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Colocation très hot

Chapitre 3

Après la mère, la fille!

Hétéro
UNE COLOCATION TRES CHAUDE. 3

Claude :
Ça part mal pour ma résolution, mais comment faire pour résister à cette furie qui se jette sur ma teub après m’avoir ébouillanté ? Encore une chance que je m’en tire sans trop de mal. Enfin... Avec Chelsea, je risque moins qu’elle raconte son aventure aux autres filles.
En parlant d’elles... Quand le chat n’est pas là, les souris dansent... Certains après-midi où elles n’ont pas cours, elles se retrouvent autour de la piscine pour se raconter les potins du jour... Ou de la nuit. La plupart sont en topless, sauf la Péruvienne en maillot une pièce, et la Chinoise avec un maillot qui ressemble à une combinaison de plongée. Différents pays, différentes mœurs... Ce qui m’étonne, c’est que Tom, le jumeau de Shirley, soit présent, sans que ça ne les dérange pas le moins du monde.
Suite :
Mais avec les caméras, je vois tout... Plus les jours passent, et plus elles me prennent pour leur grouillot. Je suis même transparent pour certaines qui n’hésitent plus à se promener uniquement vêtues de string, pendant que je change une ampoule ou resserre un joint défaillant. Mais, comme c’est ce que je recherche...
Je deviens même le docteur de ces demoiselles. Dès qu’elles ont un pet de travers, elles viennent me consulter, et comme je ne cherche pas à en abuser et sachant mon futur statut de gynéco, ça devient de plus en plus intime. La dernière fois, Dory la Péruvienne, ne pouvant pas avoir un RDV avec un médecin, et ne voulant pas expliquer aux urgences devant des inconnus ses problèmes, est venue me demander mes services :
— Claude ! Je, je n’ose pas te dire ce qui m’arrive... Mais c’est Wendy qui m’a poussée à te le demander.
Depuis quelques jours, j’ai mal quand je fais... Pipi, qu’est-ce que j’ai ?
— Pour te répondre, Dory, il faut que tu me permettes de t’examiner, me fais-tu confiance ?
— Euhhh... Ben... Oui !
— Bien, alors déshabille-toi !
— Je peux garder mes sous-vêtements ?

