Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 60 J'aime
  • 1 Commentaire

Ca commencait bien pourtant.

Chapitre 4

Toujours bien occupés

Erotique
Annie est sous la douche. Pendant ce temps là, je m’installe sur le canapé en réfléchissant comment rendre notre séjour forcé un peu plus intéressant. Le choix est limité à ce qu’il y a dans l’appart. La télé...c’est extrêmement limité, surtout avec les chaînes allemandes. Je me rends compte qu’en faut, nous n’avons même pas fouillé les lieux.
Dans le salon, je trouve des prospectus pour visiter Strasbourg...bah ça sera pour dans 7 jours !! Dans la cuisine, à part les condiments, des couverts et de la vaisselle, il n’y a rien de bien intéressant. J’ouvre une porte et je tombe sur une petite pièce d’un mètre sur un mètre...
C’est à ce moment là qu’Annie réapparaît, avec pour simple vêtement, une serviette qui lui couvre sa poitrine, son ventre et le haut de ses cuisses.
— Que fais tu ? Me demande t elle.— Je cherche quelque chose, pour nous occuper entre deux carlins.
Elle attrape mon bras gauche et pause sa tête contre mon épaule.
— Hey regardes !!! Il y a les grands classiques des jeux...ceux qui durent des heures.— Mouais. Cela ne me tente pas trop. (Je me tourne vers Annie et je l’embrasse) Je vais voir sur le net si on peut se faire livrer quelque chose.
On retourne sur le canapé puis on se fait une sélection assez rapidement. En à peine dix minutes, la commande est validée et surtout tout arrivera demain.
— Bon. Et maintenant ? On fait quoi ? Me dit elle avec un regard interrogatif.— Soit une partie de cartes... Soit un Pierre, Feuille, Ciseaux, Lézard, Spock.— Espèce de geek. Allez viens. Je vais te montrer comme j’arnaquais les autres étudiants aux cartes quand j’étais à la fac.
Elle me prend la main et on s’installe à table. Les parties s’enchaînent, elle est redoutable. Elle a gagné des massages, des restos, le droit d’être servie durant le reste de notre séjour. Pour ma part, j’ai juste gagné un strip tease. L’après midi passe rapidement, et quand le soir arrive, je me colle à la cuisine, mais finalement, Annie me rejoint et m’aide. Malgré sa perte de goût et d’odorat, on se fait un repas digne de ce nom, pas juste des coquillettes !! Durant le diner, cela me désole de la voir manger quelque chose sans avoir le goût. Alors j’essaie de décrire ce que je mange, ce qui la surprend au début puis elle joue le jeu, à mon grand regret quand elle revient de la cuisine avec un piment rouge... La soirée se passe bien, on discute sur le canapé avec la télé allemande en bruit de fond. Des expressions apprises au lycée nous reviennent en mémoire et on se marre bien en évoquant nos souvenirs des profs et des piètres élèves que nous étions selon les matières.
Sur les 22 heures, on décide d’aller se coucher, sagement. Elle se blottit contre moi sous la couette. Nous nous embrassons puis nous nous endormons.

