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Ca commencait bien pourtant.

Chapitre 2

Jour 2

Erotique
Après la longue route d’hier et surtout les mésaventures, la nuit fut bien nécessaire. Je me réveille en douceur, tout en gardant les yeux fermés. Je sens la peau d’Annie contre ma main et j’entends sa respiration, cela me calme, me déstresse. Je me décide d’ouvrir un œil, je vois sa bouche, son nez, ses yeux qui me regardent...
— Bonjour jeune homme, me dit elle avec un joli sourire.— B’jour mamzelle. Déjà réveillée ?— Bah non, gros bêta, je dors toujours les yeux ouverts. Tu as d’autres questions ?— T’as la pêche ce matin.
Je passe mon bras derrière son dos et la rapproche de moi alors que j’avance mon visage pour l’embrasser. Elle pose aussitôt un doigt sur mes lèvres
— Distanciation de un mètre petit coquin !!— Hein ??? Non !! Je refuse !!— Monsieur se rebelle ?
J’effleure son dos avec mes doigts. Elle ondule contre moi.
— Les chatouilles sont interdites, me dit elle en rigolant.
On commence à jouer comme des gamins et arrive le moment où le dicton se réalise...Un mouvement trop rapide et je me prends un coup de coude en plein visage. Je retombe sur le dos et aussitôt, Annie se penche sur moi, ses deux mains sur mon visage.
— Pardon, pardon, je ne voulais pas..(Elle m’embrasse)— Faut se faire frapper pour que tu m’embrasses ?
Je lui souris et l’embrasse. Elle passe sur moi, j’enjambe, nos lèvres ne se quittent pas, puis redresse la tête.
— Oh je sens comme une légère excitation/

