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Colocation très hot

Chapitre 5

Sue, Rachel, Natacha, Wendy

Orgie / Partouze
UNE COLOCATION TRES CHAUDE. 5
Sue /J’ai bien vu qu’il y avait des caméras pour le système d’alarme, mais je ne vois pas où sont celles du couloir. J’en regarde quelques-unes... Il se rince l’œil, Claude. Il faut dire aussi qu’on n’est pas coincé, sauf peut-être, Lee de Dory.Que cache « chambre studio » ? Shit ! Toutes nos parties sont là !
Suite :Claude, tu es un petit vicieux... Je picore dans les vidéos et tombe sur une avec lui et Shirley. Il n’est donc pas gay comme certaines le croyaient. Je vois Shirley de dos en train de lui faire une turlute. Elle se redresse soudain, et des filets de foutre blanchâtres passent au-dessus de sa tête pour finir sur ses reins et ses fesses. On dirait que Claude n’a pu résister à la fellation de Shirley. Je n’en reviens pas de la puissance et de la durée de l’éjaculation de Claude, un sacré reproducteur !
Elle se relève enfin, et j’ai en plein écran le sexe de Claude. Putain de merde ! Quelle bite ! Elle est monstrueuse ! Très grande, très épaisse, toujours dressée vers le ciel malgré son éjaculation.Il ne récupère même pas et baise aussitôt Shirley qui a l’air d’adorer ça, dommage qu’il n’y ait pas le son. Je suis scotchée et aussi furieuse, mais surtout jalouse de cette pétasse. Dire que ça va faire bientôt trois mois que j’ai un tel étalon à portée de main. Je me suis pourtant souvent baladée pratiquement à poil devant lui sans qu’il ait un regard d’envie. Il cachait bien son jeu.
Je quitte la pièce, ruminant ma rancœur et cherchant comment lui faire payer. Je coince Shirley et lui reproche assez durement de vouloir garder pour elle seule, le seul vrai mâle habitant sous ce toit. Elle me demande comment je suis au courant et quand je lui parle des vidéos, elle aussi monte dans les tours :
— Le petit salaud ! Il veut se faire un tableau de chasse ou quoi ?— Pourtant, il n’y a que toi qui en as profité ! Je lui rétorque. Et on dirait qu’il vaut le coup ?— Plus que tu crois ! me répond Shirley. Je n’ai jamais vu un homme tenir aussi longtemps. Il est infatigable !— C’est toi qui le dis, je demande à voir.— Ecoute, reprend Shirley, voilà ce qu’on va faire. On va ................................................

Une semaine plus tard :
— Voilà le deal les filles ! On vous a tout raconté et on veut se venger du « voyeur ». Et en plus, on lui a demandé de nous faire le maillot, car on croyait qu’il était gay. On va se servir de Claude comme d’un esclave sexuel ce soir. Chelsea étant absente, on a la voie libre. Lee et Dory, vous ne voulez pas participer, mais il faut que vous soyez présentes pour garder le secret. On va ligoter Claude et s’occuper de son cas.

Nous passons donc à l’action et ficelons Claude sur son lit après l’avoir traîné dans sa chambre, jambes et bras écartés. Il ne résiste même pas et rigole, se doutant bien de ce qui va se passer. D’après moi, cinq filles en fureur ne lui font pas peur.
— Qu’est-ce que vous voulez faire ?— On va t’enlever tous tes vêtements.— D’accord, mais si vous enlevez les vôtres.— OK !

