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Comment l'ancien élève réussit à baiser son ex prof

Chapitre unique

Erotique
A peine diplômé d’éducation physique à l’université (STAPS), Benjamin s’était retrouvé propulsé en remplacement d’un titulaire malade dans ce qui avait été son propre lycée il y a cinq ans. Curieuse impression que celle de se situer dans un cadre où il avait été élève, cette fois de l’autre côté de la barrière. Sensation étonnante d’avoir pour collègues ceux et celles qui avaient été ses profs. Il y avait là, en particulier, madame Bernard, enseignante d’anglais, qui l’avait fait fantasmer pendant les deux dernières années où il avait été sous son magistère. Agée d’une quarantaine d’années, rousse au chignon permanent et aux yeux émeraude, ennemie du pantalon, invariablement vêtue d’une mini-jupe qui dévoilait sans complexe des jambes fortes et musclées et un chemisier ou un pull contenant difficilement deux seins agressifs, elle était pour lui la quintessence de la Femme. Combien de fois s’était-il branlé en pensant à elle, comme sans doute beaucoup d’autres de ses congénères. Le hasard (mais était-ce bien un hasard ?) l’avait placé au premier rang, non en face du bureau situé dans un coin de la salle où madame Bernard était assise, mais face au tableau, de côté par rapport à elle. Il pouvait ainsi mater sans l’obstacle du bureau le jeu de jambes qu’elle croisait et décroisait tout en parlant en faisant remonter très haut sa jupe sur l’inconfortable chaise. 
Tout l’intérêt de Benjamin portait sur le moment où le croisement de jambes passerait au stade intermédiaire. Elles seraient légèrement écartées pendant un temps infinitésimal, dévoilant ainsi la couleur de son slip... si slip il y avait. Moment rare, profondément émouvant, qui surgissait au moins une fois par cours et qu’il fallait ne pas louper. Surtout quand la fin de l’année approchant, les jambes étaient nues. Benjamin avait ainsi pu identifier un slip noir et un slip blanc, leur absence n’étant évidemment jamais arrivée, à son grand regret. En revanche, quelle n’avait pas été son émotion lorsqu’un jour, se penchant en avant pour fouiller dans son sac, son léger sweater s’était relevé, dévoilant le bas de son dos... et la cordelette d’un string échappé de la jupe ! Benjamin en avait produit des baquets de sperme dans sa main... Hélas, il n’avait pas retenu l’attention de sa prof en dépit de notes honorables jusqu’à ce jour de fin d’année où, après avoir virevolté sur sa chaise et dévoilé généreusement la blancheur laiteuse de ses cuisses, elle lui demanda de rester après le cours. Une fois les élèves partis, elle le prit bille en tête :— Benjamin, je vous vois très attentif à ce que je dis mais vous participez peu alors que vous en avez les moyens. Pourquoi ?Il avait balbutié des explications vaseuses portant sur son manque d’assurance, et avait noté un léger sourire sur sa bouche pulpeuse. Alors, elle avait lâché :— Regardez-moi un peu moins et parlez davantage, c’est dans votre intérêt.Benjamin avait piqué un fard terrible mais fort heureusement, elle ne lui avait pas demandé de changer de place. Et il s’était ensuite efforcé de lever le doigt pour les quelques cours qui restaient avant le bac, sans pour autant renoncer à capter le moment stratégique où il pourrai apercevoir son slip... ou son string.

Cinq années avaient passé et c’est avec une émotion peu feinte qu’il retrouva madame Bernard dans la salle des profs. Il vint la saluer, un peu timide et après s’être présenté, il vit passer dans les yeux émeraude une lueur d’intense surprise.— Comment ! C’est vous Benjamin, mon ancien élève ? Comme vous avez changé !De fait, les cinq années l’avaient fait passé de l’adolescence à l’âge adulte, mais surtout libéré un corps d’athlète magnifique. Autrefois emprunté dans ses 190 cm, il pesait maintenant 90 kg et en imposait par sa stature. Dès son arrivée au lycée, les filles de terminale étaient tombées en pâmoison devant ce brun aux yeux bleus à la démarche chaloupée, rêvant qu’il soit leur prof et plus si affinités. Mais elles n’étaient pas les seules. L’infirmière, la bibliothécaire, et quelques collègues profs étaient tout autant tombées sous le charme, certaines rêvant de le mettre dans leur lit. Benjamin avait fait mine de ne s’apercevoir de rien et n’avait d’yeux que pour madame Bernard. Cinq ans après, elle avait peu changé. Son visage était certes un peu plus marqué car elle approchait maintenant les cinquante ans mais son corps pulpeux restait encore désirable comme à ses plus beaux jours. Il s’amusa de constater qu’elle portait toujours le même style de vêtements : jupe courte, talons hauts, sweater ajusté.— Oui, je sais, répondit-il, j’ai cinq ans de plus comme tout le monde, et je suis devenu prof comme vous. Marrant non?— Marrant, je ne sais pas, ça ne me rajeunit pas. Mais enfin, c’est la vie, et je suis ravie que vous soyez parmi nous. Même si c’est pour remplacer quelque temps M. V.
