A peine le temps de raccrocher, que je la vois entrer dans mon bureau, fermant la porte derrière elle. Je me souviens encore parfaitement comment elle était habillée: un chemisier blanc légèrement transparent laissant deviner son soutien gorge noir sur un pantalon noir assez moulant, et des petits escarpins, noirs également.Elle franchit les quelques mètres qui sépare la porte de mon bureau lentement, sans dire un mot, en me fixant intensément, tout en déboutonnant trois boutons de son chemisier. Elle s’arrête alors face à moi, de l’autre côté de mon bureau, et laisse tomber son chemisier sur le sol. Je vois alors que son soutien gorge complète ce string que j’ai remis dans ma poche. Ses seins ont l’air magnifique, et il me tarde de les découvrir enfin. Elle se penche alors vers moi, en s’appuyant sur mon bureau. Je découvre son décolleté magnifique comme jamais, ses seins paraissent lourds et fermes.« - Tu aimes ce que tu vois? »J’acquiesce sans arriver à prononcer un son.« - Ce n’est que le début. Ça fait tellement longtemps que j’en ai envie. Laisse toi faire. »Elle fait alors le tour du bureau et se penche vers moi pour m’embrasser. Ses lèvres se posent sur les miennes et rapidement, sa langue trouve son chemin à travers ma bouche pour venir tournoyer autour de la mienne. Ce baiser est à la fois tendre et fougueux, et je ne peux m’empêcher de frissonner. Au bout d’une minute, sa main prend la mienne, et la pose délicatement sur un de ses seins. L’objet de toutes mes convoitises est enfin à ma portée. Je le caresse doucement à travers le soutien-gorge: il est si doux, le toucher de sa peau m’électrise. Je commence ensuite à le soupeser et à le palper plus fermement, il est ferme et souple, tout comme je l’avais imaginé.Constatant que ma main gauche est inoccupée, Angélique continue de prendre les choses en main: elle la saisit pour la poser fermement sur sa fesse droite, en la faisant presque claquer.« - Je vais quand même pas tout faire toute seule! Occupe toi de moi! »Je me mets donc à malaxer ces fesses sublimes, et toujours en m’embrassant, Angélique déboutonne son pantalon pour le faire glisser jusqu’au sol. Son cul est maintenant complètement nu, car elle n’a rien remis après avoir retiré le string qu’elle m’a donné. J’en profite pour le saisir à deux mains et le pétrir vigoureusement, laissant mes doigts glisser le long de sa raie. Angélique se retourne alors, s’asseyant sur mes genoux, faisant des va et vient le long de mes cuisses. Je peux enfin voir ce cul splendide, surmonté par ce magnifique tatouage que je n’avais encore vu qu’en partie. Il est incroyablement beau, à la fois charnu et rond. Je ne parviens à détacher mon regard de cet incroyable objet de désir. C’est alors que ma secrétaire entreprend de retirer son soutien gorge. Avant même de les voir, j’attrape fermement ses seins enfin libérés de leur carcan de satin. Au toucher, je devine leurs formes, entre la pomme et la poire, et je sens ses tétons furieusement dressés. Mes mains, assez grandes, semblent avoir la dimension parfaite pour les saisir et les pétrir.Après quelques instants, Angélique se lève et se retourne enfin. Je la vois enfin entièrement nue devant moi, uniquement chaussé de ses escarpins. Malgré ses deux grossesses, son corps est fabuleux. Le grain de sa peau est magnifique, ses seins, qu’elle porte haut, assez lourds ont une forme quasi parfaite. Ses aréoles sont assez claires, et les tétons, s’ils ont une taille standard, sont durcis par le désir et remontent légèrement. Son ventre n’est que très légèrement rebondi. Le galbe de ses jambes, rehaussé par les talons, lui donne une silhouette élancée. Enfin, j’aperçois son sexe joliment épilé, seuls quelques poils courts sur le pubis venant surmonter sa chatte. Celle-ci est splendide, les grandes lèvres sont charnues et les petites ne se laissent pas encore deviner. A deux mètres de distance, j’aperçois déjà que son clitoris est gorgé de sang. A la brillance de sa fente, je peux voir qu’elle doit déjà pas mal mouiller.Je n’ai toujours pas prononcé un mot. Elle semble comprendre mon mutisme, et décide de combler le silence.« - Depuis le premier jour, j’en ai envie, mais je n’ai jamais osé. Aujourd’hui, j’ai décidé que ça suffisait. Je sais que je te plais, j’ai vu comment tu me regardes, la façon que tu as de regarder mes seins en essayant de ne pas te faire remarquer. Quand j’ai senti ton corps contre le mien, tout à l’heure chez moi, j’ai su que ça ne pouvait qu’arriver. Je me suis souvent touché en pensant à toi, j’ai souvent rêvé de ton corps, j’ai souvent imaginé ta queue. Je veux la voir maintenant. »Et sans même me laisser le temps de répondre, Angélique se met à genoux et de ses mains expertes, elle fait sauter les boutons de mon pantalon. