Depuis quelques mois, Dany avait changé les règles du jeu : Il consacrait son week-end exclusivement à l’une d’entre nous. Trois semaines à attendre d’être dans ses bras, et si nous étions indisposées le jour J, tant pis, la belle devait passer son tour. C’est ce qui m’était arrivé la semaine passée. Quatre semaines déjà à attendre, et encore deux !! C’était long !!!! Bien sûr, en son absence nous échangions caresses et baisers entre filles. Nous étions devenues expertes en amour saphique, connaissions chaque parcelle de peau des deux autres, nous nous donnions mutuellement du plaisir. Mais je restais frustrée à chaque fois, il me manquait quelque chose : sentir la semence chaude irradier dans mon ventre. Heureusement, il me restait Bobby, puisque ma sœur emmenait son petit protégé, pour ne pas rester seule dans son appartement, disait-elle. Il était toujours aussi fougueux et savait apaiser mes désirs par des saillies brutales. Mais depuis quelques temps, il disparaissait plusieurs jours ne rentrant que sale, affamé et épuisé. Les chiennes ne manquaient pas dans les fermes alentours et elles devaient dégager des odeurs que son flair détectait facilement.
Ce jour-là, j’étais nerveuse, irritable, prête à pleurer. Lucie travaillait, Monique absente pour quelques jours et Bobby occupé à féconder des femelles de son espèce. Et cette envie qui m’obsédait, me transformait en femelle en chaleur qui a besoin d’un mâle ! J’ai passé ma main sous ma jupe, mon doigt a glissé sur ma fente trempée, titillant mon bouton d’amour. Hummmm, c’était boonnn, mais ces caresses ne me suffisaient pas. J’ai décidé de faire un tour en voiture pour me changer les idées, oublier cet obsédant besoin. J’ai roulé, roulé sans trop savoir où j’allais. Ce n’est que devant un immeuble neuf que j’ai compris où j’étais : Le chantier de Dany ou un vigile m’avait si bien fait l’amour. Mais le grillage était enlevé, quelques voitures stationnaient déjà sur le parking et des rideaux garnissaient les fenêtres. Trop tard, le chantier était terminé et le vigile devait garder d’autres lieux. Déçue, j’ai marché au hasard des rues. Les hommes que je croisais me reluquaient avec envie. Il faut dire, que comme à mon habitude, j’étais cours vêtue : une petite jupe blanche à volants qui laissaient découvrir largement mes cuisses et un top qui ne cachait rien de mes formes. Mais je n’allais quand même pas me jeter dans leurs bras, les supplier de me baiser ! Un peu plus loin, un homme approchait, la cinquantaine, bien vêtu, sa petite sacoche sur l’épaule. Il semblait hésiter, chercher quelque chose. Arrivé à ma hauteur, il m’a dévisagée et m’a demandé : C’est combien ? C’est gratuit si tu me fais jouir, me suis-je entendue répondre. Il m’a prise par la main, m’entrainant dans la rue. Quelques mètres plus loin, l’enseigne d’un hôtel. Nous sommes entrés, je suis restée au milieu du hall tandis qu’il prenait une chambre, puis est revenu vers moi. Elle est réglée, dit-il en brandissant une clé. C’est au premier, fit il en me poussant devant lui. J’ai monté les marches comme un automate. J’ai senti sa main sur mes fesses. T’as pas de culotte ? Il poussait son avantage au gré des marches, arrivant entre mes cuisses sans que je réagisse. Tu mouilles en plus, t’es chaude toi ! Arrivé à l’étage, il a ouvert une porte, s’effaçant pour me laisser passer. Je suis entrée, regardant sans émotion cette chambre maintenue dans la pénombre par des persiennes, un décor banal, un lit aux draps blancs, une télé, une armoire ..... La confusion régnait dans mon esprit : honte, peur, et envie obsédante se mêlaient, s’entrechoquaient .... Je n’ai pas eu le temps de réfléchir plus longtemps : il s’est collé à mon dos, pétrissant mes seins à pleines mains, soufflant dans mon cou. Contre mes fesses, je sentais son sexe déjà dur, comme une promesse. Il allait me faire l’amour, ou plutôt il allait me baiser, mais j’allais enfin sentir un sexe chaud dans mon ventre ! J’en tremblais d’avance !!!
