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Comment calmer un maitre en colère

Chapitre 1

Une bonne chienne sait se faire pardonner .

Hétéro
Une nuit avec mon maître
Il était sur le lit, dos à moi. Il venait de finir sa cigarette.
— Je suis désolée mon ange.
Il n’a juste rien dit.
— Est-ce que je peux faire quelque chose pour que tu sentes mieux ? — Fais ce que tu veux. Je m’en fous. Ah ben bravo. Mon maître était en colère. J’ai quand même tenté quelque chose. J’ai posé ma main sur son torse nu et il m’a laissée faire. J’ai enfoui ma tête dans son cou. Toujours rien, pas un mot. Il a grillé une autre cigarette avant de se tourner vers moi. Je le regardais avec un air admiratif. — Quoi ? m’a-t-il demandé.— Rien, je me rince l’œil, tu es beau.
Il a soupiré et il a légèrement souri. Son joli petit sourire était assez pour refaire ma soirée, seulement je n’aimais pas savoir qu’il était en colère. Je voulais me rattraper et prendre soin de lui.
Je continuai à le fixer. En plus d’avoir un beau corps, il avait une belle gueule. Il a terminé sa cigarette avant de venir m’embrasser furtivement et de se retourner une nouvelle fois.
— Allez, bonne nuit.— Bonne nuit petit cœur.
Je me suis ensuite blottie contre lui en le caressant encore une fois. J’ai embrassé sa joue avant de m’en prendre goulûment à son cou et à son épaule. Je laissai mes mains divaguer sur les courbes de ce magnifique jeune homme étendu à côté de moi. Il semblait dormir. J’ai déposé un dernier petit bisou sur ses lèvres avant de recroqueviller ma tête dans son cou dont je humais le parfum. J’avais entouré ses hanches avec mon bras et mes jambes s’entremêlaient dans les siennes.
Je ne pouvais pas m’empêcher de le caresser, mes caresses étaient frénétiques. Sa peau était toute douce et il était confortable. Mes doigts passaient un peu partout, ils passaient sur son bras, son torse, sur son dos pour ensuite aller se nicher dans sa main avant de recommencer un nouveau parcours plus ou moins similaire. J’embrassai sa main, laissant éclater tout ce que je ressentais pour lui.
Après tout, j’avais le droit, il m’a dit de faire ce que je voulais et c’était ce que j’étais en train de faire.
J’ai ensuite laissé ma tête se nicher entre ses omoplates tout en caressant ses cuisses musclées. Je fermai les yeux et je profitai du moment, je n’avais pas vraiment l’occasion de le câliner de cette manière. Dans la joie du moment, je l’ai mordu. Je voulais plus, je le voulais en moi et je voulais sentir son corps s’introduire dans mon antre.
Je l’ai ensuite entendu grogner de plaisir alors que je remontai ma main le long de sa cuisse pour agripper son beau petit cul bien raffermi par des années et des années de sport et j’ai commencé à le branler doucement. Son sexe avait déjà durci un peu à travers son caleçon. Il s’est mis sur le dos et m’a ordonné d’un ton sec de le sucer. J’ai grimpé sur lui à califourchon après avoir enlevé son caleçon et je me suis frotté contre lui.
— Ohh, tu as la dalle, non ? il m’a demandé.— Oui, j’ai envie de toi. »
J’ai continué pour le booster un peu.
— Suce-moi, salope.
Il s’est mordu la lèvre en me fixant. Le bougre savait pertinemment quel effet cela avait sur moi, j’aimais le voir se mordre la lèvre tout autant que j’aimais le regarder fumer, ça m’excitait au plus haut point.

