Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 110 J'aime
  • 2 Commentaires

Coming-out out de Dominique - Ou la vie de Miessou Tome 2

Chapitre 3

Christine et tante Suzanne 1ère partie : L’arrivée

Lesbienne
[ Je cède ici la parole à Christine. (Le récit narré par Christine sera en italiques) ]

J’ai 18 ans, je viens de terminer ma 1ère et mes parents vont tous les deux être absents durant les grandes vacances ; mon père en déplacement à l’étranger pour son travail et ma mère partie en pèlerinage avec un groupe de bigotes et le jeune curé. Il n’est pas question pour eux que je reste seule à la maison. Ils décident donc de m’envoyer durant les deux mois de vacances, chez ma tante Suzanne. Tante Suzanne est la plus jeune demi-sœur de mon père, la dernière fille de la seconde épouse de mon grand-père paternel. Âgée de 28 ans, elle est mariée à un homme de 10 ans son aîné qui a une très belle situation dans une société financière.
Tante Suzanne quant à elle, travaille comme responsable commerciale dans une grande boîte d’import-export. Comme je me rends chez elle durant les vacances, elle m’a trouvé un emploi d’agent d’accueil dans sa société. Ce travail va me permettre de passer les vacances sans m’ennuyer et en plus je vais pouvoir gagner de l’argent pour m’acheter une voiture.
Donc au début des vacances, un vendredi, je prends le train pour me rendre à Pau où rejoindre ma tante Suzanne. Arrivée à la gare en milieu d’après-midi, ma tante est sur le quai pour m’accueillir. Je m’approche d’elle et je l’embrasse.
- Bonjour tante Suzanne- Bonjour Christine, mais ne m’appelle pas tante Suzanne, je ne suis pas une vieille.- D’accord, Suzanne alors ?- Je préfère que tu m’appelles Sue. C’est comme ça que je suis connue dans la boîte, et pour tout le monde je vais te faire passer pour ma cousine ; on n’a pas une si grande différence d’âge. Viens je suis garée juste devant la gare.Je tire ma valise derrière moi et la pose dans le coffre de sa voiture. Nous prenons la route en direction de la villa de Sue.- Je t’ai trouvé un petit travail d’hôtesse d’accueil dans ma boîte. Tu verras tu t’y feras vite, ce n’est pas un travail très compliqué : accueil des visiteurs, faire un peu de classement, timbrer du courrier...- OK tant ... Oh, sorry Sue.- Voilà, t’apprends vite.Après une demi-heure de route, nous arrivons à la villa de Sue, elle est immense. Nous sommes à peine sorties de la voiture qu’un violent orage éclate et on se retrouve toutes les deux en petite robe sous des trombes d’eau. On se met à courir vers la maison où nous arrivons complètement trempées. Étant entrées dans un immense hall d’entrée face à un grand escalier, Sue me dit :
- Trempées comme ça, on va en mettre plein la maison et en plus on risque d’attraper la mort avec ces vêtements trempés. On va se déshabiller ici.
Sue enlève son chemisier et sa jupe, moi j’ôte ma robe que je dépose à terre. Nous nous retrouvons toutes les deux en sous-vêtements. Moi un soutien-gorge blanc tout simple, une petite culotte blanche en coton et un collant couleur chair ; une tenue tout à fait banale en quelque sorte. Sue quant à elle porte des dessous beaucoup plus chics. Un ensemble complet de couleur grège avec de la dentelle composé d’un soutien-gorge qui recouvre sa poitrine qui tout en étant bien plus petite que la mienne, est d’une belle forme, d’un tanga et d’un porte-jarretelles qui soutient des bas très fins qui moulent parfaitement ses magnifiques jambes.
Me voyant en sous-vêtements, Sue a les yeux immédiatement attirés par ma poitrine plus que généreuse. Je rappelle que les bonnets de mes soutiens sont à la limite du D et du E. Sue s’approche de moi et pose une main sur mon sein droit qu’elle se met à caresser en me disant :
- Tu sais si je devais avoir une grosse poitrine, j’aimerais en avoir une comme la tienne. Regarde, mes nichons sont tout petits à côté des tiens.

En disant cela, Sue dégrafe son soutien-gorge qui se ferme sur le devant et laisse apparaître deux petits seins de taille B dont les petits mamelons posés au milieu d’une petite aréole claire pointent vers l’avant.