Le lendemain, je me réveille en sentant le corps d’Annie contre le mien, son bras autour de mon cou, sa poitrine contre ma peau, sa jambe entre les miennes. Je peux juste tourner la tête pour la voir dormir. Elle a l’air si paisible. Je l’observe quelques instants, elle commence à se réveiller en douceur, tend son bras, ouvre ses yeux et me regarde.
— Bonjour mademoiselle.— B’jour (Elle avance son visage contre le mien et m’embrasse du bout des lèvres) Tu piques, faut que tu te rases.— Heu, c’est réciproque... ( je souris intérieurement de ma bêtise)— Peut être, mais pour les miens, tu les aimes bien.
Pour simple réponse, je l’embrasse, ma langue joue avec la sienne. Annie glisse sur moi pour avoir son visage en face du mien, puis elle m’enjambe. Les yeux dans les yeux, sa poitrine contre mon torse, sa respiration mêlée à la mienne, je ne peux cacher une certaine excitation. Elle me sourit. Je pose une main sur sa hanche et on roule sur le lit. Elle se retrouve sur le dos, nos lèvres ne se quittent pas. Je lui masse un sein. Sans aucun préliminaire, je glisse ma verge entre ses cuisses, en elle. Elle gémit, passe ses bras autour de mon cou et me chuchote « j’aime me réveiller comme ça, à tes cotés ».. Mes mouvements sont lents mais ils nous font gémir de plaisir. Ses mains glissent sur mon cou, mon visage, nos langues ne se lâchent plus.
Je me redresse et me mets à genoux devant son entre cuisses, sans retirer mon sexe. Sans ralentir mes va et viens en elle, je la guide pour qu’elle pose ses jambes sur mes épaules. Ses gémissements s’amplifient. Même pour moi, les sensations sont déférentes dans cette position. Mes mains glissent sur ses cuisses et l’une d’elles se glisse sur son bas ventre. Mes doigts trouvent son bouton et commencent à le masser. D’un geste rapide, elle se saisit de ma main, et en se mordant la lèvre inférieure, elle me fait « non » de la tête. Puis ses yeux se ferment, elle gémit.
Je retire mes doigts, j’écarte délicatement ses cuisses et me penche vers son visage pour l’embrasser. Elle en profite pour m’enlacer de ses jambes autour de ma taille et de ses bras autour de mon cou.
— Tu ne peux plus jouer avec moi, me dit elle entre deux gémissements.
Je la laisse profiter de sa petite victoire, en maintenant un va et viens lent mais intense. Puis glissant un main contre son dos, et prenant appuie sur la seconde, je me redresse en la maintenant contre moi. Redressés, elle pousse un cri de surprise et de plaisir, mon sexe est intégralement en elle. Ma main d’appuis se retrouve sous ses fesses, le va et viens reprend. Plus intense, les gémissements se camouflent dans nos baisers.
Je sens mon envie de jouir en elle arriver, je serre son corps contre le mien, sans bouger. Elle pose sa tête contre mon épaule, la respiration haletante puis me chuchote à l’oreille...
— Tu triches. Tu essaies de gagner du temps.— Tu me connais bien. (je l’embrasse)— Je veux te sentir en moi.
Sans attendre ma réponse, Annie ondule contre moi. Le plaisir est décuplé, pour elle, comme pour moi. Elle m’embrasse à nouveau, nos lèvres restent collées, ses membres se contractent. Elle cache son cri de jouissance en m’embrassant. Son corps devient immobile... Ma respiration se bloque, sa cyprine coule de son entre cuisses, je jouis en elle.
Nous restons sans bouger quelques instants pour redescendre de notre petit nuage, puis je la redépose sur le dos. Son regard ne quitte pas le mien. Elle desserre ses bras et ses jambes, je me retire. J’embrasse ses seins, son ventre puis je m’allonge à coté d’elle. Annie se colle contre moi.
Cinq minutes passent, je reçois une notification sur mon téléphone. Je le prends.
— Qui t’envoie un message après qu’on ait fait l’amour ?— Livraison prévue pour 11H ce matin. Je vais aller me préparer et m’habiller avant qu’il n’arrive. Tu me rejoins sous la douche ?— Pas besoin de me le demander. (Elle me souris puis m’embrase).
Je sors du lit et file sous la douche. Quelques minutes après, Annie me rejoint. La douche est sensuelle, nos mains errent sur le corps de l’autre. Nous oublions le temps... La sonnette de la porte résonne. Je prends une serviette autour de la taille et je sors de la douche.
A travers le judas de la porte, je vois le livreur. Il a besoin d’une signature électronique...je mets un masque et je lui ouvre. Le livreur reste à distance, il m’indique quoi faire puis je vois son regard se perdre derrière moi. Je me retourne et je vois Annie sortir de la salle de bain pour aller discrètement dans la chambre, habillée juste d’une serviette. Je me retourne vers le livreur et je claque des doigts...
— Hey, je suis là.— Heu oui monsieur. Excusez moi.— Voila, c’est signé ? Bonne journée à vous.— A vous aussi monsieur.
Je referme la porte. Annie revient.
— Il t’a vu...— Hein ? (elle devient rouge comme une tomate)— Il n’a pas eu le temps de bien regarder (Je l’embrasse, je la trouve tellement sexy avec sa serviette). Allez viens, tu as le droit à ton massage.
Je pose le colis au sol, prends sa main et nous allons dans la chambre. On regarde le lit, on remarque une tache humide bien au milieu.
— Je prépare le ptit dej, me dit elle.— Je m’occupe des draps.
Diffuse en direct !
Regarder son live