Ils évoquèrent les cinq années qui venaient de s’écouler, les retraites, les décès, les départs, mais aussi ses études à lui, Benjamin. Une question lui brûlait les lèvres et il finit par la poser :— Etes-vous toujours... mariée ?— Et oui, toujours. Et vous, une petite amie ?— Non, pas vraiment. Je veux rester libre.— Vous avez raison, c’est beaucoup mieux quand on peut. Mais... on pourrait se tutoyer maintenant que nous sommes collègues. Appelez-moi Caroline.— Avec plaisir. J’espère que nous pourrons nous retrouver ailleurs qu’ici pour bavarder.— Bien sûr. Tu viendrais dîner un soir à la maison. Car ici, les soirées sont longues.*******Les jours passèrent. Benjamin était devenu la coqueluche du lycée par son côté débonnaire et son charme. Il devait tenir à distance quelques élèves énamourées sans pour autant les vexer. Du côté des collègues, Caroline Bernard se montrait chaleureuse et bienveillante mais ne marquait aucune intention intime. Elle ne parlait plus de l’inviter. En revanche, l’autre prof d’anglais, madame Prévôt, se montrait de plus en plus empressée à son égard. Du même âge que sa collègue Caroline Bernard, elle était brune avec des formes également généreuses et ses allusions révélaient clairement son intention de coucher avec le prof de gym. Divorcée, on la disait, dans la salle des profs, très portée sur le sexe au point d’ailleurs de choquer quelques collègues très prudes.
 Benjamin voyait le jour où il ne pourrait pas faire autrement que la culbuter quelque part, d’autant qu’il commençait à avoir les bonbons collés au papier, pour parler crûment. Ces nanas qui lui tournaient autour en lui tendant leurs nichons et leur cul commençaient à lui porter sur le système. Son dernier coup, une copine des Staps, remontait déjà à trois mois. Et puis, cette madame Prévôt avait un petit côté salope qui l’excitait au plus haut point. On la disait à couteaux tirés avec Caroline Bernard, sa collègue d’anglais. Et si sauter la Prévôt était le moyen d’exciter la jalousie de la Bernard ? Mais le risque était grand aussi qu’elle ne veuille plus "passer derrière l’autre". Restaient les deux autres, toutes deux quadras : Cathy la bibliothécaire, petit format frisé et bien roulé et Florence l’infirmière, grande bringue aux cheveux courts, la première mariée, l’autre pas. Toutes deux avaient marqué un très net intérêt pour Benjamin mais était-ce du lard ou du cochon ? Avec les femmes, on ne sait jamais trop. Et l’austère proviseure, madame Richard, ne pardonnerait pas la moindre incartade sexuelle dans son établissement. Bref, Benjamin n’était sûr que d’une chose : Caroline Bernard, elle, ne lui avait fait aucune avance plus ou moins perceptible, juste des sourires, et c’était bien ce qui le tracassait car il était hors de question de quitter le lycée sans avoir au moins essayé de la baiser et satisfaire ainsi ses fantasmes d’ado.**********Les événements allaient finalement décider pour lui, comme cela arrive souvent. Un élève s’étant foulé la cheville au saut en longueur, il l’accompagna à l’infirmerie où la gardienne des lieux fit un bandage au blessé. L’opération terminée, l’infirmière proposa au prof de gym un café, que ce dernier accepta après avoir renvoyé l’élève, d’autant qu’il n’avait pas cours en suivant. Benjamin comprit rapidement que son hôtesse avait des intentions. Florence avait le regard de braise et la voix rauque. Après avoir verrouillé la porte, elle avait négligemment déboutonné les boutons du haut de son chemisier, dévoilant un sillon mammaire des plus prometteurs. A peine eut-il terminé sa tasse qu’elle la lui ôta des mains et, sans ambages, lui prit la nuque pour lui rouler une pelle magistrale.— J’ai envie de toi, lui asséna-t-elle, tout un glissant sa main sur devant de son pantalon de survêtement. Puis, constatant l’effet positif de son entreprise, la glissa carrément à l’intérieur en écartant l’élastique. Elle poussa alors une exclamation :— Oh dis donc, tu nous avais caché ça !