- Tiens, touche-les ! dit-elle en prenant mes mains et en les plaquant sur ses seins.- Ils sont bien fermes tant... euh Sue.- Laisse-moi voir les tiens.Et elle passe ses bras derrière mon dos et dégrafe mon soutien-gorge. Mes seins ainsi libérés se mettent à pendre. Un peu gênée, je place mes bras devant ma poitrine pour essayer de cacher ma nudité.- Ne sois pas gênée, dit-elle, on est entre filles et on est faite pareil, à quelques détails de forme près.
Elle écarte mes bras et touche mes gros nibards qui bougent avec ma respiration. Avec ses doigts, elle caresse mes gros tétons et tourne autour de mes grosses aréoles foncées. A un moment, elle prend mon sein droit dans sa main, se penche vers lui et se met à lécher et sucer mon téton. Sous l’effet de ce traitement, mon téton durcit et se met à pointer vers l’avant. Une douce chaleur envahit tout mon corps et particulièrement mon bas-ventre qui se met à mouiller. Mon esprit est tiraillé entre deux envies, celle de mon éducation puritaine et rigoriste qui voudrait que je repousse Sue et le plaisir que je prends aux caresses de ma tante. A un moment, elle arrête son traitement et me dit :
- A l’autre maintenant, sinon, il va être jaloux.
Mon deuxième nichon subit le même assaut que le premier, et là, je ne résiste plus. Je me laisse aller, mon esprit met de côté mon éducation ; je me laisse submerger par le plaisir. Je suis en feu, mon clitoris est tout dur en pleine érection. Ma chatte ruisselle comme jamais et j’inonde toute ma culotte à tel point que mes jambes sont recouvertes de mes sécrétions qui passent à travers mon collant. Sue passe la main sur mon entrejambe et constate que je suis trempée.
- Moi aussi je suis toute mouillée chéri, on va enlever tout ça.
Sue abaisse son tanga et je vois son petit minou taillé à la brésilienne. Moi j’ai ôté mon collant, mais je n’ose pas retirer ma culotte. Sue s’approche de moi et me demande :
- Qu’est-ce qui ne va pas ma chérie ?- Ben c’est que j’ose pas, c’est ...- Ah, c’est encore ta mère qui t’a mis des idées dans la tête. Le sexe c’est pas honteux, ça fait partie de toi.- Oui mais moi je ne sais pas, je n’ai jamais rien appris à ce sujet ! Je suis encore vierge !- Ta mère t’a laissée dans l’ignorance ; ne t’en fais pas, je vais rattraper ton retard d’éducation.
Disant cela, Sue s’approche de moi et abaisse ma culotte dévoilant toute mon intimité et mon sexe au naturel avec sa pilosité abondante.
- Ouah, c’est la forêt vierge dans ta culotte ! Pas grave, on arrangera ça lundi. Et t’as un clitoris géant, il doit bien faire quatre ou cinq centimètres, c’est presque une bite.
Fouillant mon intimité avec ses doigts, elle masse mon clitoris de sa main droite pendant qu’elle se caresse de la gauche. Je suis au septième ciel et je dois m’accrocher à elle pour ne pas tomber. Au bout de quelques minutes de ce traitement, nous explosons toutes les deux en jouissant.
- Ah Sue, c’est la première fois que j’ai du plaisir ainsi.- Tu ne te masturbes donc jamais ?- Je quoi ?- Tu ne te caresses donc jamais le sexe ?- Ben non. Maman me dit qu’il ne faut pas se toucher là, ce sont des endroits sales, ce n’est pas convenable pour une fille bien élevée, ce sont les souillons et les putains qui font ça.- Oui, je vois que je vais encore avoir beaucoup de choses de la vie à t’apprendre.
Ayant dit ça, Sue m’entraîne à l’étage vers sa chambre, je rentre dans une pièce immense, au milieu de laquelle trône un superbe lit à baldaquin de deux-cents centimètres. Sue me tire vers le côté droit de la pièce, ouvre une porte et nous pénétrons dans sa salle de bain, une très grande pièce où se trouvent un lavabo, une baignoire à jets d’eau, une grande douche, un bidet, une espèce de fauteuil en faïence qui sert à faire des bains de siège. On y trouve aussi une coiffeuse avec un fauteuil et des lumières tout autour du miroir comme dans les loges des actrices.
Nous prenons une douche ensemble. Très décontractée, je n’ai plus de gêne à me mettre nue devant Sue. Après s’être essuyées, on sort de la chambre et on contourne le lit pour entrer dans l’immense dressing de Sue. Elle ouvre un placard et sort deux peignoirs de bain avec lesquels nous nous couvrons. Mais avant de sortir, je dois absolument me soulager.
