Avant tous nos récits sur les modèles de pose en studio photo et peinture, voici l’histoire de comment tout a commencé.Un jour que nous étions tranquillement au salon en train de regarder la télévision, Ko mon épouse, me dit il y a des annonces pour servir de figurant dans un film et pour poser comme modèle dans une école de dessin. Ko me dit encore, et ça paye bien, je vais me présenter. Je rigole et je la taquine, elle téléphone pour le film, mais il est trop tard, la date est passée. Par contre pour le modèle c’est encore bon.On lui donne rendez-vous pour la semaine suivante. On se présente à l’adresse indiquée, je l’accompagne, on ne sait jamais ! Là un homme nous ouvre, il se présente, Michel, il est propriétaire d’un studio qui a un contrat de formation d’élève pour du dessin artistique et de la photographie. Il nous fait faire un tour de ses installations, et à la fin de la visite, il nous regarde et nous demande de nous déshabiller tous les deux. J’entre dans le jeu en me déshabillant en même temps que Ko, Michel nous regarde sous toutes les coutures et nous c’est bon vous ferrez l’affaire. Rendez-vous est pris pour le lendemain pour notre première séance. Le lendemain on se présente, Michel nous amène dans un petit vestiaire, où Ko se prépare. Seule Ko posera, Michel lui donne des instructions simples, ce sera un déshabillage progressif. Ko s’habille dans une tenue simple, robe, culotte c’est tout. Elle se présente sur l’estrade, face aux élèves, tous assez jeunes, d’environ vingt-cinq à trente-cinq ans, c’est un mélange de femmes et d’hommes, ils sont au nombre de trente environ.Ko se place au centre de l’estrade et elle a les élèves face à elle et en demi-cercle. Elle se tient droite les mains sur les hanches et les élèves ont vingt minutes pour la « croquer », au bout de vingt minutes, Michel siffle la pose de cinq minutes. Ko se retire et enlève sa robe et se prépare à revenir. Michel siffle la reprise et Ko monte sur l’estrade en simple culotte. Les élèves redressent la tête et deviennent attentifs en se rinçant l’œil. Ko n’est pas très grande, un peu ronde, elle a un peu de cellulite sur les cuisses et les fesses, elle a des petits seins.Tous les élèves sont concentrés sur leur dessin lorsque la pose sonne, et que Ko enfile un peignoir et s’en va au vestiaire.Fin de pose et retour sur l’estrade, Ko arrive en peignoir, qu’elle laisse tomber à ses pieds une fois sur l’estrade, là elle est intégralement à nue, son sexe n’est pas rasé, mais elle n’est pas très poilue et se fente se devine au milieu des poils. Les élèves ont le souffle coupé, mais se concentrent à nouveau sur leur dessin. On recommence la pose, et retour de Ko sur l’estrade, toujours nue, Michel la fait s’accroupir face aux élèves. Les cuisses écartées, son sexe est clairement visible. Une jeune femme vient lui mettre du gel sur la vulve et en profite pour la caresser. Michel allume un spot derrière elle et on voit en ombre chinoise, ses petites lèvres sortir de sa vulve. Instruction est donnée de ne dessiner que le bassin et le sexe de ma femme. Les élèves sont concentrés sur cette vue, les hommes ont des bosses sous leur pantalon et les filles bougent nerveusement. Mais la pose sera un échec tellement les élèves tremblent devant la feuille de dessin. Trente minutes plus tard, la fin de la séance sonne, toute la salle est concentrée sur la chatte de Ko et ne semble rien entendre. Michel doit s’énerver pour les faire bouger. Ko quitte l’estrade.Michel me prend à part et me propose de faire des photos de nu pour un de ses amis, mais uniquement des poses entre hommes. Je lui fais un grand sourire et je lui dis : » oui ». Le photographe se nomme Jack. Il me présente mon alter ego, c’est un homme de soixante ans, bien conservé et bronzé. On va tous les deux se préparer au vestiaire et on revient avec un joli peignoir. On monte tous les deux sur l’estrade et on enlève notre peignoir, à poil on est pas mal, mon collègue (Jean) a une jolie queue, avec tout son prépuce qui recouvre presque entièrement son gland, qu’on distingue tellement il est fin.