J’ai posé mes lèvres sur son gland bouillant et j’ai commencé à le lécher et à la sucer doucement en prenant un peu plus de sa longueur à chaque descente. Il appuya sa main sur ma tête.
— C’est bien ma petite pute.
J’ai souri et j’ai continué mon affaire avant de cracher dans ma main et de malaxer ses bourses. J’ai ensuite engouffré ses boules au chaud dans ma bouche en caressant ses cuisses avant de les malaxer doucement et de les rouler entre mes doigts. Je glissai ma main dans la sienne qu’il serra avant de m’attaquer à nouveau à la bête. J’ai commencé à augmenter la cadence tout en le branlant. Je l’entendais gémir et ça m’encourageait. J’ai léché sa bite sur toute sa longueur avec juste le bout de ma langue avant d’empaler ma bouche dessus et de remplir ma gorge avec son précieux membre. Je faisais de rapides va-et-vient sur sa longueur une nouvelle fois, de plus en plus vite jusqu’à avoir envie de dégueuler.
Je l’entendais gémir de plus en plus alors qu’il bloquait ma tête avec ses paluches. Je peinais à respirer alors je me suis dégagée en toussant, laissant un long filet de bave s’écouler entre sa verge et moi. Il souriait à pleines dents en me caressant la joue. J’ai fermé les yeux, heureuse qu’il me caresse et heureuse de le voir sourire.
— Mon ange, mets-toi à quatre pattes.
Il s’exécuta. Je voulais satisfaire pleinement mon petit prince. J’ai mis une petite claque sur le joli petit cul joufflu de mon maître et j’ai commencé à m’occuper de son anus que je léchais avidement. Je l’entendais respirer fort. J’aimais ça et il semblait que lui aussi. J’ai introduit un doigt puis un second une fois que je le sentais bien ouvert. Je bougeais mes doigts en va-et-vient tout en continuant de donner des coups de langue. J’ai craché dans ma main libre et j’ai commencé à le branler tout en continuant mon affaire. Il poussait maintenant des râles graves et profonds alors j’ai continué avec des mouvements plus amples et plus rapides.
— C’est bon, tu peux t’arrêter.
Il a posé sa main sur ma gorge avant de faire basculer sur le lit. J’étais allongée avant même de comprendre ce qu’il se passait.
Je l’ai senti frotter son gland contre mon minou avant de s’introduire en moi d’un coup sec. C’était tellement agréable. Je caressai son corps d’Apollon pendant qu’il me bourrait, toujours ses mains sur ma gorge. Il observait mes réactions en léchant ses belles lèvres pulpeuses que je mourrais d’envie d’embrasser. Il s’est ensuite penché sur moi, m’étranglant avec ses épaules baraquées. Ses mouvements s’accéléraient alors qu’il s’agrippait à ma taille. Je le serrai fermement contre moi, j’essayais d’étouffer mes sons. J’avais envie de crier. Ça me faisait mal, mais c’était tellement bon. Je pouvais sentir ses couilles claquer contre mon cul. J’aimais sentir son corps tout chaud contre moi. Je multipliais mes caresses en enfouissant ma tête dans son cou. Dans l’excitation, je l’ai mordu, il n’aimait pas ça alors il m’a giflée.
— T’aimes ça, ma petite pute, hein ?
Je gémissais « Oui, va plus vite. »