- Sue, où sont les toilettes, je dois faire pipi, c’est urgent.- C’est la porte juste à côté de la salle de bain. Ah oui, ce sont des toilettes à jet d’eau, je vais te montrer. Quand tu as fini, tu appuies là sur la télécommande et ça te nettoie et te sèche tout seul.Je m’assieds sur les toilettes, libère la pression de ma vessie et appuie sur le bouton de la télécommande. Un jet d’eau tiède rince mon intimité qui est ensuite séchée par un jet d’air chaud. C’est super agréable.
Nous redescendons dans le hall d’entrée, ramassons nos vêtements mouillés et les portons à la buanderie pour sécher. Ayant récupéré ma valise dans le hall, Sue me conduit ensuite à ma chambre qui est juste à côté de la sienne. Elle est très belle et spacieuse. Elle fait environ cinq mètres sur six, comprend un lit de 100 centimètres, un grand placard-penderie, un petit secrétaire et une coiffeuse. Deux portes dans le mur donnent accès pour l’une à une petite salle de bain avec lavabo et baignoire en sabot équipée d’un rideau de douche et pour l’autre à un WC de style japonais.
- J’ai choisi cette chambre pour toi. Nous avons beaucoup d’amis qui viennent régulièrement chez nous, alors, je t’ai mise dans cette chambre avec un lit pour une personne. Tu as ta salle de bain et un WC privatif. Le WC est un peu particulier, c’est un WC japonais, c’est une cuvette profonde au-dessus de laquelle il faut se mettre accroupi pour faire ses besoins. C’est pour cela qu’il est en hauteur et qu’il faut monter quelques marches pour faire ses besoins. Ça te va ?
- Oui Sue, la chambre est plus grande que celle que j’ai à la maison et en plus j’ai une salle de bain à moi.
- Parfait alors, il n’y a plus qu’à s’habiller, tu peux garder le peignoir de bain pour ton usage cette semaine. Dès que tu es prête, tu viens dans ma chambre, je vais te faire visiter la maison.
- OK Sue.
Je déballe ma valise, range mes vêtements dans les placards et je m’habille de façon confortable, soutien-gorge et culotte couleur chair avec par-dessus une robe bleue foncée à petites manches et aux pieds de petites baskets blanches. Un peu de maquillage et un coup de brosse dans les cheveux et me voilà prête. Je rejoins Sue dans sa chambre. Je la retrouve vêtue d’un élégant chemisier en satin beige et d’une jupe bordeaux avec aux pieds de jolis escarpins noirs.
- Ah tu es là, viens je vais te montrer la maison, on va commencer par l’étage puisqu’on est déjà ici. En face de ma chambre, c’est celle de mon mari David.
La chambre de David est très moderne, un peu plus petite que celle de Sue, elle possède un lit de 180 centimètres. La salle de bain est aussi plus exiguë, ne comprenant qu’un lavabo et une large douche à l’italienne.
- Tu dois savoir que nous faisons chambre à part depuis son accident de moto. On n’a plus de rapports sexuels ensemble ; on vit chacun de son côté, même si on s’aime encore. Lui est tombé raide dingue de Véronique, son infirmière, ce qu’il adore chez elle ce sont ses formes généreuses, tu la verras ce soir, c’est un gros boudin obèse. Son ventre est si gros qu’il retombe jusqu’à cacher sa chatte quand elle est debout et ses seins sont deux grosses mamelles qui pendent jusqu’à son nombril. Quand elle baise, ce sont deux gros sacs qui se balancent de gauche à droite et de haut en bas. En fait, David aime être cajolé comme un petit enfant. Elle le prend dans ses bras et lui donne son sein à téter.
En plus de cela, pendant sa convalescence, David à dû rester jambes allongées, et donc comme il ne pouvait pas se rendre aux toilettes, il devait porter une couche en permanence ; ce qui fait que maintenant, il est incontinent nocturne, aussi tous les soirs, elle lui met un lange et une culotte en plastique pour dormir.

