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Comme quoi les pharmaciennes ne donne pas que du sirop !

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Au coin de ma rue se trouve une pharmacie. Pour la plupart, le personnel se compose de femmes assez âgées. Mais il se trouve que dernièrement, avec le changement de propriétaire, deux nouveaux visages ont fait leur apparition. C’est celui d’Isabelle et de Laetitia. Elles ont pris leurs fonctions au moins de Juillet-Aout, et étant à peu près du même âge, nous avons rapidement sympathisé. Un jour d’août, je me rends dans cette pharmacie, dans le début de l’après-midi. Une fois rentré, je m’aperçois qu’il n’y a personne derrière le comptoir :
— « Bonjour, vous êtes ouvert ? »— « Oui, Bonjour, nous sommes là »— « Alors, Gilles, qu’es-ce qu’il vous arrive ? »— « En fait, j’ai un problème avec mon pénis »— « D’accord, Gilles, venez dans le bureau, on va regarder ça »
Isabelle me conduit dans le fond de la réserve et s’assoit derrière un bureau pendant que Laetitia reste derrière le comptoir de la pharmacie. Après m’avoir fait asseoir à mon tour, Isabelle me demande :
— « Alors, Gilles, quel est le problème ? »— « Hé bien, quand je me branle, je sens que le sperme monte mais au moment de jouir rien ne sort ! »— « D’accord, et combien de fois vous branlez-vous par jour ? »— « Trois fois en moyenne pourquoi ? »— « Et au niveau de l’éjaculation ? »— « Correcte en générale mais si je suis bien excité elle devient plus importante »— « Bon, levez-vous, on va passer à un examen physique »
On se lèvent tous les deux de notre siège, Isabelle se retourne, ouvre un tiroir et prend une paire de gant :
— « Bon, Gilles, sortez votre sexe et branlez-vous comme vous le faite habituellement »
Je sort mon sexe et commence à me branler jusqu’à bien bander, Isabelle s’approche de moi, me branle à son tour un court instant puis presse ma vergue :
— « Je vois ce qui vous arrive, vous vous branlez trop fort et du coup vous vous êtes bloqué la vergue, c’est pour ça que vous arrivé plus à gicler ! »
— « Mais bon, je suis pas trop une spécialiste et je préfère demander l’avis de ma collègue »— « Laetitia, tu peux venir s’il te plaît ! »— « Oui, j’arrive ! »
Laetitia arrive dans la réserve à son tour et demande quel est le problème :
— « Je pense que Gilles s’est bloqué la vergue en se masturbant trop fort, tu peux regarder s’il te plait ? »— « Bien sûr »
Elle s’équipe elle aussi d’une paire de gant puis me pratique le même examen qu’Isabelle :
— « Effectivement, il est complément bloqué »— « Alors, qu’es-ce qu’on peux faire ? »— « La masturbation à quel fréquence ? et l’éjaculation, quelle quantité ? »— « En moyenne trois fois par jour et l’éjaculation elle est correcte en générale voire abondante suivant l’excitation »— « Il va falloir le débloquer sinon le sperme va s’accumuler dans la vergue et elle va finir par s’infecter »
Isabelle se retourne vers moi :
— « Gilles, on va essayer de vous la débloquer mais il va falloir agir en profondeur pour que ça ne vous arrive plus, vous êtes d’accord ? »— « Oui, Isabelle, bien sûr »— « Q’es-ce que je dois faire ? »— « Il va falloir changer le rythme de votre masturbation, c’est important, sinon vous allez vous bloquer à nouveau et là je sais pas si on pourra vous la débloquer » me dit Laetitia— « Qu’es-ce que vous entendez par changer de rythme ? »— « Au cours de la semaine prochaine, vous allez devoir vous branlez au minimum cinq fois par jour à un rythme lent et noter à chaque la quantité de sperme éjaculé : faible, correct, abondant. Normalement, elle devrait se