Elle me fait un clin d’œil et glisse sous la couette. Je sens ses baisers sur mon torse, mon ventre, mon boxer, puis s’échappe du lit. Je la vois se redresser, prendre son pantalon et s’habiller.
— Tu sais que nous sommes bloqués ici pour encore 9 jours ? Pas besoin de t’habiller.
Annie me regarde et sans détourner son regard du mieux, elle retire son pantalon en me disant qu’elle va préparer le petit dej. Je reste encore un peu sous la couette puis je la rejoins en cuisine. Mes mains sur ses hanches, je dépose un baiser sur son cou, ce qui l’a fait frissonner. Je me colle contre son dos, mes lèvres toujours sur son cou.
— Arrêtes ça, je fais cuire des œufs...
Une main glisse entre ses cuisses, sous le tissu de se lingerie. Elle gémit, pose ses mains sur le rebords de la plaque de cuisson et colle ses fesses contre mon sexe. Elle tourne la tête vers moi et je l’embrasse. Mon majeur remonte entre ses lèvres jusqu’à son clito et commence à jouer avec, très doucement. Annie gémit, ondule contre moi. Mon doigt joue avec son clito et parfois il glisse entre ses lèvres. Je joue avec elle durant quelques minutes puis je retire ma main.
— Tu disais quoi tout à l’heure ? Distanciation d’un mètre ?
Je souris et je croise son regard. Je me dis que j’ai peut être fait une légère erreur et que je risque de le payer très prochainement. Je me rapproche et l’embrasse sur son cou. Elle boude... Mes baisers continuent. Elle se retourne face à moi.
— Je suis fâchée.— Je sais.
Je l’embrasse, nos langues se mêlent, ses bras passent autour de mon cou. D’une main, j’essaie de couper l’électricité de la plaque chauffante puis je place mes deux mains contre ses fesses. Ses jambes m’enlacent alors que nos lèvres ne se quittent pas. Je la porte jusqu’à la chambre et la pose doucement sur le lit. Je lui retire son string et me penche entre ses cuisses. Mes lèvres sur sa chatte, je l’entends gémir. Ma langue entre ses lèvres, je la sens onduler de plaisir. Son clito contre ma langue, elle passe une main dans mes cheveux.Elle est tellement sexy lorsqu’elle prend du plaisir, que je reste entre ses cuisses, à la lécher et parfois même à glisser ma langue en elle. Annie prend du plaisir, sa respiration s’accélère puis jouit sans retenue. J’adore cette femme.
Je glisse sur le lit pour me placer à coté d’elle, elle me prend entre ses bras et m’embrasse. Quand elle pose une jambe entre les miennes, je sens cette cyprine encore chaude contre ma cuisse. Sa respiration se calme, elle s’endort. J’aime cette femme.
Une bonne heure passe. Annie se réveille. Je lui demande si elle va bien et pour simple réponse, j’ai un oui de la tête. Un tendre baiser, puis un second. Après quelques minutes, je lui dis que je vais m’occuper du petit dej et surtout qu’elle prenne tout son temps pour se lever. A ces mots, elle me chuchote à l’oreille qu’elle s’occupera de moi un peu plus tard. On s’embrasse puis je me lève.
Quand tout est prêt, elle me rejoint. Nous avalons le petit dej en évoquant le fait qu’on soit bloqué pour encore neuf jours et nous arrivons vite à la même conclusion, à savoir qu’on n’a pas le choix, donc autant en profiter.
On s’installe sur le canapé, Annie se cale contre moi. Je prends la télécommande et je zappe... Sur la Une, du foot... Sur la Deux, mon dieu, la messe !!! Sur la Trois, de la politique... Sur la chaîne suivante, « Non, sans rire, trois chaînes françaises et des chaînes allemandes ? »
Annie me prend la télécommande des mains, éteint la télé puis jette la télécommande sur un fauteuil. Elle s’assied sur moi, face à moi. Front contre front, les yeux fermés...
— J’ai envie de toi.
Il m’en faut pas plus pour que mes mains commencent à errer sur son corps. Elle retire son haut, laissant mes mains se poser sur sa poitrine. Masser ses seins et l’embrasser, l’excitation monte. Annie en profite pour se relever, je l’aide à retirer mon boxer puis elle se reinstalle sur moi.
— Dis moi, si on ne faisait que l’amour, sans...gâterie... Ca serait gênant ?
Je lui fais non de la tête. On s’embrasse alors qu’elle commence à onduler contre mon sexe. Je sens sa chaleur intime. Je prends un sein une main, ma langue passe sur le téton. Elle gémit.
Jusqu’à aujourd’hui, nous utilisions toujours un préservatif pour nos câlins, et comme nous nous entendions encore mieux qu’au premier jour, nous avions décidé de passer les tests afin de ne plus avoir besoin d’équipement. Nous savions qu’on était fait l’un pour l’autre, ça serait donc la première fois pour elle, tout comme pour moi,qu’on allait franchir un cap dans une relation.
Elle attrapa délicatement mon sexe et le guida entre ses cuisses, entre ses lèvres, puis se laissa descendre doucement. Un gémissement s’échappa simultanément de nos bouches. Elle resta immobile, mes mains sur ses fesses, mon regard ne quittait plus le sien.
Puis sans rien dire, elle entama un mouvement de va et viens sur moi, très lents, très sensuel. L’excitation monte, ses mouvements accélèrent. Nous sommes toujours front contre front, nos respirations s’affolent, les gémissements se mêlent à nos baiser de plus en plus fougueux.
Les gémissements se font plus forts et rapides. Les bras d’Annie, autour de mon cou, se contractent alors que je la serre contre moi. Au moment où Annie jouit, je sens son jus couler sur moi et immédiatement je jouis à mon tour en elle. Nous restons immobiles, je la regarde, ses joues rosies par le plaisir.
Nos respirations revenues à la normale, Annie se lève, me prend la main et m’entraîne sous la douche. Celle ci dure une bonne demie heures, nous nous lavons mutuellement, ses caresses sont douces. Une fois séchés, nous retournons dans la chambre, sous la couette, nus. Je suis sur le dos, alors qu’Annie, sa tête sur mon épaule, une jambe entre les miennes, passe sa main sur mon torse. Nous parlons un peu avant de nous endormir pour une bonne sieste.
Quand nous nous réveillons, nous nous sentons tellement bien que nous restons au lit. Annie se tourne et je me colle contre son dos. Je l’enlace d’un bras et pose ma main sur un de ses seins. Pour sa part, elle pose sa main sur mes fesses. Nous nous endormons.
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