- Et toi Sue, tu vis toute seule alors ?- Penses-tu ? Si j’ai accepté que sa maîtresse vive pratiquement ici avec lui, je lui ai dit que moi aussi j’allais trouver à m’occuper. Une toute jeune femme de ménage du bureau a perdu son emploi et son mari n’avait pas de travail et en plus ils étaient expulsés de leur logement. J’ai proposé à ce charmant petit couple, Laure et Kévin, de venir travailler chez nous, elle comme gouvernante et lui comme majordome avec logement et bon salaire. Elle s’occupe de la maison et des tâches ménagères et lui du jardin et des problèmes techniques. Et tous les deux s’occupent de moi. S’ils ont un petit appartement sous les combles, ils couchent le plus souvent avec moi, et oui je suis bisexuelle et j’adore le triolisme.- C’est quoi tout ça ?- Bisexuel c’est aimer autant les hommes que les femmes et le triolisme c’est coucher en même temps avec un homme et une femme. Ça te choque ?- Bien je ne sais pas quoi dire, je ne m’attendais pas à ça. Ce n’est pas le style de comportement des parents.- Là ma nièce, tu te trompes. Tes parents sont plus pervers que tu le crois. Tu ne sais pas que ton père baise sa secrétaire et que ta mère couche avec le curé.- Non ! C’est pas possible !- Toutes les heures supplémentaires de ton père, tu penses qu’il les passe à travailler, un jour que j’étais en déplacement, je l’ai vu dans un hôtel avec une jeune femme blonde et la façon dont ils s’embrassaient ne laisse aucun doute sur leur relation. Et ta mère, je l’ai entendue au téléphone avec le curé ; elle disait « Tu me manques, j’ai le feu au cul. J’ai encore envie de ta grosse queue dans ma chatte et mon cul. On se revoit bientôt à la sacristie. »- Tu ne dis quand même pas ça pour me faire du mal, tatie ? J’ai du mal à te croire. Et j’aime mes parents et je suis sûre qu’eux aussi ils m’aiment.- Je ne veux pas du tout te faire du mal. Mais tu dois savoir et je peux prouver qu’ils sont moins prudes que tu ne le penses. Demain je te montrerai des vidéos d’eux que j’ai retrouvées sur un vieil ordinateur que ton père m’a passé. Il a manifestement oublié d’effacer certains dossiers.
Les déclarations de ma tante m’ont complètement bouleversée, je suis abasourdie et mon esprit embrumé me fait marcher comme un automate. La visite se poursuit alors avec les chambres d’ami. La première, d’une taille identique à celle de David, possède un lit de 160 centimètres et un mur complet de placards. La salle de bain comprend un lavabo double vasque, un bidet, une cabine de douche de thalasso à hydromassage et une baignoire d’angle pour deux.
En face de ma chambre, on trouve la la deuxième chambre d’amis avec deux lits de 90 centimètres. Elle possède une salle de bain avec un lavabo double vasque, un bidet, une baignoire en coin et une cabine de douche de 80 centimètres. Et puis dans l’autre aile de la maison se trouvent de chaque côté du couloir, se trouvent la troisième chambre d’amis, avec un lit de 140 avec une salle de bain avec un lavabo double vasque, un bidet et une baignoire avec une paroi en verre mobile pour servir aussi de douche et la quatrième chambre d’amis avec un lit de 120 centimètres une salle de bain avec un lavabo, un bidet et une baignoire avec un rideau de douche.
A l’entresol, il y a encore une petite chambre moderne avec deux lits de 80 centimètres superposés un coin d’eau composé d’une douche de 70 centimètres avec un rideau et d’un lave-mains. Elle a aussi son WC indépendant.
Dans une petite annexe, on accède par un petit escalier à une toute petite chambre mansardée avec un lit d’une seule personne à barreaux en fer forgé, de 70 centimètres avec un meuble-lavabo de l’ancien temps sur lequel est posé un ensemble en faïence blanche et bleue composé d’une vasque, une cruche, une boîte à peigne et une boîte à savon. Dans un coin, un ancien bidet en tôle émaillée et son pied en fer forgé. Pour l’eau, il faut aller la prendre dans le WC à la turque qui se trouve sur le palier.
Au rez-de-chaussée, donnant dans le hall d’entrée, on a à droite la salle à manger immense à la suite de laquelle se trouvent la cuisine, le cellier et la buanderie. Sur la gauche du hall d’entrée, on a une immense pièce qui ressemble à une salle de bal et à l’extrémité de celle-ci une plus petite pièce qui sert de petit salon et de pièce TV. Derrière l’escalier du hall d’entrée se trouve une pièce qui comporte trois toilettes et une douche de 90 centimètres. Sous cet escalier se trouve l’entrée des sous-sols où on trouve garages et remises, mais aussi un hammam avec toutes ses composantes. Le sous-sol donne directement accès au jardin dans lequel se trouve une immense piscine.