situer à un niveau correct puis la semaine d’après, passez à trois fois par jour mais cette fois-ci à un rythme rapide et soutenu, même chose pour l’éjaculation, vous avez bien compris ? »— « Oui, tout à fait »— « Une fois passées ces deux semaines, repassez nous voir pour qu’on vous fasse un nouveau examen de contrôle. »— « Bon, Isabelle, tu veux la débloquer ou tu veux que je le fasse ? »— « Fais-le puisque tu l’a bien en main, pendant ce temps je te regarde pour voir comment tu fait »— « D’accord, pas de problème »— « Gilles, quand vous avez envie de jouir vous me le dites d’accord »— « D’accord »
Laetitia reprend sa branlette commencé tout à l’heure tout d’abord à un rythme lent pour me refaire bander puis à un rythme vif et soutenu pour provoquer mon éjaculation. Dix minutes après, je sens que mon sperme va sortir :
— « Laetitia, c’est bon, mon sperme va sortir ! »
Alors à ce moment là, elle recommence à me branler mais cette fois-ci de la main gauche et place sa main droite au bout de ma vergue pour récupérer le sperme. Mon sperme gicle au fond de sa main et la remplit presque à ras bord.
— « Hé bien, Gilles, vous vous l’étiez bien bloquée » me dit-elle en regardant le contenu de sa main
Puis, elles me demandent de me rhabiller et jètent les gants à la poubelle. Un peu déçu du sort de mon sperme alors que je n’avais pas réussit à gicler depuis un bon moment, je me promet que lors de la visite de contrôle dans deux semaines, il en serait autrement.
— « Gilles, n’oubliez pas de faire ce que je vous ai dit et à deux semaines » me dirent Laetitia et Isabelle en me disant au revoir
Deux semaines plus tard, je retourne à nouveau dans la pharmacie et me présente directement à Laetitia qui est derrière le comptoir :
— « Bonjour, je viens pour la visite de contrôle »— « D’accord, Gilles, allez vous installer où nous étions la dernière fois et déshabillez-vous »
Je me rends dans de fond de la réserve et me déshabille. Quelques instants plus tard, Laetitia arrive :
— « Alors, Gilles, vous avez suivi mes prescriptions ? »— « Oui, Laetitia, bien sûr »— « C’est très bien, je vais donc voir dans quel état est votre vergue et normalement tout devrait bien aller »
Elle recommence l’examen pratiqué la précédente fois et me dit :
— « Enfin, Gilles, c’est pas possible, elle est encore plus bloquée que la dernière fois ! »— « Isabelle, tu peux venir s’il te plaît ? »— « Oui, j’arrive tout de suite »
Isabelle arrive et demande à Laetitia ce qui se passe. Elle lui explique le problème puis Isabelle pratique à son tour l’examen et reste perplexe :
— « Ha oui, c’est clair elle est encore plus bloquée que la dernière fois, je ne sais vraiment pas ce qu’on peux faire ? On pourrait encore lui débloquer en espérant que cette fois-ci c’est la bonne non ? »— « Oui, mais c’est pas un traitement à long terme, il va pas revenir toutes les deux, trois semaines pour qu’on lui débloque, en plus à force de lui débloquer, ça va finir par lui faire mal ! »— « Alors qu’es-ce qu’on fait ? » lui demande Isabelle— « J’ai peut-être une idée mais je suis pas sûr que… »— « Dis toujours »— « Je pense qu’une forte activité sur son pénis et sur sa vergue pourra provoquer une excitation assez forte pour lui débloquer complètement »— « On n’a cas essayer ça alors, et si ça marche pas, on le débloquera autant de fois que nécessaire ! »— « Mais si on choisit cette possibilité, tu as bien compris qu’on va devoir payer de notre personne ? »— « Oui, bien sûr, mais après tout c’est pour aider mes patients de mieux de mes moyens que je suis devenu pharmacienne ! » lui répond Isabelle— « Et vous, Gilles, vous nous autorisez à utiliser tous les moyens possibles pour vous soigner ? »— « Oui, oui, allez-s’y »— « Alors, c’est partit »— « Attendez nous ici quelques instants le temps que nous discutions Isabelle et moi du protocole du traitement »