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, je me retrouve avec le pantalon sur les chevilles, assis en caleçon sur ma chaise de bureau avec ma secrétaire entièrement nue entre mes cuisses, son visage à hauteur de mon sexe. Elle tâte la bosse de mon entrejambe qui est devenue énorme. Je peux dire que j’ai été gâté par la nature, avec un sexe à la fois long et épais, mais je crois que je n’avais jamais eu de ma vie une bite aussi gigantesque et dure qu’à ce moment là. La vision de mon sexe à travers le tissu laisse d’abord Angélique sans voix. A ses yeux écarquillés et sa bouche béante, je comprends qu’elle est impressionnée. Elle laisse courir ensuite ses doigts sur ma verge à travers le caleçon, avant de finalement empoigner celui-ci à pleine main et à le faire glisser vers le bas.Enfin libéré de son carcan, ma bite surgit tel un ressort de façon si subite qu’Angélique ne peux éviter le contact avec sa joue. Elle éclate alors d’un rire un peu gêné.« - Si j’avais su ça, je me serais décidé plus tôt.— Et moi donc. J’ai fantasmé cet instant des centaines de fois. Je crois rêver.— Ce n’est pas un rêve ce que je tiens »Elle attrape alors mon sexe dans sa main. La chaleur de sa paume sur ma queue me fait frémir. Sans me quitter des yeux, elle rapproche son visage et le caresse avec mon sexe. Sa peau est délicate comme un voile de satin. La vision de ma bite énorme passant et repassant sur son visage d’ange est magique. Les deux placés ainsi côte à côte« Elle est douce, dit-elle, j’espère qu’elle a aussi bon goût.. »Et sans me laisser le temps de répondre, elle ferme les yeux et donne un grand coup de langue depuis la base jusqu’au sommet du gland. Puis les rouvrant, elle me regarde de ses yeux bleus fantastique et me dit: « elle est bonne, je crois que je ne vais pas m’en lasser. Tout en continuant à me regarder, elle enfourne alors mon gland dans sa bouche. L’appétit avec lequel elle se met à l’ouvrage renforce encore mon excitation. Elle entreprend des va et vient, sa bouche enserrant mon gland, en s’attachant à bien saliver. L’intérieur de sa bouche, chaud et humide, est un réceptacle de choix pour ma queue. De temps en temps, elle arrête ses mouvements pour mieux faire passer sa langue sur toute la longueur de ma queue, pour finir par s’attarder sur mon gland en tournoyant. Puis elle le reprend en bouche, allant jusqu’à le mordiller, me procurant ainsi une extase intense.Ce petit exercice dure plusieurs minutes, et ces jeux délicats ne font qu’augmenter mon désir de prendre les choses en main.Je profite d’un instant ou Angélique est en train de me pomper délicatement le gland pour saisir sa nuque et forcer ma queue au fond de sa gorge. Je sens d’abord une résistance: si ma queue n’avait pas encore été plus loin dans sa bouche, c’est que sa taille rendait la chose difficile. Mais j’étais convaincu, après tout ce qui s’était passé aujourd’hui, du potentiel de salope qui sommeillait chez Angélique. Elle avait voulu ma queue, elle allait l’avoir tout entière.Tout en maintenant la tête de ma secrétaire, je me mets à faire bouger ma queue d’avant en arrière dans sa bouche. Elle essaie de se débattre doucement, mais je lui dis doucement à l’oreille:« - Laisse toi faire, fais moi confiance, tu vas adorer ça, j’en suis sur ».Elle relâche alors la tension qui animait son corps, et laisse ma queue pénétrer toujours plus profondément dans sa bouche. Ses yeux s’embuent alors et sa respiration se coupe par moment. Deux larmes coulent alors doucement sur son visage.« - Tu veux que j’arrête?, dis-je en retirant ma bite presque entièrement d’entre ses lèvres.« - ..Hon!» parvient-elle à peine à prononcer, mon gland appuyé contre sa langue.Je recommence alors mon va et vient, toujours plus profond, enfournant presque jusqu’à la garde mon sexe dans cette bouche exquise. Ma grosse queue lui déforme le visage, la salive ruisselle d’entre ses lèvres inondant mes couilles, et son Rimmel coule sur ses joues comme deux petits ruisseaux. Je n’ai plus besoin de lui tenir la tête, Angélique effectue elle-même les va et vient, cherchant à prendre en elle toujours un peu plus de ma queue.Je profite d’avoir les mains libres pour passer l’une d’elles entre ses cuisses. Sa chatte est littéralement détrempée. Je n’ai aucun mal à trouver son clitoris qui est encore plus gonflé que tout à l’heure. Ma secrétaire est tellement bouillante que j’ai à peine à l’effleurer pour la faire jouir. Elle redouble alors d’ardeur, faisant monter mon sperme à la limite.« - Je veux jouir sur ton corps, est-ce que je peux? »« - Oui, je t’en supplie, je veux sentir ton sperme partout sur moi. »Je me lève alors d’un bond et pendant qu’Angélique reste accroupie devant moi, totalement nue, les cuisses recouvertes de cyprine et le visage et les seins brillants de salive, je saisis ma queue et éjacule alors abondamment sur son corps offert. Les deux premières giclées atterrissent sur ses seins, puis je redirige le jet de semence vers son visage. Je crois que ce jour là, ce sont au moins dix jets de foutre fournis que j’ai balancé sur Angélique. Son visage est recouvert de semence blanchâtre et épaisse jusque dans ses cheveux, et elle ruisselle de ses seins jusque sur sa chatte.Je me rassieds alors, épuisé par le relâchement soudain de cette tension sexuelle accumulée depuis des années. Angélique, assise par terre, vient se blottir contre ma cuisse, et caresse mon sexe encore dur.« - C’était plus incroyable que tout ce que j’aurai pu imaginer, dit-elle. Dire que nous avons perdu tant de temps.« - Pense plutôt à ce qui nous attend pour le futur. J’ai le sentiment que nous ne sommes pas au bout de nos surprises. »J’étais loin pourtant d’imaginer à quel point. La suite au prochain épisode.