Les filles se tournent vers moi. Je retire mon haut, découvrant ma généreuse poitrine. Les soutiens-gorge se dégrafent et les culottes s’envolent, puis on commence à couper ses vêtements aux ciseaux, apparaît enfin son gros paquet. Je suis ébahie aussi de la taille de ses noix. Je suis déjà sorti avec six gars avant, et l’un d’eux avait une bite très longue (environ 8 pouces). Mais du côté des boules, Claude leur fait ressembler à des écoliers du primaire en comparaison. Elles sont de la taille de balles de golf, accrochées dans un sac entre ses jambes poilues.
— Look at the size of those balls ! they’re huge.
Quand je regarde les autres filles, je sais qu’elles pensent la même chose.
Claude nous rend notre regard, mais aussi se rince l’œil, et ça lui fait de l’effet. Les replis de sa bite au repos disparaissent les uns après les autres à nos yeux, sa verge gonfle et prend de l’ampleur. Doucement, elle décolle par saccades entre ses cuisses, et plus elle s’allonge, plus elle remonte le long de sa jambe droite, pour finir par basculer sur son ventre, cachant d’une dernière reptation son nombril.Je commence à travailler son poteau que je coince entre mes seins. Je frotte sa bite dure, la cachant à la vue des autres.
— Hey ! No touching !
S’exclame Claude.
— Sérieusement, ne pas toucher !
Il a dit « Non » et je ne veux pas être accusée de viol ou quelque chose comme ça. Je me penche sur lui, laissant mes longs cheveux caresser doucement son visage et son cou et je lui chuchote quelque chose dans le creux de son oreille. Il approuve d’un mouvement de tête avec un sourire carnassier. Je me recule et me déplace vers le bas de son corps, laissant mes cheveux en taquiner chaque terminaison nerveuse. J’arrive à son érection et commence à souffler sur la tête rouge, entourant sa verge dans mes longs cheveux. Pour que mes colocataires aient une meilleure vision, je me déplace et passe une jambe de l’autre côté de la tête de Claude, exposant totalement ma chatte humide à sa vue. Je relève la tête pour parler aux filles :
— J’ai passé un pari avec Claude. On va chronométrer le temps qu’il met pour rebander après chaque éjaculation. Partantes les filles ? Regardez la taille de ces boules qui s’adaptent à ma main pendant que je caresse cette bite épaisse avec mon autre main !

Bien entendu, personne ne s’y oppose... Rachel, la Brésilienne part même dans la surenchère :
— Avec de telles boules, il doit probablement pouvoir fournir de bonnes doses ! Après que chacune de nous t’aura fait jouir, tu mangeras nos chattes. — Je peux faire les deux choses en même temps, lui répond Claude, sinon, nous y passerons la nuit !

Il ne doute vraiment pas de lui, le gars...J’abaisse ma chatte humide droit sur sa bouche et remue des hanches pour l’écraser sur ses lèvres pendant que les autres filles me regardent dévorer l’épaisse queue qui déforme mes joues. Rachel a pris un crayon et un papier pour noter les performances de Claude. Je commence à masser la bite, glissant sur la hampe avec mes deux mains, caressant rythmiquement cette formidable érection. Lui aussi s’active et je mouille tellement que je sens la cyprine couler sur ma cuisse malgré la bouche vorace de Claude. Il me faut un long moment avant que j’entende sa respiration s’accélérer, une main au travail sur le gros champignon et l’autre caressant la base de sa bite, et parfois, massant ses grosses boules. Pour que les filles profitent du spectacle, je leur dis d’approcher à la vue de son présperme, me rappelant de la vidéo, elles vont être surprises...
Des jets dantesques s’envolent à un rythme soutenu de sa verge que je remue pour m’en asperger copieusement. Les filles trop curieuses se font asperger.
— Jamais vu ça en Russie ! s’exclame Natacha.— J’en ai tenu entre les mains, renchérit Rachel, la Suédoise, mais aucune qui crache comme ça !— A toi, Rachel ! Je la lui jette.— Mais je note quoi ? Il n’a pas débandé ! — Ben... Zéro ! Je lâche. Putain, c’est vrai, elle est toujours aussi raide !!! Tu as aussi chronométré le temps que j’aie mis à le faire jouir ?— Là, pas de problème, me répond Rachel : pratiquement huit minutes.

Rachel prend ma place au-dessus de lui et continue à pomper son outil de sa bouche et à astiquer le manche avec sa main en l’interrogeant :
— Okay Claude, now it’s your turn,
do you want to empty those huge balls into my wet mouth ?
— Are you ready yet, do you want to cum ? tell me. I can’t hear you ? Tell me what you want.
Claude finally said, "I want you to swallow my cum." Tu veux vider tes énormes boules dans ma bouche ?

