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Comment j’ai couché avec ma secrétaire

Chapitre 1

Hétéro
Angélique fut la première personne que j’ai vue lors de mon entretien d’embauche, il y a maintenant 7 ans. À l’époque, je venais d’avoir 26 ans et je cherchais, après de longues études, à entrer de plain-pied dans la vie active.
En sortant de l’ascenseur, ce jour-là, c’est elle qui apparut et à ce moment-là, tout mon être fut retourné. Du haut de ses 24 ans, elle était sublime : vraie blonde aux yeux bleus, de 1 m 71, un visage d’ange qui laisse transparaître une dose d’espièglerie, une poitrine bien faite et bien ronde (un beau 90 B) et un cul généreux, incroyablement bien moulé dans le jean qu’elle portait ce jour-là. En la suivant dans le bureau de mon futur patron, je ne pouvais décrocher mon regard de ce postérieur parfait qui rebondissait à chaque foulée qu’elle faisait sur ses petits talons.
L’entretien s’est bien passé, malgré mon éblouissement initial et avant même de terminer, je savais que je voulais ce job et que l’une des raisons était de pouvoir côtoyer cette Angélique, tous les jours. Pas vraiment dans l’espoir de pouvoir lui faire l’amour, mais plus pour avoir le plaisir de la mater tous les jours.
Et ce que je vis, avant de partir, fit encore plus pencher la balance. J’avais déjà remarqué son piercing à la langue quand elle m’avait accueilli et quand, avant de me raccompagner vers la sortie, je la vis se pencher pour récupérer un dossier dans une armoire, pour découvrir un magnifique tatouage tribal, en forme de flèche, vers le bas, dans le creux de ses reins. Mon sang ne fit qu’un tour : en plus d’aimer sucer, cette salope devait aimer se faire prendre par derrière.
À peine un mois plus tard, je débutais à mon nouveau poste, devenant le supérieur direct d’Angélique. J’étais aux anges : le poste était intéressant, j’avais un grand bureau, contenant une salle de réunion que je partageais avec mon boss qui était à peine là, un jour par semaine et surtout, je pouvais voir Angélique, tous les jours. Je ne manquais jamais une occasion de la faire venir dans mon bureau pour lui faire ranger des dossiers dans les armoires et ainsi pouvoir mater son cul, toujours bien serré dans des pantalons ou des jupes étroites. Je n’hésitais pas, non plus, à me rendre dans son bureau où je profitais d’être debout pour mater ses décolletés qui étaient parfois d’une profondeur conséquente. Et quelle bonheur de la voir débarrasser la table de réunion des dossiers et autres tasses de cafés, me permettant ainsi de voir sa poitrine suspendue à son buste penché, laissant apparaître jusqu’au lien entre les deux bonnets, ainsi que le fameux tatouage au dessus de sa jupe, qui laissait souvent transparaître les traces de son string.
Pendant plusieurs années, il ne s’est rien passé de plus entre nous. Si elle m’excitait furieusement, je n’osais pas franchir le pas. J’étais alors heureux dans mon couple (je le suis toujours) et je ne voulais pas tout gâcher pour cet objet de fantasme. Avec Angélique, nous entretenions des relations amicales au boulot, on se tutoyait, mais on ne se voyait pas en dehors. C’est ainsi que je l’ai vu se marier, puis être enceinte de ses deux filles. Ces deux grossesses furent des moments particuliers pour moi, car à chaque fois, j’ai pu contempler ses formes devenir plus généreuses, ses seins grossir pour atteindre un 95 C, son cul se développer pour être encore plus appétissant. Et quelle joie pour moi, quand je me suis rendu compte, après son retour de sa deuxième maternité, qu’elle avait conservé ces seins fabuleux et ce fessier fantastique.
Cette période de tentation a duré près de six ans, pendant lesquels je me suis souvent branlé en pensant à elle, allant jusqu’à éjaculer sur des photos d’elle, faites lors de fêtes du personnel et ce, alors même, que je la savais dans le bureau d’à coté. À chaque fois, je me sentais toujours un peu pathétique de vivre cette frustration. Et puis un jour tout à changé. Je ne remercierai jamais Angélique d’avoir fait le premier pas et d’avoir bouleversé ma vie en ne la faisant plus graviter qu’autour d’une chose : le sexe !
