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Comme dans les pornos

Chapitre 1

Moi, elle, et mon pote

Avec plusieurs hommes
Toute habillée, Angélique s’allonge sur le dos, contre le matelas. Moi, retirant slim et caleçon, je me défroque et me place au-dessus d’elle, à genoux, les deux jambes serrées contre ses flancs, les couilles sur sa poitrine. Mon pénis en offrande se dresse au-dessus de son menton. Elle accepte mon présent et le saisit de sa main droite en frottant mon gland contre ses babines comme si c’était un baume à lèvres. Les yeux brillants et plongés dans les miens, elle sort la langue et humidifie d’une bave tiède le sommet de mon vit, mais sans le faire entrer en elle, accentuant encore la tension jusqu’à me rendre fou de désir. Elle dessine des cercles avec mon pénis tout autour de sa bouche et, enfin, quand elle voit que je n’en peux plus, l’enfonce dans sa gorge.
Je pousse un râle de satisfaction et l’aide à me gober en plaçant mes mains derrière ses cheveux pour accompagner la succion. Quelques allers-retour et je sors de son antre vorace et chaude. Un filet de bave de sa cavité orale jusqu’à mon dard me lie à elle. Mon pénis est vraiment gonflé et bien ferme à présent. Je le reconduis dans sa bouche en guidant mon membre d’une main puis j’utilise l’autre pour pousser et repousser son crâne d’avant en arrière. Je fais bien rentrer ma bite au fond, avance et recule régulièrement sans sortir complètement. J’ai la délicieuse sensation de lui baiser le visage. Fred, qui observait la scène en se massant les testicules par-dessus son jean, nous fait signe qu’il a envie de participer.
Elle descend du lit et se met à genoux entre nous deux. Il ouvre alors sa braguette et sort son engin. Nos deux sexes à l’air libre et prêts pour la contenter, il vient lui pénétrer la gueule pendant que je donne des claques au cul de la concernée. Il apprécie, à chacune de mes fessées sur les fesses de la belle, les cris féminins étouffés par sa bite qui coulisse dans la gorge à disposition. Je prend en main, sans le serrer, le cou de la belle, et embrasse sa joue qui se remplit et se vide du sexe de mon pote. Enfin, je veux retourner en elle. Je la prend par la queue de cheval, la déplace, ce qui en fait sortir la bite de Fred, puis je m’engouffre dans Angélique à sa place. 
Elle déglutit bruyamment en me fixant dans les yeux alors que je lui baise la bouche à nouveau. Avant le point de non-retour, je me retire. Déçue, elle bascule alors la tête en arrière en ouvrant la gueule en grand et en sortant la langue comme une chienne assoiffée. Je crache dans sa bouche et Fred aussi, puis, nous venons tous les deux près d’elle et pénétrons son orifice buccal ensemble. Nos bites se touchent et je peux sentir les palpitations du sexe voisin et brûlant de mon pote. Je suis satisfait de sentir que nous prenons tous les deux autant de plaisir avec Angélique. Nous poursuivons, en sortant souvent nos bites d’elle pour recouvrir son visage de sa propre bave, et, le fard noir de ses paupières commence à couler sur ses joues. 
Au bout d’un temps, nous en avons assez ainsi, alors je fais varier un peu. Je lui demande de ramper vers le coin de la pièce où je l’appuie contre le chauffage mural. Puis, je reviens, seul, lui baiser le visage. Elle s’agrippe à mes jambes pour encaisser mes retours enchaînés dans sa bouche. Fred se pose sur le lit pour se branler en nous regardant. Elle glisse et son corps bascule lentement en arrière. Je la suis et fléchis les genoux pour continuer à me soulager alors que je sens que je vais bientôt jouir. Ça vient. Je me maintiens en elle alors que plusieurs jets la nourrissent de mon sperme. Elle avale mais manque de s’étouffer et tousse un peu, ce qui fait déborder quelques filets de sperme sur les commissures de ses lèvres. Quand je sors d’elle, elle passe sa langue là où ça coule et récupère bien tout le liquide pour l’ingérer. Une fois fini, elle me regarde avec un grand sourire de satisfaction.
Fred n’en peut plus de nous mater et veut jouir aussi. Il prend des ciseaux posés sur un meuble proche, jette Angélique sur le lit et découpe le tissu qui l’emballe au niveau de son cul. Le pantalon d’Angélique scindé en deux, son anus et son vagin s’offrent à lui. Je viens à la rescousse, prends un tube de lubrifiant dans un tiroir et en déverse généreusement le contenu sur les deux orifices d’Angélique et sur la bite de Fred. Il fait son choix, la saisit par les bras pour la tirer vers lui et s’insère dans son fondement. Elle pousse un petit gémissement quand les testicules de Fred claquent contre ses fesses, puis il va et vient en elle par des à-coups vigoureux.
Je me délecte de cette scène et bande à nouveau. Angélique qui tourne parfois la tête pour mater ce que je fais, sourit et me demande de venir. Fred se retire pendant qu’elle se repositionne pour nous accueillir tous les deux. Elle s’assoit sur Fred qui rentre à nouveau dans son anus. Elle mouille beaucoup. Je me mets face à elle et masse doucement son clitoris avec mon gland pendant que Fred commence à la pilonner. Elle pousse des râles francs de plaisir, la bouche grande ouverte et les yeux fermés pour se concentrer sur la chose. Je poursuis mes massages du gland en passant plusieurs fois entre ses petites lèvres sans m’introduire et en revenant toujours sur le clitoris. Puis, elle crie :— Vas-y, Marc, laboure moi la chatte, elle est en feu, je n’en peux plus !
Je m’appuie où je peux pour tenir en équilibre dans cette position compliquée, puis j’obéis à ses ordres et nous nous coordonnons en double pénétration avec Fred. Elle gémit sans retenue, en transe, et nous poursuivons. Fred la suit de près et un son distinct me fait deviner qu’il est en train de jouir en elle. Me représenter mentalement le sperme de mon pote qui est en train de gicler contre les parois anales d’Angélique m’excite énormément et j’éjacule une seconde fois. Elle, fan de creampie, est proche de l’orgasme mais ne l’atteint pas encore. Elle hurle à Fred de venir vite lécher mon sperme en lui lapant le vagin, et, elle me hurle de faire de même avec le sperme de Fred dans son trou du cul. Pendant ce temps, elle s’occupe elle-même de son clito avec ses doigts. Nos langues s’affairent à leur tâche. Je sens l’amertume de la semence de Fred pénétrer mes récepteurs du goût et je n’ai d’autre choix, pour continuer mes mouvements sans m’arrêter, que d’avaler un peu du liquide visqueux de mon pote. Elle l’entend et entend aussi que Fred avale un peu du mien, ce qui achève de l’exciter. Elle atteint le point culminant de son orgasme. Elle se tend, tressaille et gémit encore plus fort que tout à l’heure alors qu’elle continue à se masturber quelques secondes avant de s’écrouler sur moi, tremblante et satisfaite.
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