La grosse bite dans sa bouche, elle s’active, s’acharne sur le paf entre ses propres couinements quand Claude touche un endroit sensible de sa chatte avec sa langue. Claude est à nouveau haletant, gémissant de sa proche libération, mais Rachel ne lâche pas la verge enfoncée dans sa bouche, ne perdant pas une goutte de la précieuse liqueur. Elle ne libère son pénis que quand il commence enfin à se ramollir. Rachel me demande :
— Alors ?— Avec toi, il a tenu douze minutes et dix secondes. J’ai relancé le chrono pour la suivante. Qui veut le faire rebander ?— Moi, c’est mon tour ! déclare Natacha en prenant la place de Rachel, bite en main et chatte en attente d’un bon cunnilingus.
Claude est couvert de sueur. Il se plaint de crampes, on donne un peu de mou afin qu’il puisse bouger ses jambes et à sa demande, Rachel lui délie une main. Sa bite a un peu rétréci et relâche un reste de sperme que Natacha se charge de nettoyer sous les encouragements du public.
— Allez, Natacha ! Fais redresser la bête ! Et quelques minutes plus tard : — Récupération, trois minutes douze secondes.

Natacha a de nouveau quelque chose de ferme entre les mains, et lèche avec application le mat dressé. Claude aussi a récupéré et reprend son dur labeur. Son visage commence à être poisseux des fuites féminines, mais maintenant il peut souffler un peu en se servant d’une main pour titiller le clito ou explorer la grotte offerte. Mais la période de récupération pour retrouver le plaisir s’allonge et il doit laisser Natacha continuer à le traire beaucoup plus longtemps avant de jouir à nouveau. Natacha veut en faire profiter les copines et malgré deux éjaculations très rapprochées, Claude réalise encore un exploit quand je vois la quantité larguée par ses boules, beaucoup plus faible qu’avec moi, mais qu’envieraient encore beaucoup d’hommes.
— Chrono ?— Quinze minutes trente-deux !

Nous lui accordons cinq minutes de récupération et le faisons boire. Il faut être civilisé quand même. Claude est clairement épuisé et la taille de sa verge s’en ressent.
— Ce sera qui la suivante ? demande Rachel. C’est Wendy, la Brésilienne qui s’y colle.— Moi ! À mon tour maintenant ! Mais vous l’avez épuisé, je ne sais pas ce que je vais en tirer !

Wendy :Je vais leur montrer ce que sait faire une Brésilienne, mais la tâche sera rude.
— Come on Lisa, you got to make him cum. How fast can you do it?
Les autres filles m’encouragent ! Claude semble fourbu, je m’étends sur lui et commence à mordiller son cou, puis ses oreilles. Il me murmure:
— Wendy, tu es ma préférée.

Je le regarde dans les yeux. Il me sourit. Je prends son visage dans mes mains et l’embrasse à pleine bouche. Je presse mes seins contre sa poitrine, sentant mes mamelons durcir. Ma chatte est déjà en feu. Je quitte ses lèvres au goût de cyprine et commence à embrasser sa poitrine. Je mordille doucement ses mamelons où quatre poils se battent en duel, les embrassant avant de continuer sur son ventre plat. Sa bite reste amorphe ne voulant plus se lever. Je prends en main son organe mou et commence à le masser. Je frotte ses grosses boules en embrassant tout autour ses cuisses. Pourtant, sa bite reste molle dans ma main. Je continue à masser ses couilles. Je dois dire qu’elles me fascinent. Je les embrasse, les aspire, je suce son sac avant de prendre ses œufs dans ma bouche, mais même avec cette gâterie, sa bite ne gonfle pas d’un pouce. On va voir qui est la plus forte !
Quand je commence ma fellation, ma chatte est déjà trempée, tellement mon excitation sexuelle est forte. Je suis nerveuse, car Sue et Rachel me narguent :
— Les minutes tournent, tu ne vas pas y arriver !— Eh ! Les filles, c’est sa quatrième fois, donc si vous pouviez me laisser...

Sue, Rachel et Natacha se sont rapprochées et me disent de m’activer. Je leur propose un défi :
— Si je le fais bander en moins de cinq minutes et jouir en moins de quinze, vous ferez mes corvées; sinon c’est moi qui ferai votre lessive et le reste pendant un mois.— Banco ! -Banco ! -Banco !

A suivre...
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