— Bien sûr, mais il faut que je t’explique ce que je vais faire. Il peut y avoir plusieurs causes, infection urinaire, vaginite, vulvite. A un certain moment, il faudra bien que j’examine certaines parties intimes.
— Oui, je comprends... Je te fais confiance.
— Bon, je vais commencer par tâter ta prostate, tu sais ce que ça veut dire ?
— Euuhhh, non.
— Eh bien, tu vas t’étendre sur la table sur le côté, je vais baisser ta culotte, et te mettre un doigt dans l’anus pour voir si ta prostate n’est pas trop grosse.
— Tu vas ?
— Oui, enfin, si tu m’y autorises.
— C’est toi le futur docteur.
Je passe un gant, baisse sa culotte, et glisse un doigt dans son anus. Elle se crispe et j’ai quelques difficultés.
— Détends-toi, laisse-toi faire.
J’arrive à tâter sa prostate et constate que tout va bien de ce côté-là. Je lui demande d’uriner dans un récipient pour voir si elle a une infection urinaire.
— Bon Dory, tout est négatif. Maintenant, il faut que j’examine ton sexe.
Elle n’hésite plus, et enlève entièrement sa culotte, se met sur le dos et écarte les cuisses. J’ai devant moi un vrai tablier de sapeur, une toison noire et drue. J’allume ma lampe frontale et me penche. Ses grandes lèvres sont très irritées. Il ne me faut pas longtemps pour constater une vulvite.
— Tu as une belle mycose, il faut la traiter par une crème antifongique. Mais la vulvite est la conséquence d’une irritation, il est nécessaire de la limiter au maximum à l’exposition de l’élément irritant, tu as des vêtements trop serrés, mais pour être plus à l’aise, il faudrait raser aussi tes poils pubiens. Ils ne font qu’aggraver le problème.
— Mais... Tu peux le faire ?
— Bien sûr ! J’ai ce qu’il faut dans la salle de bain.
— Bon, d’accord.
Je badigeonne son entrejambe de crème à raser, massant consciencieusement sa toison pour bien faire pénétrer et commence l’opération. Autour des grandes lèvres, je mets mes doigts dans sa fente, étendant la peau pour ne pas la blesser.
— Oh ! Claude !
— Ne bouge-pas, c’est bientôt fini.
Je ne suis pas de bois, et Popaul non plus, il proteste, trop à l’étroit dans mon pantalon par une croissance exponentielle. Mais je maîtrise mes pulsions.
— Voilà, c’est fait ! Il faudra que tu enduises régulièrement pendant une quinzaine de jours avec du XXXXXXXXXX, tiens-moi au courant.
Le problème, c’est que si vous êtes trop serviable, on vous en demande plus. Bien entendu, Dory n’a pas pu s’empêcher de tout dire à Wendy qui s’est empressée de le répéter aux autres filles.
Je suis donc devenu le « coiffeur » de ces dames. A part Lee, la petite Chinoise, je fais donc le maillot à toutes ces chaudasses. J’interroge la dernière à passer sous mon coupe-chou ..... Rachel la Suédoise :
— Mais pourquoi aucune de vous n’a le moindre complexe de se mettre à poil devant moi ?
— Ben... Parce que tu es comme Tom !
 ????????????????????? –Ah bon !
Je suis perplexe, mais comme je vous l’ai dit, ça m’arrange qu’elles ne me courent pas après.
Shirley
Demain, mon petit copain va venir, il faut que j’aille voir Claude pour lui demander sa chambre. Je frappe à la porte de son appartement, mais il ne répond pas. Il faut dire que la musique est assez forte pour qu’il ne m’entende pas. J’ouvre la porte, puis la referme une fois entrée. Je passe de pièce en pièce, en l’appelant doucement, personne... Il ne reste que la salle de bain, la porte est grande ouverte. J’entends des bruits d’eau. Je frappe sur le battant ouvert sans succès, je m’avance dans l’embrasure de la porte, et jette un coup d’œil. Claude est sous la douche, beau petit cul !
Mes yeux se portent plus bas, une paire de bourses assez conséquentes ressemblant à deux petites outres pendent entre ses cuisses, mais quelque chose dépasse.
Il se retourne enfin face à moi, tout en continuant à se savonner. Je n’en crois pas mes yeux, il a une verge qui lui arrive à mi-cuisses, il la savonne longuement, les yeux serrés, car de la mousse doit lui piquer les yeux; il continue de se frictionner le corps en sifflotant quand soudain, il se rend compte de ma présence.
— Bonjour, Shirley, je peux faire quelque chose pour toi ?
J’ai admiré son côté pile, mais je n’en reviens pas du côté face. La vision qui s’offre alors à moi me coupe littéralement le souffle. « Après ça, je pourrai mourir tranquille » je me dis instinctivement, restant scotchée sur la chose qu’il vient de lâcher et qui pend entre ses cuisses. J’ai un aperçu sur un sexe monstrueux qui se balance devant moi. Il me fixe en souriant, jouant avec son énorme tuyau qu’il savonne d’une main, jouant avec son prépuce, calottant et décalottant son gland. Il ne parle plus, continuant à me sourire en attendant ma réponse.
Je suis en train de tremper ma culotte. Sans même m’en rendre compte, j’ai glissé une main dedans et l’autre excite la pointe de mon sein droit. Son corps semble me dire : « Tu es vraiment bandante, regarde ce que je vais te mettre».
J’essaie de comparer la longueur de son tuyau à celle de mon boyfriend, il n’y a pas de doute, Claude arrive largement en tête sans même bander !!!
Claude, jugeant que ce petit intermède a assez duré, se rince et sort de la douche, je dois lui faire de l’effet, car son sexe qu’il astique très doucement n’arrête pas de se redresser et de grandir.
Le spectacle est impressionnant. Je me rapproche et pose ma main à côté de la sienne, un désir irrépressible d’être envahie par cet énorme rouleau me vrille le ventre :
— Mais... Les femmes te font de l’effet, je croyais que tu étais gay !!!
— Qui t’a dit de telles bêtises ?
Maintenant il est en pleine érection, il enlève ma main de son rostre, prend une serviette pour se sécher. Je la lui arrache des mains et frotte son corps. Quand j’arrive dans la partie basse, je m’agenouille. J’ai maintenant juste à hauteur de mes yeux, son formidable pal tendu à l’horizontale.
Il est là, debout devant moi, avec ce braquemart géant raidi qui pointe dans ma direction. Sa queue est grosse, dure.
— Alors Shirley ! Tu ne m’as toujours pas dit ce que tu voulais.
— Ben, je voulais te demander ta chambre pour... Tu sais quoi. Mais pourquoi se contenter d’un hors-d’œuvre quand on peut avoir un tel morceau de roi !
Et je plonge, j’ouvre ma bouche, et mes lèvres glissent sur son sceptre, putain qu’il est gros !!!
Je garde le gland au bord des lèvres, puis je descends lentement sur sa queue en le laissant entrer entièrement dans ma gorge, jusqu’à ce que ma langue qui frôle la hampe de sa bite puisse venir toucher ses grosses couilles et les lécher, mais je n’y arrive pas, sa bite est trop grosse, trop grande.
Je m’applique pour n’avoir aucun réflexe indésirable avec sa queue dans ma gorge. Claude prend soudain les choses en main, ou plutôt mes cheveux, et commence à sortir sa queue de ma bouche avant de la replonger d’un coup, puis se sert de ma tête pour se branler, faisant de longs allers retours de plus en plus rapides. Il enfonce son engin dans ma gorge le plus loin possible. Ses couilles viennent frapper mon menton, me laissant à peine respirer. Mon piercing de langue lui fait de l’effet :
— Putain la sensation avec ta petite boule ! Ca bouillonne dans mes couilles.
J’ai les mâchoires qui tétanisent. Qu’il est long à jouir... Soudain, il me coupe la respiration en me pinçant le nez. Je n’arrive plus à respirer, je suffoque sur sa queue, et ressers involontairement mes mâchoires avec des spasmes violents sur sa bite, mais je résiste au réflexe de le repousser.
Il grogne, libérant mon nez et désobstruant ma gorge, mais laissant son gland entre mes lèvres.
Je reprends une énorme respiration par le nez, tandis qu’un foutre gras se propulse dans ma bouche et noie le fond de ma gorge. Il éjacule d’énormes jets de sperme avant de sortir sa lance et continue en me noyant le visage sous une demi-douzaine de jets supplémentaires. J’ai la bouche remplie de sperme que j’avale avidement. Son foutre couvre mon visage, une fois ma bouche vide, je l’ouvre grand pour sortir ma langue et recueillir sa semence en m’aidant de mes doigts. Il a ses mains sur ses hanches et me regarde, goguenard, la teub toujours au garde-à-vous.
— Alors Shirley ! Qu’est-ce que tu penses du PD ?
— Mais comment tu peux cracher autant ? Je n’ai jamais vu ça ! Oh putain de bite ! Mais... mais... Tu ne débandes pas ?
— Non ! Tu ne crois quand même pas t’en tirer à si bon compte ? Maintenant que tu as débouché la bouteille, il faut la finir !
A suivre...
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