Et de baisser le survêt accompagné du slip jusqu’au chevilles, libérant un chibre majestueux, épais, dressé, et décalotté.— Voilà une très belle queue à laquelle je vais faire honneur. Laisse-toi faire.Et d’entamer une longue pipe dévoilant une expertise indéniable. Benjamin se dit qu’il allait enfin tirer un coup avec une belle cochonne, fidèle à sa réputation, l’essentiel étant toutefois de ne pas se laisser interrompre par on ne sait quelle urgence médicale. Devinant ses pensées, l’infirmière déclara :— Ne perdons pas de temps. Baise moi, là, tout de suite.Elle se débarrassa prestement de son jean et de son slip, de son chemisier et de son soutif et s’assit sur son bureau, totalement à poil, cuisses ouvertes sur un pubis abondamment fourni, offerte. Nu à son tour, il s’avança sans hâte, la queue en avant, la positionna à l’entrée de la vulve et s’enfonça lentement jusqu’à sentir la pression de ses talons dans ses reins.— Allez, vas-y, défonce-moi, oh que tu es gros !
Benjamin, stimulé par cet enthousiasme, ne se fit pas prier. Il délivra de puissants coups de bite qui auraient fait bramer de plaisir l’infirmière si elle n’avait pas saisi un mouchoir pour mordre dedans afin d’étouffer ses cris. Puis il la retourna, la prit en levrette, elle toujours en appui sur le bureau, avant qu’elle ne l’entraine sur la chaise pour l’y faire asseoir et s’empaler sur lui, de dos puis de face, dans une rotation effrénée de croupe. Enchantée de voir qu’il durait, elle l’entraina par terre après avoir étalé une serviette et se laissa plier en deux, ne pouvant cette fois contenir un cri guttural tant la pénétration était profonde et envahissante. Tous deux haletaient, transpiraient, emballés par ce coït survolté qui les convainquait l’un et l’autre qu’ils avaient affaire à une bête de sexe. Finalement, il la fit jouir après l’avoir levée avec aisance et déposé sur sa queue en la collant au mur, position inconfortable mais facilitée par son pénis hors normes et terriblement jouissive qui les laissèrent vidés de leur substance. Et c’est flageolant qu’ils retrouvèrent leurs vêtements :— Eh ben, tu es drôlement doué ! lui lâcha-t-elle en l’embrassant. L’hommage lui alla droit à l’égo car à l’évidence, Florence l’infirmière avait de multiples références en la matière... Une copieuse flaque de sperme couvrait le sol, que l’infirmière épongea avec une serviette, non sans avoir goûté du doigt l’épaisse substance.*******Ce fut le début d’une liaison torride qui, malgré les précautions des acteurs, finit par devenir notoire. Difficile de se cacher dans un lycée, même si leurs rapports sexuels ne s’y limitaient pas. Benjamin comprit que les précautions avaient fait long feu lorsqu’il vit la bibliothécaire Cathy lui battre froid et la prof d’anglais Irène Prévôt lui balancer quelques vannes venimeuses dans la salle des profs, portant principalement sur "l’absence de cerveau" des sportifs. En revanche, ceci expliquant peut-être cela, l’attitude de Florence Bernard avait quelque peu évolué dans un sens favorable. Elle le considérait désormais avec un autre regard, où l’amusement se mêlait à l’intérêt et même à la considération. Il faut dire qu’elle avait d’excellents rapports avec l’infirmière, qui avait dû lui faire quelques confidences intimes. Il avait en particulier surpris le regard de son ancien prof posé sur son entrejambes, comme si elle essayait de découvrir ce qu’il y avait à l’intérieur du pantalon de survêtement... Ce fut elle qui l’aborda :— Alors, Benjamin, ça se passe bien, cet intérim ? Que diriez-vous de venir dîner chez moi un de ces soirs ?