Il m’a enlacé de nouveau, posant ses lèvres sur mon cou, sur ma bouche ....J’ai posé ma main sur sa nuque pour un long baiser d’amour à lui couper le souffle. Il a déboutonné son pantalon qui a glissé sur ses cuisses découvrant un slip noir qu’il a baissé à son tour.C’est drôle, je me souviens de la couleur ! Son sexe était déjà dressé, soulignant deux grosses bourses pendantes. Je l’ai pris à pleine main. Une vraie bite de taureau pensais-je. Elle est dure, hein, tu vas voir, elle va te faire du bien ! Il m’a poussé sur le lit où je suis tombée à la renverse, les yeux clos, impatiente. Sa sacoche est tombée sur le sol avec un petit bruit mat. Puis, du genou il a forcé mes cuisses qui se sont ouvertes avec docilité. Sa main fouillait mon ventre, forçait doucement mes lèvres, titillait mon clito ......Je sentais le plaisir arriver, oubliant tout le reste. J’adore les petites chattes toutes lisses.
Sa bouche a remplacé sa main, sa langue caressait doucement ma fente, la fouillait, lapant mon jus d’amour, ses lèvres emprisonnaient mon bouton..... J’ai replié mes jambes pour mieux m’offrir à ses divines caresses. C’était boonnn !!! T’es trempée ma salope, t’as envie hein ? Tu vas voir, tu vas te régaler ! Il a fouillé dans sa sacoche, en retirant un petit emballage qu’il a déchiré. Je me suis tournée vers lui. Son sexe était là, tout près de mon visage, tremblant de désir. Je l’ai gobé d’un seul coup, l’enduisant de salive, pompant comme une affamée. Il m’a laissé faire quelques instants avant de me repousser, pour poser le préservatif. T’es une gourmande toi, tes copines sont pas si salopes, tu me plais bien, fit-il. Puis il m’a prise comme ça, d’un seul coup de reins. Ah oui, c’était booon !!!!
Les yeux fermés, j’oubliais tout : ce décor banal, ce type qui me baisait comme une pute, ma jupe retroussée sur mon ventre ...... Il me fouillait le ventre en lents va et vient qui me faisaient gémir. Tu aimes ça ma salope, hein, je te fais du bien !!!! Ah oui, c’est boonnn, ! Son épaisse toison griffait tendrement mon ventre, humm, j’aimais çaaa!!!! Il avait glissé ses mains sous mon top, empaumant mes seins, pinçant mes tétons durcis .... J’adore tes petites miches. Elles tiennent juste dans la main ..... J’haletai de bonheur, j’avais tellement envie d’être prise comme ça ......
Puis il s’est agité plus rapidement, s’enfonçant tout en moi.Ses bourses bien dures tapaient sur mes cuisses à chaque coup de reins, puis il s’est affalé sur moi, le souffle cours, m’écrasant de son poids. Nous sommes restés un long moment immobile, reprenant notre souffle. Dans mon ventre, je sentais son pieu de chair décroitre lentement. Oh noonnnn, il ne m’a pas fait jouir le salaud !!! J’étais frustrée, les sens inassouvis. Enfin, il a posé un baiser sur mes lèvres et s’est levé. Il a retiré le préservatif et l’a posé sur mon ventre en disant : Tiens, cadeau ! Heureusement que j’ai mis ça, sinon je t’aurais rempli le ventre ! Il s’est rhabillé. Je viens souvent dans le coin, j’espère qu’on se reverra, j’aime bien les petites salopes comme toi ! Puis il a déposé quelques billets sur le lit et a quitté la chambre.
Je me suis recroquevillée, repensant à ce que je venais de vivre, sans honte ni regret. J’avais aimé sentir ses mains sous ma jupe dans l’escalier, voir dans ses yeux le désir, empaumer et pétrir ses boules bien dures, tenir à pleine main son sexe épais, le gober, l’avaler, le sentir au fond de ma gorge ..... J’avais aimé le sentir dans mon ventre, le voir jouir, mais il me manquait quelque chose, comme le bouquet final d’un feu d’artifice : sentir sa semence chaude irradier dans mon ventre. J’ai déposé la clé au comptoir et suis sortie dans la rue. J’ai retrouvé ma voiture, et conduisant comme un automate, j’ai regagné la maison. Je n’avais qu’une idée en tête : que Bobby soit rentré, qu’il me prenne comme sa chienne et qu’il gicle tout au fond de mon ventre de longs jets de sperme chaud à m’en faire crier de bonheur.
