La nuit fut très reposante. J’entre-ouvre un il. Je suis sur le dos, je tourne la tête vers Annie. Elle est là, dos contre moi, à moitié sur moi, sa tête sur mon épaule. Je réalise que sa main droite me tient le sexe et le caresse doucement. B’jour. Hey tu as bien dormi ? Heu...oui. Tu fais quoi avec ta main là ? Bah je m’ennuyais, ça te déplaît ? Me dit elle en tournant sa tête vers moi. Non, non. C’est un réveil agréable. (je l’embrasse) Elle me rend mon baiser sans ralentir le mouvement de sa main. Je replie mon bras sur elle, ma main se posant sur un sein. Mes doigts caressent délicatement le téton que je sens durcir. Sans la faire bouger sur le lit, je réussis à faire glisser ma main libre entre ses cuisses, effleurant sa peau. Je sens aussitôt sa chaleur intime du bout de mes doigts. Est ce que monsieur aurait envie de passer un bon moment ? (Elle me sourit) Toujours, mais seulement en votre compagnie... Je passe un doigt entre ses lèvres pour remonter sur son clito. Je la vois fermer les yeux et se mordre doucement la lèvre. Alors que mon doigt s’affaire à jouer avec son clito, en le massant délicatement, je sens sa main accélérer le mouvement sur mon sexe. Je l’embrasse, nos langues se mêlent, se trouvent. Annie pousse de petits gémissements. Mes doigts sur son téton bougent toujours très doucement alors que ceux qui massent son clito s’activent de plus belle. Annie gémit un peu plus fort. J’embrasse son cou, mes doigts s’excitent encore plus sur son bouton. Sa main devient immobile contre mon sexe. Veux tu que je ralentisse ? Hmmm oui... Tu es certaine ? Non... Mes doigts reviennent à la charge sur son clito, ce qui la fait gémir à nouveau, plus fort. Ma main quitte son sein pour lui caresser le visage. Je pose mes lèvres sur son cou, elle frissonne. Sa main lâche mon sexe et se pose sur la mienne, qui joue entre ses cuisses. Je sens soudain mon pouce aspiré dans sa bouche, sa langue joue avec mon doigt, l’aspire, le suce. Sentir son plaisir augmenter m’excite, mon doigt sur son clito ralentit puis ré-accélère à plusieurs reprises. Je la sens onduler du bassin... Pause !!! s’il te plait, pause... Certaine ? Nooon... je ne sais plus...
Mon doigt glisse entre ses lèvres et la pénètre. Annie pousse un fort gémissement. Je le retire pour le remettre sur son clito et que masse vite... Je l’immobilise... Tu veux quoi dis moi ? Continue, mais... Je ne lui laisse pas le temps de finir sa phrase, mon doigt se remet à bouger. Elle gémit de plus en plus fort. J’immobilise mon doigt après quelques secondes. Ne joue pas avec moi !! me murmure t elle, entre deux gémissements, les yeux fermés. Ce n’est pas mon intention... (Je l’embrasse alors que mon doigt se remet à bouger) Elle gémit, j’en profite pour faire jouer ma langue avec la sienne. Sa main revient sur mon sexe et impose un mouvement rapide, qui me fait gémir à mon tour. Nos regards se croisent.. Tu cherches à faire diversion avec tes caresses ? J’espère que ca va...Aaaaahhhh....fonctionner... Je décide de ne plus ralentir mon doigt, bien au contraire. Sa main me branle de plus en plus vite. Elle gémit de plus en plus, mon doigt ne ralentit plus... Ses gémissements se transforment en cris de plaisir... Je la vois tenter de se retenir puis dans un dernier de cri de jouissance, ses cuisses se resserrent soudainement. Elle lâche mon sexe et se met en boule. Retire ta main !!! Elle est coincée entre tes cuisses. Je ne bouge plus aucun doigt. Elle me tourne le dos, j’ai l’impression de lui avoir fait mal.. Je sens ses cuisses s’ouvrir légèrement, je retire ma main et la pose sur sa hanche. Non !! Sensible !! Ne me touches pas s’il te plait... Elle n’a toujours pas repris un rythme de respiration normal. Un peu désolé de la voir comme ça, je dépose un baiser sur son épaule. Elle se crispe aussitôt... Elle se retourne face à moi, toujours en boule. Elle pose sa main sur ma joue, pas rasée depuis 3 jours. Elle sursaute. Il lui faut un grand effort pour la poser sur mon visage. J’ai eu...(elle sert ses lèvres) un violent orgasme...(Ses yeux sont toujours fermés) Laisse moi redescendre doucement s’il te plait. Je ne bouge plus, promis. Elle ouvre un il, voit que je l’observe et rougit aussitôt. Me regarde pas !!!! dit elle en se cachant le visage. ok.. je ne bouge plus, et je te regarde pas... Elle écarte ses doigts et me voit toujours l’observer. Elle plaque sa main sur mes yeux. S’il te plait, ne me regarde pas dans cet état !!! Je ne regarde que ce qui est très joli à voir. Je sens sa main glisser de mon visage. Une larme apparaît sur son visage. Que se passe t il ? ( je relève sa mèche de cheveux) Je suis trop sensible pour... m’occuper de toi maintenant... Et alors ? Ça sera pour une prochaine fois ? J’ai eu un orgasme et toi rien. C’est égoïste de ma part. Je rajoute ça à ma liste pour Noël. (je souris et je vois un petit sourire apparaître sur son visage). On reste sous la couette encore quelques minutes, sans bouger. Je décide de me lever pour faire le petit déjeuner. Je l’embrasse délicatement avant de m’éclipser. Dans la cuisine, je prépare un café et un thé, les tartines toastées... Annie me rejoint et sans un mot, elle m’embrasse en se collant à moi. Je sens mon sexe durcir à nouveau. Ses mains passent autour de mon cou, glissent sur mes cheveux, alors que les miennes se posent sur ses hanches, pour se placer sous ses fesses. Je me retrouve avec ses jambes autour de ma taille. Tout en s’embrassant, elle glisse une main entre nous, saisit mon sexe déjà bien raide et le guide pour glisser en elle. Aussitôt, ses jambes se contractent, tout comme ses bras. Elle pose sa tête sur mon épaule. Ne...bouge pas... Je te redépose ? Attends. Je suis encore trop sensible... Je suis désolée... Après quelques instants, je la sens retirer ses jambes même si ses bras sont toujours crispés. Je retire mon sexe de sa chatte. Ses bras se décontractent...Elle m’embrasse... Faut que tu te rases, tu piques et je suis trop sensible là. Je lui souris. Elle m’embrasse du bout des lèvres puis se dirige vers la salle de bain. Je vais me doucher. J’en ai pour 5 minutes. J’ai besoin d’une bonne douche froide ce matin.