Je reste où je suis, pendant qu’elles s’asseyent autour du bureau et discutent. Quelques minutes plus tard, elles reviennent vers moi. Puis, elle se déshabillent entièrement elles aussi, se mettent à genoux devant moi et me sucent à tour de rôle. Une fois que mon sexe est bien droit, elles se mettent à me branler très fort, là aussi chacune leur tour. Mon sexe ayant atteint le maximum de son excitation, Isabelle va s’allonger sur le bureau et m’inviter à la rejoindre. Une fois en face d’elle, elle me demande de la pénétrer puis de la baiser aussi fort que je peux, ce que je fais aussitôt demandé. Puis Laetitia prends sa place et me demande la même chose. Pendant que je suis en train de terminer avec Laetitia, Isabelle me demande :
— « Bon, Gilles, je pense qu’on va arrêter là pour voir le résultat du traitement»— « En fait, j’aurais voulu ajouter encore une étape à mon traitement »— «°Attention, Gilles, je sais que ce traitement est très plaisant mais il faut pas en abuser comme tout les traitements sinon… » me rétorque Laetitia— « Non, non, je veux juste être sûr que je n’aurais plus de problème par la suite, c’est tout »— « Bon, alors qu’es-ce vous voulez y ajouter ?»— « Je trouve que vous avez de jolis pieds et j’aimerais bien que vous me branliez avec, c’est possible ? »— « Oui, c’est possible, Gilles »
Elle prends mon sexe entre ses plantes de pied et me branle fougueusement. Puis, Isabelle prends sa place sur la table et reprends la branlette où elle en était. Dix minutes plus tard, je sens que je vais jouir et je demande :
— « Ca y est, Isabelle, Laetitia, ça va sortir, tendez-moi vos pieds s’il vous plaît » leur demande-je en les regardant à tour de rôle.— « Non, Gilles, je ne peux pas faire ça puisque il va falloir que je prenne le contrôle de la branlette et que je pousse l’éjaculation au maximum »
Voyant mon air déçu, elle rajoute :
— « N’oubliez pas que c’est pour vous que je fait ça pour que vous n’ayez plus de problème de blocage par la suite, alors vous êtes prêt à tout lâcher ? » me demande Laetitia— « Oui, ça c’est sûr ! ! ! »
Enfin, Isabelle retire ses pieds de mon sexe, les mets côte à côte puis les avancent juste sous mon sexe. Alors Laetitia prend mon sexe dans sa main droite et me branle furieusement :
— « Allez, Gilles, c’est le moment où jamais de tout lâcher !!!! »
Après encore quelques secondes de branlette, Laetitia me hurle :
— « Lâchez tout !!!!!!!!!!!! »
Une fois sa phrase terminée, je pousse un cri de jouissance tout en envoyant une dizaine de jets de sperme bien blanc sur les pieds d’Isabelle. Après cette éjaculation plus que satisfaisante selon les dires de Laetitia qui l’a observée de début jusqu’à la fin, je me recule essoufflé pendant que Laetitia léche le sperme qui couvre les pieds d’Isabelle, qui ne manque pas de prendre part au nettoyage. Tout le monde étant rhabillé, nous nous dirigeons vers le comptoir et nous nous saluons de la manière la plus normale possible :
— « Merci beaucoup, à la prochaine j’espère ! »— « Ha non, Gilles, vous croyez pas qu’on vas recommencer ce traitement tout le temps non ? et de toute façon, vous de devriez plus avoir de problème de blocage maintenant »— « Tant pis, alors »— « N’oubliez pas ce que je vous ai dit tout à l’heure : il ne faut pas abuser des bonnes choses ! »
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