien sûr de toi, tu crois que tu vas tenir deux minutes ?!
Il ne répond pas et passe ses mains derrière ma tête pour me ramener sur sa queue. Je le suce donc en prenant soin d’aspirer son gland. Ludo prend mon cul d’assaut m’obligeant à utiliser mes mains pour me maintenir. Je n’arrive pas à branler la queue pour accentuer son plaisir. Et je craint de ne pas réussir… Alors je pousse ma gorge sur le gland et laisse Tom baiser ma gorge. Il gémis de plus en plus alors que Ludo passe mes bras dans mon dos les maintenant pour que ma gorge s’empale littéralement sur le dard de notre invité.
Il donne un décompte de dix secondes et à zéro me relève à genoux :
— Perdu ma salope, place-toi sur lui ! Ordonne Ludo,
Ce faisant, je réalise que je suis vraiment éjaculatrice précoce. Ces deux mecs tiennent alors que j’aurais déjà joui dix fois à leur place ! J’arrive sur Tom. Ludo lui tend une capote venant du petit colis. Une fois passée, je m’empale sur la queue et me penche en avant sur lui tandis que Ludo pousse pour le rejoindre en moi. Tom passe sa main sur ma bouche alors que je me met à hurler.
Lentement Ludo pousse un soupir de soulagement et s’insère en moi. Je hurle comme une salope alors qu’ils me font m’empaler sur eux. Ludo me met des grands coups de rein qui semblent aussi faire de l’effet à Tom qui semble tenter de retenir la purée. Je me sens déchirée et remplie, je prends mon pied ! Je hurle comme une hentaï très aiguë et incontrôlable. Tom crie qu’il va jouir et Ludo semble le rejoindre. Ils râlent et se vident en moi. Je me retire lentement, mes jambes flagellent… la capote de Tom est remplie et mon cul dégouline du sperme de Ludo. Je me sens bien d’avoir soulagé ces deux hommes. Mais je n’ai toujours pas joui… Tom repart en remerciant Ludo et lui me fais laver sa bite avec ma bouche. Il me demande :
— Suce-moi bien sans t’arrêter jusqu’à ce que je puisse à nouveau baiser ton cul, je veux te faire jouir aujourd’hui et on s’arrêtera pas tant que tu seras pas devenue une vraie femme Sarah.