On se fait face et on fait des poses en imitant les statues grecques de l’antiquité. Mais au bout de vingt minutes, je suis excité par sa queue, et je lui caresse lors d’une pose. Jean ne dit rien, mais je vois son sexe gonfler légèrement, quelques minutes plus tard, je recommence. Là on voit son pénis entrer en érection et son gland commence à sortir de sa cachette, son méat ouvert. Son gland sort de plus en plus et son méat palpite de temps à autre sous l’excitation. Le photographe nous mitraille comme un fou, Jean est son amant, semble-t-il, et il bande en nous voyant faire. J’ai envie de m’amuser et je prends carrément le pénis de Jean dans ma main et je le caresse doucement tout le décalottant. Jean se met à bander dur comme une matraque et à palpiter dans ma main. Je pousse Jean vers une table et je le fais s’allonger dessus, la bite dressée vers le ciel, et je le caresse doucement, Jean gémit de plaisir. Je me penche et je lui caresse le bout de sa queue avec mes lèvres et ma langue, il tente de pénétrer ma bouche à coup de reins, mais je l’en empêche. Ko vient me rejoindre et me caresse ma bite bandée et lorsqu’elle me sent dur, elle arrête et masturbe Jean, elle fait ça tellement bien que ce dernier explose et que son sperme explose sur son ventre et sa poitrine. Elle le caresse encore un peu, et elle garde son pénis dans sa main en le massant doucement, pour lui permettre de bien finir sa jouissance. Ko vient devant moi et pose ses fesses sur la table, elle écarte largement les cuisses pour me donne accès à sa chatte. Je me plante devant elle et je frotte ma queue contre sa fente dégoulinante de cyprine, Ko gémit de plaisir. Je me frotte de plus en plus, et je la pénètre d’un coup tout au fond de son vagin, je reste là quelques secondes et puis je continue mes pénétrations de plus en plus rapides. D’un coup je sens ma bite se tendre et j’éjacule comme un malade, Ko a un orgasme du diable qui la fait presque tomber sous sa violence. Je garde Ko dans mes bras le temps qu’elle récupère, je sens qu’elle tend le bras, en tournant la tête je vois le photographe à côté de nous, son pénis sorti de son pantalon, et en train de se frotter contre nous. Ko attrape sa verge et la caresse, elle me demande de me retirer et guide la bite du mec dans sa chatte. Le Jack la pénètre, la cyprine et mon sperme facilitant l’opération, Ko gémit de plaisir, j’attrape la queue de Jack et je le maintiens en position en le caressant jusqu’à l’intérieur de la chatte de Ko et en y enfonçant deux doigts. Jack se met à jouir longuement, je sens les jets de sperme parcourir sa queue, et je sens sa bite devenir toute molle et puis sortir de Ko. Jack se redresse et s’éloigne de ma femme. Michel regarde la scène avec envie, le devant de son pantalon est mouillé de precum d’avoir vu ce spectacle. Ko lui fait signe de venir, il se rapproche, elle s’agenouille devant lui, elle ouvre son pantalon, le baisse, elle tire son slip et son braquemart jaillit en se balançant du haut en bas, et son gland se gonflant et se dégonflant sous l’excitation, le trou au bout de son pénis s’ouvrant et se fermant en laissant un peu de liquide sortir. Ko rigole et le suce calmement, je me trouve dans le dos de Michel et je vois à contrejour, sa chatte grande ouverte avec ses petites lèvres gonflées de plaisir et tout le foutre qui en coule. Ce spectacle me refait bander et je laisse ma bite se raidir, je me rince l’œil, je regarde Ko sucer le mec qui n’en peut plus, il se met à éjaculer et Ko dirige les jets de sa queue vers ses cheveux. Michel finit de jouir et Ko se relève et me guide vers la table, où il reprend sa position assise pour que je l’enfile. Ko se met en place, les cuisses bien écartées et je l’enfile d’un coup jusqu’au fond du vagin, j’en touche le fond doucement. Puis je la tringle comme un dingue et j’éjacule en la faisant hurler de plaisir. Je me retire tout de suite et son anus étend abondement mouillé et accessible, je pointe mon gland dessus et je pousse doucement, mais profondément mon chibre au fond de son cul. Ko ne dit rien, elle me laisse lui foutre quelques coups de queue dans le cul, elle en gémit de plaisir, elle aime la sodomie. Voyant ça, Jean se réveille de sa torpeur et se rapproche de nous et me demande à enculer Ko aussi. Je regarde Ko, qui me donne son autorisation. Jean enfile doucement Ko et jouit rapidement dedans la remplissant du reste de son sperme. On se regarde tous en se demandant comment on a pu faire cette baise un peu hors normes. Arrive un des élèves, la trentaine, à poil et avec une bite dressée d’au moins dix-huit centimètres et de quatre centimètres de diamètre. Il vient se planter devant Ko et se branle doucement la bite, tirant sur son prépuce et dégageant son gland qui est aussi gros qu’une balle de ping-pong. Ko a un grand sourire et regarde l’engin d’un œil intéressé, elle se dresse contre le gars, et lui fait un grand sourire, elle lui dit alors, mon chéri, c’est moi qui décide où, quand et comment, tu fais un pas de travers et je t’arrache les couilles. Ko lui caresse la bite lentement et avec une grande douceur, le gars bande tellement fort que sa verge vient battre contre son ventre, et que son gland est complètement décalotté, son méat s’ouvre par intermittence en laissant du jus couler. Ko lui embrasse le bout de la verge et lui donne quelques coups de langue dessus et sur le frein, le gars en devient presque fou. Ko se relève et s’installe confortablement sur le bord de la table, elle prend ensuite la queue à pleine main et la guide vers l’entrée de sa chatte, et tire l’engin à l’intérieur. Le type pousse d’un coup de reins lent sa verge dans la chatte, et il reste au fond quelques instants savourant tout le plaisir que ça lui procure. Il se cabre doucement, Ko apprécie, et il commence ses mouvements de polissage de vagin, longs et lents et ensuite de plus en plus rapide, et brusquement il éjacule longuement et provoque l’orgasme de Ko. Il éjacule tellement que son sperme dégouline du vagin de Ko et coule à terre. Après quelques minutes, son pénis tombe littéralement hors de la chatte et pend mollement et tristement. L’homme s’écarte de Ko et s’en va, tout le monde regarde estomaqué, la chatte ouverte de ma femme qui dégouline de tout le foutre qu’elle a encaissé. Ko descend de la table et vient nous embrasser un à un, et elle nous dit ; « allons les hommes, à la douche. »