Comme l’après-midi touche à sa fin, David rentre à la maison et nous nous retrouvons à prendre l’apéritif dehors. Vers 20 heures, Laure et Kévin servent le repas sur la grande terrasse à l’arrière de la maison. La soirée se passe tranquillement en regardant la télé, mais je dois dire que je ne suis pas trop ce qui se passe, j’ai l’esprit embrumé par les révélations de ma tante Suzanne.
Il est déjà passé 23 heures lorsque nous montons nous coucher peu de temps après l’arrivée de Véronique, l’infirmière et maîtresse de David. Et c’est vrai que c’est un gros thon ; elle taille du 56 en tour de taille et sa poitrine gigantesque nécessite des soutiens-gorge aux bonnets H. David et sa grosse truie montent se coucher et quelque temps après, Sue et moi faisons de même.
Comme tous les soirs, je me passe une chemise de nuit et me mets une culotte Tena contre les fuites urinaires, car ma chatte a tendance à beaucoup juter la nuit et sans protection, je mouille mon lit. Très rapidement assommée par les émotions du jour, je sombre rapidement dans les bras de Morphée.
Le lendemain matin, je suis réveillée par Sue qui vient me voir dans ma chambre. Elle porte une magnifique robe de chambre en satin couleur champagne.
- Alors chérie, bien dormi ?- Hum euh...- Fais-moi une petite place !
Elle fait tomber sa robe de chambre et je la découvre portant une très jolie nuisette hyper-sexy en satin et dentelle assortie à son peignoir. Soulevant la couette, elle découvre ma chemise de nuit :
- En voilà des vêtements de bobonne, c’est un vrai tue-l’amour cette tenue ! C’est ça tes robes de nuit ?-Ben oui.- Bon on va remédier à ça aussi ; et je vais devoir voir ce que tu as comme vêtements ; si c’est dans le même style, il faudra te rééquiper. Tu ne peux pas aller travailler avec des vêtements justes dignes de bonnes sœurs.
Sue se glisse près de moi dans le lit et me prenant dans ses bras me fait un gros câlin. En me caressant, elle découvre ma culotte Tena lady.
- Waouh, c’est quoi ça ? dit-elle en soulevant la couette et ma robe de nuit. Tu fais pipi au lit ?
- Non ! Mais j’ai un gros problème, j’ai le sexe qui coule beaucoup pendant la nuit et ça mouille les draps. La nuit Maman me fait porter une culotte pour fuite urinaire Tena ou Always pour éviter ça.- Vous n’en avez pas parlé à un médecin ?- Non, maman dit que c’est une chose honteuse. Elle en a parlé à une femme de son groupe de l’Église, il paraît que ça cesse une fois qu’on est marié.- Moi je pense que c’est ton corps qui la nuit se lâche parce que tu as des besoins que tu n’assouvis pas. En fait ton corps réclame du plaisir que tu ne lui donnes pas puisque tu ne te masturbes pas, et comme tu as un clitoris hyper-grand, tu es plus sensible. Tu devrais te masturber au moins deux fois par jour ; et surtout avant d’aller dormir et aussi le matin au lever. Si tu ne sais pas comment on fait, je vais te montrer, tu n’as qu’à faire comme moi.
On s’assied sur le lit, Sue relève ma robe de nuit arrache ma culotte qu’elle jette à terre. Elle soulève sa nuisette et se met à faire glisser ses doigts entre les lèvres de son sexe. Je la regarde et je fais comme elle. Une grande sensation de plaisir m’envahit. Suite à ce traitement, nous mouillons toutes les deux et nos clitoris deviennent plus durs. A ce moment, Sue me dit de me caresser mon petit bouton, ce qui a pour effet de le faire se dresser à la verticale et me procure un immense plaisir jusqu’au moment où je sens tous mes muscles se tétaniser et ma jouissance exploser tellement fort, que je me mets à crier très fort :
- Oh oui ! Oh oui ! Oh oui ! Oh oui !
Sue atteint aussi l’orgasme à peu près en même temps que moi, mais sans crier.
- Tu cries très fort quand tu jouis ! Je vais te donner un gag ball que tu te mettras pour étouffer tes cris. Et effectivement, tu mouilles beaucoup, je te conseille de mettre une serviette en dessous de toi pour éviter de salir la literie. Sinon, quand tu te seras masturbée plusieurs fois sur la journée, ton corps ne devra plus libérer de façon incontrôlée la nuit. Tu pourras alors dormir sans culotte, ça permettra à ton vagin de respirer et d’éviter d’attraper des mycoses.

A suivre : Comment Christine est passée de jeune nunuche à femme libérée
Diffuse en direct !
Regarder son live