Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire zoo
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 67 J'aime
  • 0 Commentaire

Ca a commencé comme ça !

Chapitre 22

Zoophilie
Deux hommes étaient là : un jeune, trente ans à peine, en short et tee shirt, l’autre plus âgé, en short lui aussi mais torse nu laissant apparaître un ventre bedonnant couvert de poils gris.Elles cherchent Dany, vous savez ou il est demanda le vigile ?Ils ne répondirent pas, trop occupés à nous détailler sous toutes les coutures.Enfin, l’effet de surprise passé, le plus âgé articulât : Oui, Dany est passé ce matin, mais il est à ..... ( grande ville du sud ouest ) parce qu’un gars s’est fait mal.Désolé, ajouta t’il, mais il fait chaud et on ne s’attendait pas à avoir d’aussi charmantes visiteuses !
Le chien avait profité de cet instant pour s’approcher de Monique et renifler ses fesses avec insistance, repoussant le tissu qui à glissé sur ses cuisses, laissant apparaître le galbe de son petit derrière.Ehh, c’est vrai qu’il fait chaud, fit le jeune homme, madame en a oublié de mettre une culotte !Il s’est approché d’elle et relevé sa jupe jusqu’aux reins.Regardez moi ça, si s’est mignon, fit il en flattant de la main les fesses de Monique !Elle s’est penchée en avant, tirant sa jupe pour cacher son intimité.Un petit cul comme ça, j’y passerai bien le weekend, ajouta t’il en continuant sa caresse.
Vous êtes les petites putes de Dany, hein ? Et bien on va le remplacer puisqu’il n’est pas là.Qu’est ce que tu en penses, fit il à Monique ?Il s’était plaqué contre elle, frottant son short sur les fesses offertes...Regardes, y’a tout ce qu’il faut ici, tu sens comme elle est grosse ?Monique ne répondit pas et quand il l’a poussée en avant, elle s’est affalée sur la table en gémissant tandis qu’il continuait de la fouiller d’une main inquisitrice.Ecarte un peu les cuisses, salope !
Elle a obéi.Et en plus elle mouille, cette salope , s’exclama t’il .Tu veut te faire baiser, hein, c’est ça que tu veux, ajouta t’il en baissant son short, faisant apparaître son sexe déjà dressé.Tiens, regardes !Il promenait son sexe entre les cuisses de Monique, c’est ça que tu veux, hein !
Moi, c’est ton petit cul que je veux.
Monique s’est raidie quand il a forcé le passage qu’il convoitait.Tu aimes ça, hein salope, te faire défoncer le cul, regardes, j’y rentre comme dans du beurre.Monique, la joue posée sur la table avait fermé les yeux et gémissait doucement.Il la tenait par les hanches allant et venant entre ses reins.Hein que tu aimes ça , insista t’il.Ouii ii !
Oui quoi ? demanda t’il.Ouii, ...j’aime ça.... réussi t’elle à articuler.T’aimes quoi ? fit il de nouveau.J’aime .....quand ..... tu me prends.... comme .... ça, fit elle d’une voix hachée entre les coups de reins qu’il continuait de lui prodiguer.Et comment je te prends? demanda t’il en lui assénant une claque sur les fesses.Par .... le ..... cul, fit elle mi voix.
Dis le plus fort, fit il en lui claquant une nouvelle fois les fesses.J’aime...quand tu ..... me prends.... par... le cul, articula t’elle plus fort.Vous avez entendu, cette salope aime se faire enculer et elle le crie bien haut , fit il en nous regardant.J’étais subjuguée par les spectacle qu’ils nous offraient, par Monique, à peine arrivée et qui se livrait déjà.Derrière moi, le vigile me maintenait contre lui, ses mains couraient sur mon ventre, remontant vers mes seins qu’il empaumait doucement, pinçant mes tétons qui pointaient sous le fin tissu, tandis que son chien reniflait mes cuisses avec avidité.Presque malgré moi, ma main s’est posée sur mon ventre, glissant entre mes cuisses.
D’un tape sur le bras, l’homme me la faite retirer et sa main s’est posé sur ma chatte brûlante.Hummm ! J’ai posé ma tête contre son épaule, cambrée, le ventre offert à sa douce caresse.Son doigt agile caressait doucement mes lèvres sensibles, les fouillaient, titillait mon bouton d’amour, tandis que son autre main continuait sa caresse sur mon ventre, mes seins ....Contre mes reins, je sentais son pieu de chair, bien dur, palpitant ...C’était booonnnn !!!Tu ..vas ... me faire .... jouir, articulais je difficilement.
Attends, pas comme ça !Je me suis tournée vers lui, posant ma main sur sa nuque et mes lèvres sur les siennes, tandis qu’il défaisait maladroitement sa ceinture.Derrière moi, je sentais le souffle chaud de son chien et sa langue râpeuse qui s’insinuait entre mes fesses, me faisant trembler de désir.N’y tenant plus, j’ai baissé son caleçon, découvrant sa toison brune soigneusement taillée, faisant jaillir son sexe, épais, bien plus gros que celui de Dany.Je l’ai dirigé vers ma fente ruisselante avant de m’empaler dessus avec un gémissement de bonheur.Je l’ai senti m’envahir, m’écarteler ...