Le jour où tout à changé est celui où Angélique m’a invité à venir manger un midi chez elle, avec 3 de ses autres collègues de l’étage. Elles faisaient régulièrement ces petites bouffes, souvent le vendredi, quand l’activité est moindre et revenaient toujours un peu ivres et plus volubiles que d’habitude.Le repas fut très sympathique et effectivement, assez arrosé. Et c’est au moment où je me suis proposé pour allez chercher le café dans la cuisine que tout a basculé. Je préparais le plateau avec les tasses quand Angélique est arrivée derrière moi, alors que j’étais contre le plan de travail.
— « Ne bouge pas, j’attrape le sucre, il est dans le placard au dessus de toi ! »
Sur le coup, je n’ai pas trop compris pourquoi elle ne m’avait pas dit de le prendre, sachant qu’avec mon mètre 89, c’était quand même plus facile. En sentant son bassin se presser contre mes fesses, ses seins se coller à mon dos, sa respiration dans mon cou, je sentis un frisson me parcourir le corps. En une fraction de seconde, le sang afflua dans mon sexe qui se mit à me faire mal instantanément, serré qu’il était dans mon jean. Le plateau du café se mit à trembler.Angélique, la boite de sucre dans la main, avait remarqué mon trouble. Quand je me suis retourné pour lui faire face, elle me regarda droit dans les yeux, mais ne dit pas un mot. Et, se penchant sur le plan de travail pour attraper la cafetière, elle me susurra tout doucement à l’oreille, tout laissant courir de façon prononcée sa main sur la bosse qui ornait désormais mon pantalon : « Tout à l’heure… !».
Je restai là, appuyé contre le plan de travail, incapable de faire un geste ou de prononcer un mot pendant près de 3 minutes. Sous le choc ! Analyser la situation était impossible, une seule chose était certaine : je venais de me faire allumer par celle qui représentait mon fantasme absolu depuis 6 ans. Et il allait enfin se passer quelque chose. « Tout à l’heure… !».
En revenant dans la salle à manger, je n’en menais pas large, mais j’essayais de garder une contenance. Personne ne semblait remarquer mon trouble (j’avais réussi à camoufler mon érection en sortant ma chemise de mon pantalon). Et Angélique semblait faire exprès d’éviter mon regard. Sur le chemin du retour, dans la voiture que nous partagions, j’étais assis à la place du mort, avec Angélique, derrière mon siège. Ça rigolait bien dans la voiture et les filles chantaient à tue-tête l’air qui passait à la radio en se trémoussant. Et c’est alors que je sentis, distinctement, des doigts effleurer mon coté droit. À la faveur de cette ambiance déchaînée, Angélique s’était rapproché de mon siège et avait posé sa main sur mon corps, glissant sous ma chemise pour toucher ma peau. Ma bite se dressa encore plus fort dans mon pantalon et je dus me tortiller pour que ça ne se voie pas trop.En croisant les bras, je pus, des doigts de ma main gauche, rejoindre ceux d’Angélique. Ce bref contact m’électrisa. Et lorsque je sentis la douce étoffe de satin et de dentelle que sa main contenait et qu’elle me transmettait à l’insu de ses collègues, je faillis m’évanouir : cette salope avait retiré son string un peu plus tôt et elle profitait du voyage du retour pour me le donner, au risque de se faire surprendre.
En arrivant au boulot, je fonçai dans les toilettes, prétextant un besoin urgent dû à l’excès d’alcool. Une fois seul, je sortis, de la poche de mon jean, la pièce de lingerie que j’avais réussi tant bien que mal à camoufler, quelques instants plus tôt. C’était un string en satin noir paré de fine dentelle. Je ne parvenais pas à réaliser que j’avais entre les mains cette pièce de lingerie dont j’avais plusieurs fois pu apercevoir l’échancrure sous ses vêtements. L’humidité dont il était imprégné ne trompait pas : c’était bien le string qu’elle avait porté aujourd’hui. En le portant à mon visage, la douce odeur de cyprine qui s’en dégagea me confirma l’autre point essentiel : elle avait mouillé aujourd’hui, juste avant de retirer ce string. Notre rencontre dans sa cuisine, l’avait surement aussi excitée que moi.
De retour dans mon bureau, j’étais complètement décontenancé, incapable de penser. Je n’osais pas en sortir de l’après midi et certainement pas pour aller dans le bureau d’Angélique. Je la savais dans son bureau, juste séparée de moi par une cloison, mais l’étage était encore beaucoup fréquenté. Ce n’est que vers 17 h que j’entendis, une à une, les portes des différents bureaux se fermer, indiquant le départ des autres occupants de l’étage. Puis le téléphone se mit à sonner : c’était le poste d’Angélique. Je décrochai fébrilement, sans prononcer un mot.
— « Nous sommes seuls, j’arrive ! »
À suivre prochainement, si vous le voulez…
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