Il s’empressa d’accepter, et quelques jours plus tard, il frappait à la porte d’une villa, un bouquet à la main. Caroline Bernard l’accueillit avec une robe verte soulignant sa rousseur, dégagée aux épaules et nettement au-dessus des genoux, comme à son habitude. Le mari, barbu et sympathique, était apparemment ravi de cette visite, ce qui rassura quelque peu le visiteur. Le moment le plus délicieux pour Benjamin fut celui où Corinne Bernard, après lui avoir servi l’apéritif, s’assit dans un fauteuil face à lui et croisa les jambes. Négligemment, tout en parlant, mais lentement, très lentement... La première fois, il crut avoir mal vu mais un peu plus tard, après avoir admiré la belle carnation de ses cuisses, le doute ne lui fut plus permis : elle ne portait pas de slip ! Il reçut cette brève image comme un cadeau du ciel, un clin d’oeil ô combien coquin à sa jeunesse voyeuse et, il osait l’espérer, à une invitation muette pour un avenir proche. Il se mit à triquer dur et se tortilla pour éviter que cela se vît trop. Mais l’étincelle dans le regard émeraude ne le trompa pas : elle avait tout vu et atteint son but. Seul le mari, assis sur le côté, semblait en dehors de ce petit jeu.A table, elle le servit en le frôlant de ses seins agressifs et il faillit lui faire du pied mais se retint, ne voulant pas brûler les étapes.Après le dîner et une nouvelle séance de jeu de cuisses sur le fauteuil ne laissant plus aucune place au doute, il quitta le domicile du couple la tête en feu. Il s’arrêta en chemin chez l’infirmière et lui servit un festival de coups de queue qui la laissa pantelante en pensant à la chatte délicatement poilue de son ex prof d’anglais.
*******Après l’amour, sur le lit défait, Benjamin avoua à Florence qu’il avait dîné chez Caroline Bernard et son mari et qu’elle l’avait excité, sans pour autant évoquer son absence de slip. L’infirmière ne s’en formalisa pas, en bonne libertine, mais lui fit quelques confessions :— Quand je lui ai appris qu’on couchait ensemble, elle m’a fait la gueule en me disant que "j’exagérais". Tu parles ! En fait, elle aurait voulu être à ma place mais moi, j’ai osé te mettre la main au falzar et pas elle. C’est d’ailleurs ce que je lui ai dit.— Et elle l’a pris comment ?— Assez mal. Elle est dans le déni du désir. Peut-être parce que tu as été son élève.— Mais elle a l’air fidèle à son mari.— Oui, elle l’est, mais il ne faut pas trop se fier aux apparences. Autrefois, dans leur jeunesse, ils ont eu leur période hippie, amour libre et tout et tout. Ils ont même tâté du libertinage dans des clubs à Paris et même au cap d’Agde. C’était un couple très libéré. Mais Hubert a eu des ennuis de santé sérieux et ça fait six mois qu’il a la bite molle. Elle est clairement en manque et c’est pourquoi tu l’attires parce qu’elle a senti en toi quelqu’un de très sexuel.— En somme, elle veut baiser mais ne pas tromper son mari.— C’est un peu ça et tu vois la difficulté. Mais j’ai envie de l’aider car c’est mon amie.— Ah bon ? Et comment ?— En faisant en sorte que vous baisiez ensemble, tiens ! Mais en présence du mari s’il est d’accord, ce que je crois, car il veut le bonheur de sa femme.— Alors là, tu m’épates. Et tu crois que ça va marcher, ton petit plan ?— Laisse-moi faire, je te tiens au courant.
*******Trois jours plus tard, Benjamin était à nouveau invité à dîner chez les Bernard. Dans l’intervalle, Caroline lui avait fait les yeux doux, ayant visiblement changé d’attitude à son égard. Benjamin ne pensait plus qu’à ses cuisses et à son sexe. Il avait une envie terrible de la voir nue. Et de la posséder. Ce désir sauvage devait se lire dans son regard car Caroline y répondait par un petit sourire qui en disait long. Ce soir là, donc, elle portait une robe à fine bretelles, toujours courte, mais sans soutien-gorge et ses seins défiaient la pesanteur sous le mince tissu. Elle ne portait toujours pas de slip comme le démontra à nouveau son jeu de jambes sur le fauteuil à l’heure de l’apéritif. Benjamin bandait comme un ours. Tandis qu’elle s’affairait dans la cuisine avant de passer à table, Hubert le prit à part :— Je sais que vous avez envie de coucher avec ma femme.— Mais non, je...— Mais si, et vous avez raison. Elle est belle et désirable. Malheureusement, je ne peux pas l’honorer en ce moment. Trop fatigué par mon traitement. J’aimerais que vous me remplaciez et que vous lui donniez du bonheur. Je vous demande juste de pouvoir être là.— Mais je... elle est d’accord ?— Bien sûr. C’est elle qui me l’a demandé. Je serai discret, rassurez-vous.— J’ai peur de... d’être gêné.— De ne pas pouvoir bander ? Alors, ça m’étonnerait, Caroline ferait bander un eunuque. Et d’ailleurs, vous en mourez d’envie. La voilà, on mange et on en reparle tout à l’heure.
