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Ca a commencé comme ça !

Chapitre 20

Zoophilie
MONIQUE ENTRE AU HAREM
Puis Lucie est arrivée, heureuse de retrouver Monique.Elle l’a prise dans ses bras pour échanger un long baiser, sans autres préliminaires.Dany est dans le bureau, et grande nouvelle, Monique dors ici ce soir .Ouhh, courte nuit en perspective, fit elle .Puis on a préparé le repas.Notre discussion portait, bien sûr, sur la nuit à venir.Tu sais, il nous traite de salopes, mais c’est plutôt un mot gentil.Mais il aime bien qu’on soient salopes quand même, ajouta Lucie.Il va falloir te montrer à la hauteur, ajouta t’elle a l’adresse de Monique.Celle ci se taisait, semblait ailleurs.Ca te gêne d’entrer dans notre harem ou tu as peur qu’André l’apprenne ?
Oh ! André ! Il faut que nous lui mettions un mot pour qu’il sache que tu dors là !Qu’est ce que je vais lui dire, fit elle ?T’as qu’a lui dire que comme il rentre tard dans la nuit, tu as peur de rester seule dans la maison et que nous t’avons invitée à diner et à dormir chez nous .Que tu redescendras demain matin, voilà tout, fit Lucie.
Monique à rédigé le mot et nous sommes descendues le poser sur la table .
Heureusement que le coin est désert, sinon les passants auraient croisé trois jolis petits derrières qui dépassaient de nos doudous.Nous n’avions cependant rien à craindre, les chiens accompagnaient leurs femelles préférées.En remontant vers la maison, Lucie a suggéré : il faut que tu soit super sexy ce soir , tu ne vas pas aller le rejoindre en doudou quand même ?Il faut qu’il te découvre comme un joli cadeau !
Moi je suggère épilation intégrale, il aime les petits minous tous lisses, joli maquillage, puis, bas noir, corset et petite culotte assortie.Il devra l’enlever comme un papier cadeau pour trouver le trésor qui s’y cache !Qu’en pensez vos ?Oh oui, en plus passée sous les jarretières, ça l’obligera a patienter pour découvrir son cadeau .Ca va l’exciter, je suis sûre qu’il va adorer !Ca te va fis à Monique ?
Heuuu, oui, vous savez mieux que moi ce qu’il aime, fit elle doucement.
Ouhhhh, je te sens toute timide d’un coup, pourtant tout à l’heure, tu semblais avoir très envie de lui. Il t’aurait entrainée vers le lit ou ailleurs, tu n’aurais pas résisté , je suis sûre !Oh oui, mais ce n’est pas pareil maintenant ...et puis je n’ai connu qu’André ....Tu as peur demandais je ? Tu sais, si tu ne veux pas, personne ne ’en voudra .
Noon, mais c’est la première fois, bafouilla t’elle, ..... et puis vous m’offrez à votre homme, comme ça, ...... et vous serez dans la pièce à coté .....
Dans la pièce à coté, ça, c’est pas sûr, fit Lucie en riant .Et puis, nous on est d’accord, sinon nous ne serions pas là à en parler. Tu vas voir, ce soir, tu vas faire l’amour !C’est autre chose que de se faire prendre brutalement par un mec aviné !Je suis sûre que ce sera comme avec les chiens, tu en redemanderas .
Si tu veux, je propose deux solutions :La première, on attend qu’il aille se coucher, puis on t’amène jusqu’à lui, comme un offrande, et on vous laisse tous les deux.La seconde, tu y vas seule, et nous vous rejoignons plus tard.Je suis pour la seconde, m’exclamais je . Il a dit tout à l’heure qu’il avait désormais trois petites salopes à la maison, et bien il va les avoir toutes les trois en même temps !
Monique ne répondit pas .Qui ne dit mot consent, pensais je .
Le diner fut vite prêt.Je suis allée fouillée dans le dressing avant d’aller chercher Dany qui travaillait encore, et on s’est mis à table.La conversation languissait, il y avait de l’ électricité dans l’air, nous devions tous penser à cette nuit de noce qui se profilait .Et, pendant que nous débarrassions la table, il s’est installé devant la télévision. Il zappait sans arrêt, passant d’une chaine à l’autre, mais aucun programme ne semblait lui convenir .Si bien que, rapidement, il s’est levé en déclarant : qui m’aime me suive !C’était sa formule préférée quand il nous laissait choisir celle qui gémirait sous son ventre .
Feignant d’être occupées à la cuisine, aucune de nous trois n’a bougé.
Qu’est ce que vous mijotez encore, demanda t ’il ?Nouuus ? Rien fis je en coeur avec Lucie .Et dès que la porte de la chambre fut fermée, nous avons entrainé Monique vers la salle de bains .
Assise nue sur le rebord de la baignoire, cuisses ouvertes, elle tendait son ventre à Lucie pour un rasage minutieux ( plus rapide qu’une épilation ) , tandis que je brossais ses cheveux.Puis, rinçage, séchage, quelques gouttes de parfum judicieusement posées, et j’ai lacé le corset tandis que Lucie lui présentait culotte et bas qu’elle attachât soigneusement.Monique se laissait faire, et paraissait dépassée par les évènements.
Nous lui parlions sans arrêt, lui donnant des conseils : soit lascive au début, laisse le te découvrir, dit lui ce que tu aimes, demande lui ce qu’il aime, montre lui aussi que tu as envie de lui .....Puis léger maquillage des yeux pour approfondir son regard, et... talons hauts.
Coup d’ oeil devant la glace : Elle était adorable .Ses seins semblaient prêt à jaillir de leur prison, ses hanches bien mises en valeur, et, bien cambrée sur ses talons, ses fesses réclamaient des caresses ...
On y va ?Monique restait muette et tremblait comme une feuille. Elle semblait prête à pleurer .Tu sais, fit doucement Lucie, tu n’est pas obligée !Ca serait vraiment dommage, je suis sûre qu’il t’attend avec impatience, ajoutais je .Lui aussi avait envie tout à l’heure quand tu l’a embrassé.Tu préfères que ce soit lui qui vienne te chercher ?Ma question est restée sans réponse .Je lui ai tendu la main.Elle l’a saisie, s’est redressée, bien cambrée, inspirant fortement.Vous avez raison : depuis que vous me parlez de venir agrandir son harem, je ne pense plus qu’à ça, j’en rêve presque chaque nuit, et puisque vous êtes d’accord ....j’en ai trop envie .Elle s’est avancée, mal assurée sur ses talons .
Lucie lui enlaçait la taille, posant des bisous dans son cou.Hummm, tu sens bon, c’est son parfum préféré, il va adorer .
Arrivées devant la porte, j’ai posé la main sur la poignée.Tu es prêtes ? murmurais je .Elle à souri.J’ai ouvert la porte.Une lampe de chevet éclairait faiblement la pièce.Elle est entrée avec assurance, j’ai refermé la porte derrière elle, comme j’avais fait à Lucie pour leur première nuit d’amour.
Elle venait de franchir une nouvelle étape dans sa découverte de la sexualité.
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