Il s’exécuta. J’enroulai mes bras autour de ses épaules et je passais mes mains dans ses cheveux. Je faisais de plus en plus de bruit et lui aussi. J’encerclai ses hanches avec mes jambes pour le sentir plus profondément et le laisser avoir plus de liberté dans ses mouvements. Je le sentais respirer contre ma joue, j’ai donc naturellement tourné ma tête vers lui, il avait l’air tellement concentré. J’en ai profité pour l’embrasser à pleine bouche et il m’a rendu mon baiser. Ses mouvements ralentissaient et il s’est arrêté.
— Je vais m’occuper de ton cul.
Je l’ai laissé faire au lieu de rechigner comme je peux le faire d’habitude quand il s’agit de sodomie. Je lui ai tendu le lubrifiant.
— Vas-y.
Il était ravi. Il m’a prise en levrette et il est rentré d’abord doucement dans cette grotte étroite puis il s’est laissé aller, faisait disparaître sa bite au fond de ma rondelle. J’avais mal, mais la douleur était supportable. Je pouvais sentir mon corps se détendre petit à petit alors que l’entrée de ma grotte se faisait béante. Mon corps s’était fait à son membre, le laissant prendre le maximum de plaisir. Je l’entendais pousser ses râles habituels alors qu’une fois de plus, il accélérait la cadence. Il me culbutait allègrement, sans ménagement. Ses bourses claquaient contre mon autre grotte, ce qui fit monter le plaisir.
Ses doigts agiles s’occupaient de ma chatte qu’il fouillait, il caressait mon clitoris avec son pouce et il pénétrait mon intimité sans vergogne avec ses 2 doigts, ce qui m’excitait vivement et je n’avais pas peur de le lui faire comprendre, seulement, je préférai avoir la pine de mon maître ailleurs, fourrée bien au chaud dans cet autre trou qu’il titillait avec ses phalanges.
— T’aimes ça, hein coquine ? — Oui, mais je préfère quand ta bite est dans ma chatte.
Il s’est retiré et il est rentré très facilement dans cet autre trou. Il me fixait encore une fois de ces jolis yeux toujours en me chevauchant à la manière d’un cowboy. Je caressai son torse et je regardai son corps avec beaucoup d’intérêt, en fait, je l’admirais. Il s’est ensuite mordu la lèvre tout en gardant ses yeux rivés sur moi, ce qui me rendait intérieurement folle. Je me suis approché de son oreille et j’ai murmuré :
— Baise-moi comme une chienne.
Le bougre ne s’est pas fait attendre. Il a empoigné ma gorge de ses deux mains, assez fort pour que je commence à me sentir partir dans d’autres contrées et il m’a limée rapidement en donnant quelques fois de larges coups de reins pour que je puisse sentir sa longueur cogner le fond de mon entrejambe, ce qui me fit crier à plusieurs reprises. Je sentais sa longueur jusque dans mon ventre et j’aimais ça. Il a continué avec ce même rythme rapide à me baiser comme un animal en rut pendant quelques minutes alors que je m’accrochais à ses larges épaules.
Ses mouvements étaient de plus en plus lents encore une fois.
— Mets-toi à genoux.
Il allait venir. Il a approché son sexe de mon visage et je l’ai happé dans ma bouche avant de le sucer comme une vorace. J’étais avide de lui et de son savoir-faire. Je l’ai donc sucé jusqu’à ce qu’il m’interrompe.
— Fais ta tête de chienne.
J’ai donc tiré la langue tout en le fixant droit dans les yeux. Sa réaction ne s’est encore une fois pas fait attendre. Il a commencé à éjaculer sur ma langue avant que je gobe son sexe pour profiter au maximum de sa semence. Il s’est vidé par saccades amères dans ma gorge. J’aimais avoir ce goût dans le fond de ma gorge. Cela renforçait mon appartenance à mon maître.

Après ça, nous sommes partis dans la salle de bain faire un brin de toilette sommaire. Il est parti rapidement sous la douche pendant que je me brossai les dents, il est ensuite allé s’allonger, épuisé par nos activités nocturnes. J’ai donc pris sa place sous la douche. Je ne suis pas restée très longtemps, mais le temps que je revienne, mon ange était déjà assoupi dans son lit, dans son plus simple appareil, probablement trop fatigué pour se couvrir. Il s’est rapidement réveillé en m’entendant fermer la porte de salle de bain et il m’a invitée à le rejoindre.
— Toujours en colère mon nounours ?
Il a souri et m’a répondu :
— Non, tu sais te faire pardonner.
Je me suis donc faufilé dans son lit et je l’ai embrassé avant de me blottir bien confortablement contre lui en écoutant les battements de son cœur et ses ronflements paisibles qui me berçaient. Je serrai sa main contre ma poitrine, sa main que j’ai embrassée de nombreuses fois.
Il a fini par s’endormir rapidement et je l’ai senti me serrer contre lui dans la nuit, ce qui me fit presque pleurer de joie.
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