*******Le dîner fut vite expédié. Benjamin et Caroline avaient une boule dans l’estomac et la présence d’Hubert n’aidait pas à rompre la glace. Finalement, ce fut lui qui lança l’affaire :— Qu’est-ce que vous attendez, tous les deux ? Laissez-moi débarrasser la table et allez sur le canapé vous faire des mamours, vous en mourrez d’envie.De fait, Hubert s’éclipsa, laissant le jeune homme et son ancienne prof s’asseoir sur le canapé pour se bécoter et se reconnaitre manuellement.— Tu as vraiment envie de moi, constata Caroline en touchant du doigt le haut de son pantalon, copieusement rempli.— Et toi aussi, riposta Benjamin, qui avait glissé un doigt fureteur entre ses cuisses enfin découvertes par la courte robe et apprécié l’humidité de son sexe. Enfin, il les caressait, ces cuisses si douces au toucher, ces cuisses qui l’avaient fait tant rêver, ces cuisses qui s’ouvraient à ses caresses, comme dans un rêve. Elle ne s’y trompa pas en lui disant :— Tu attendais ça depuis longtemps, hein, petit mateur. Tu crois que je ne te voyais pas en train de regarder mes cuisses en cours ?— Non, je ne le croyais pas. Je ne croyais pas que tu me montrais sciemment ta culotte, petite cochonne.— J’adore m’exhiber et ça m’excitait de savoir que toi et d’autres se masturbaient le soir en pensant à moi.— Tu as envie de baiser, là ?— Enormément. J’ai envie de voir ta grosse queue et de la sentir en moi.— Qui t’a dit que j’ai une grosse queue ?— Devine.— Je vais te défoncer, ça t’apprendra.— J’espère bien. Mais lèche moi d’abord. Et ne t’occupe pas d’Hubert, il aime mater.
Caroline fit passer sa robe par-dessus sa tête et se découvrit entièrement nue. Benjamin profita d’abord du spectacle de cette peau laiteuse parsemée de taches de rousseur, de ces seins larges rebiquant vers le haut comme un défi et de cette chatte fauve et poilue où il fondit le mufle en avant, s’attirant illico un roucoulement de satisfaction. Enfin ! se disait-il, je la vois de près, cette chatte tant désirée.Puis Benjamin se mit nu à son tour et offrit son pénis tendu à la bouche de Caroline qui s’en délecta avec quelques mots flatteurs pour son égo de mâle. Car rien ne plait plus à un homme que d’être complimenté sur sa bite par une femme.
Par la suite, ils profitèrent de toutes les possibilités offertes par le canapé, bien meilleur outil qu’un lit pour une belle partie de cul. Benjamin allongea Caroline, lui mit un pied sur le dossier et l’enfila recta, fouailleur et dominateur, oubliant totalement qu’à quelques mètres, Hubert les regardait en tripotant sa bite molle. Benjamin besognait et limait en se délectant de son regard pétillant, de la houle des seins plantureux à chaque coup de reins, de ses jappements de plaisir, de la pression de ses talons pour mieux l’enfoncer en elle. Il ne baisait pas sa collègue : il baisait sa prof, son ancienne prof. Quand il la prit en levrette, il lui pétrit les seins par en-dessous, fit claquer sa peau contre sa croupe et faillit remonter d’un cran pour l’enculer avant de différer l’opération. Trop tôt. Il voulait d’abord la voir le chevaucher, de face, de dos, lui couché ou lui assis, selon l’inspiration du moment. Il avait envie de voir son cul blanc aux globes bien séparés en mouvement, envie de lui lécher les nibards, lui montrer qu’il était dur longtemps et profiter pleinement et durablement de son corps laiteux. Ils baisèrent face à Hubert qui intervint pour demander à sa femme si elle prenait son pied. Question superflue tant Caroline vivait intensément ce coït. C’est alors que le mari déclara à Benjamin :— Encule la maintenant, elle n’attend que ça.Instantanément, Caroline Bernard, prof d’anglais au lycée, se mit en position, cambrée, en attente, indiquant simplement en s’écartant les fesses :— Lèche moi d’abord.