Ah ouiii, c’est booonnnn !!Toujours pendue à sa nuque, j’ai passé mes jambes dans son dos, les refermant sur ses reins.Il était tout en moi, sa toison brune griffai tendrement mon ventre lisse, ... mon clito, jailli de sa cachette .... Ohhhhh !!!!Et derrière moi la langue baveuse du chien continuait de s’activer, tentait de forcer mon petit trou ...Ohhh, c’était trop, j’allais jouir comme ça, d’un coup... Ouiiii, c’est boooonnnnn L’homme m’a maintenue contre lui, se déplaçant avec difficulté , m’amenant jusqu’à la table.
J’y ai posé les fesses, m’allongeant sur le dos.Il m’a prise par les hanches et s’est mis à me pistonner lentement, au rythme de son plaisir.Ah, mon dieu que c’est bon !J’ai joui une autre fois, mêlant mes gémissements à ceux de Monique que son amant continuait de pistonner avec ardeur.Il continuait de me fouiller avec la même douceur, s’enfonçant profondément avant de se retirer et de revenir lentement.Ohhh, c’était bon de sentir cette grosse queue aller et venir dans mon ventre ....
Les yeux clos, je goutais le plaisir qu’il m’offrait. J’aurais voulu qu’il continue, encore et encore .... c’était boooon .Puis sa respiration se fit plus courte, ses va et vient plus lents, et il s’est enfoncé tout en moi en haletant.Ses doigts se sont crispés sur mes hanches, et j’ai senti qu’il se vidait enfin en longs jets puissants.Ah ouii, j’aime ça, recevoir la semence d’un amant tout au fond de mon ventre, c’est booonn !!J’ai joui une nouvelle fois en tremblant de plaisir .Nous sommes resté un instant immobiles, reprenant notre respiration, puis j’ai senti son sexe perdre de la vigueur, s’échapper de ma grotte.
Il m’a tiré vers lui, me forçant à me redresser.C’était bon, tu sais, tu m’as fait jouir comme une folle, murmurais je à son oreille, avant de plaquer ma bouche contre la sienne pour un long baiser d’amour.Puis, en mâle satisfait, il m’a abandonné pour se rhabiller.Monique, que son amant avait enfin délaissé, s’est blottie dans mes bras en tremblant.Dis donc, tu as eu l’air d’aimer ce qu’il t’a fait !Oh oui, et puis il devait avoir une grosse envie, il n’arrêtait pas de gicler, ...... presque autant que le chien noir . Regardes, ça dégouline sur mes cuisses.
Mais toi aussi, tu sais . Y’a longtemps que je ne t’ai pas entendue ronronner comme ça. Et tes petits cris étaient si aigus qu’il me vrillaient les oreilles.C’est l’uniforme qui te fait cet effet là ?C’est surtout sa grosse queue bien dure, fis en pouffant.Lucie, quand à elle , agenouillée devant le troisième, qui la tenait par les cheveux, s’appliquait à gober le sexe qu’il lui présentait.Ses mains pétrissaient ses bourses tandis qu’il donnait des coups de reins en ahanant.Il lui baisait la bouche !
Il devait décharger tout au fond de sa gorge du sperme frais qu’elle avalait en déglutissant péniblement.De vraies salope fit le jeune en s’approchant : celle là suce comme une affamée, l’autre se fait enculer et la troisième gémi comme une chatte en chaleur Tiens, suce ma queue aussi, je sens que je vais aimer !Lucie a abandonné l’homme ventripotent pour gober le sexe qu’il lui présentait.Ahh ! c’est bon !! Dommage que j’ai tout mis dans le cul de ta copine, je t’aurais bien déchargé dans la gueule !Le chien profitait lui aussi de l’instant, léchant avec application les cuisses de Monique, trempées par son jus d’amour et le sperme de son amant.
Regardez là, cette salope. Tu ne veux pas qu’il te baise lui aussi ? fit le jeune.Ah non ! pas maintenant, fit Monique, j’ai eu ma dose. Une autre fois peut être, ajouta t’elle avec un sourire énigmatique.Lucie nous avait rejoint et les trois hommes nous regardaient, incrédules, essayant de deviner si Monique était sérieuse.Un lourd silence régnait.Bon, pensais je, il vaut mieux que nous partions avant que ça dégénère.Allez, c’est pas tout ça, il faut qu’on parte.
On espère que notre visite vous à fait autant plaisir qu’a nous.Pour ma part, je reviendrai  volontiers , fis je à l’adresse du vigile.Tu nous raccompagnes ?Il s’est dirigé vers la porte et nous l’avons suivi en tentant de remettre un peu d’ordre dans nos tenues.Une fois dans la rue, nous sommes parties sans nous retourner.Finalement, c’est pas si mal une visite de chantier.
Bref, mais intense, je recommencerai bien, dis je en riant.Moi aussi, fit Monique avec un air gourmand.Oui, mais à condition que vous trouviez un monsieur plus actif, fit Lucie.Je suis restée sur ma faim, si je puis dire.Je vais devoir me rattraper ce soir ce soir à la maison, vous voilà prévenues.Arrivées à la voiture, j’ai sorti deux petites culottes de la boite à gant.
J’en ai tendu une à Monique en disant : remet là, sinon tu vas tacher le siège !
Diffuse en direct !
Regarder son live