Benjamin pointa sa langue dans le délicat anneau, l’humecta abondamment et engagea son gland turgescent à petits coups jusqu’au moment où les sphincters se relâchèrent. Elle poussa alors un râle profond et balança sa belle croupe fendue de contentement. Benjamin comprit alors qu’il n’allait plus pouvoir se retenir et qu’il éjaculerait dans son rectum. C’était trop bon. Et il gicla un liquide abondant et épais qui agit comme un lavement dans le fondement de la rousse, laquelle poussa un cri strident qui témoignait de sa jouissance. Hubert grogna à l’unisson et Benjamin se demanda si lui aussi n’avait pas éjaculé. Caroline fila aux toilettes, visiblement prise d’un besoin urgent tandis que Benjamin s’affalait sur le canapé en se tenant la queue qui, déjà, dégonflait. Il avait du mal à réaliser qu’il avait baisé, sept ans après, celle qu’il matait derrière son bureau...
********
Ce fut une liaison courte mais d’un érotisme torride qui marqua profondément les deux protagonistes. Benjamin se rendait presque chaque soir au domicile de son ancienne prof d’anglais, parfois pour dîner, parfois non, mais la soirée se terminait invariablement sur le canapé. Le plaisir immédiat du jeune homme consistait à glisser une main sous la jupe de Caroline, de caresser longuement ses belles cuisses charnues, de les sentir s’ouvrir, de glisser un doigt sous le slip puis de le faire glisser (quand il y en avait un) et de titiller sa fente de plus en plus humide. Puis il la dévêtait lentement pendant qu’elle libérait son dard pour le sucer et ils variaient les plaisirs sur le canapé sous l’oeil attentif du mari, invariablement présent. Un coup un cunni, un coup un 69 qu’ils prolongeaient à plaisir avant l’instant sublime de la pénétration. Caroline appréciait particulièrement s’empaler sur son amant assis et le chevaucher face à son mari, lequel commentait leurs ébats en se tripotant la queue.— C’est bon, hein ? Il te baise bien, hein ? Tu la sens bien sa bite, hein ? Elle est dure, hein ?
Et Caroline approuvait en haletant et en regardant son mari droit dans les yeux. La manière dont elle se levait pour mieux se laisser tomber sur la bite dans un bruit à la fois mouillé et claquant en disait long sur son appétit de pénis. D’autant qu’une fois bien empalée, elle tortillait des hanches pour que le dard la frotte dans les recoins de son vagin surexcité. Benjamin ne voyait pas son visage mais il devinait son expression à en juger par le regard de son mari, fasciné par la virilité et la puissance du jeune homme, lequel avait l’impression que Caroline et son mari baisaient ensemble par son truchement ce qui n’était pas très glorieux pour l’acteur principal.
Aussi éprouva-t-il le besoin d’une autre liaison parallèle. Ludivine, une élève de terminale  au corps de déesse, le fit craquer lors d’un déplacement sportif où la jeune fille l’avait littéralement pris d’assaut. Nullement pucelle et vicieuse à souhait (elle appréciait particulièrement lui fourrer un doigt dans l’anus pendant qu’il la besognait), elle lui mit la tête à l’envers et il ne pensa plus qu’à la baiser tout en honorant Caroline. Cette double liaison décupla sa libido au détriment d’une certaine prudence. Comme Ludivine avait tendance à étaler sa bonne fortune auprès de ses copines, la rumeur enfla dans le lycée. La première victime fut Ludivine elle-même qui, ignorante qu’elle était concurrente de sa prof d’anglais, se retrouva avec des notes minables et l’objet de son courroux répété. La seconde fut évidemment Benjamin, convoqué chez la proviseure pour explications. Il eut beau nier, la puritaine administratrice ne le crut pas et lui annonça quelques jours plus tard que son remplacement ne serait pas reconduit après les vacances suivantes. Et c’est ainsi que Benjamin s’en fut vers de nouvelles aventures, laissant une quinqua et une ado inconsolables et à la rivalité obsolète. Ainsi va, parfois, la vie dans les lycées de France.
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