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Comment j’ai couché avec ma secrétaire

Chapitre 4

Hétéro
Les trois jours qui suivirent ne furent pas de trop pour me permette de reprendre mes esprits. La conférence qui m’occupa les deux jours suivants eu au moins le mérite de laisser mon esprit se focaliser sur ce qui venait de se passer depuis les 5 derniers jours. Ne me demandez pas de quoi sur quoi les débats ont portés lors de ce colloque, je ne me souviens de rien. Seuls les souvenirs du corps nu d’Angélique, de ses seins recouverts de mon sperme, du goût de sa mouille, de sa chatte distendue par l’action de mes doigts, de son visage déformé par mon sexe englouti presque tout entier dans sa bouche, seul ces souvenirs là revenaient inlassablement dans mon esprit. Le jour férié qui suivant me parut interminable, et savoir qu’il serait encore suivi par 3 jours sans la voir me minait les sangs. Mais j’étais cependant content de retrouver le bureau ce vendredi. Il me serait au moins possible de revenir sur les lieux de ce rêve éveillé que j’avais vécu. J’arrivais tôt ce jour là. Il n’y avait pas d’urgence particulière à être au bureau de bonne heure, mais a posteriori, je me dis que j’avais peut être eu une intuition... Le parking était quasiment vide. Pendant les ponts, il y avait souvent peu de monde. Je savais même qu’à l’étage, je serais seul ce jour là. Mais ca ne me dérangeait pas de profiter du calme du bureau.J’attaque donc cette journée comme toutes les autres, par la lecture de la presse quotidienne en buvant mon café. Et je n’ai même pas le temps d’arriver aux pages sports du Parisien que j’entends la porte du bureau d’Angélique s’ouvrir. Je n’ose pas y croire. Elle m’avait dit qu’elle faisait le pont, je lui avais même signé moi-même sa feuille de congé. Cependant, mon cœur se met à s’emballer dans ma poitrine. Et si c’était elle…Je me lève alors pour aller voir qui vient d’ouvrir la porte d’à coté. Mais je n’ai pas le temps d’arriver à la porte de mon propre bureau qu’elle surgit. C’est bien elle. Elle porte une jupe gitane noire et un petit pull marron. Une large ceinture de cuir noir lui ceint les reins. Elle a habillé son cou d’un collier de perles de verre laquées noires. Ses cheveux blonds détachés illuminent son visage. Ses lèvres sont ourlées d’un gloss rose brillant. Un fard à paupière gris souligne le bleu de son regard qu’elle vient planter dans le mien. « - Mais, qu’est-ce que… » J’essaie de bredouiller.« - Je pouvais pas attendre. J’ai dit qu’on avait besoin de moi ici pour une urgence et je suis venue. J’avais besoin de ça. »Et elle se précipite contre moi, plaquant ses lèvres contre les miennes, sa langue déjà à l’ouvrage au fond de ma bouche. Ses bras me serrent contre elle, je sens ses seins s’écraser contre mon torse. Je lui rend fougueusement son baiser et son éteinte. Elle attrape alors une de mes mains et la pose sur sa cuisse, avant de la faire remonter pour découvrir sa peau sous le tissu noir. Je m’empresse de continuer le mouvement, et bientôt, c’est sa fesse que je rends à l’aire libre. Qu’il est doux ce cul. Quelle texture de satin, quelle douceur de la peau, quel galbe sous les caresses. J’attrape alors ses cuisses et soulève Angélique du sol. Ses jambes entourant mes hanches, sa jupe relevée jusqu’à la taille, je la plaque contre le mur, juste à coté de la porte. Sans cesser de nous embrasser, elle attrape le battant resté ouvert et le repousse. La porte de mon bureau se referme et se verrouille automatiquement. Nous sommes seuls, libres de nous consacrer l’un à l’autre sans risquer de nous faire surprendre. Enfin.Je repose Angélique sur le sol. Je la retourne face au mur et d’une main, je relève sa jupe au dessus de ses hanches. Si je n’étais pas aussi consumé par le désir, je crois que je ne m’arrêterai pas de fixer, d’admirer ce fessier magnifique, rond et généreux, dont la raie parfaite fait glisser le regard jusqu’à un sexe d’une beauté inégalée. Mais déjà, j’entends Angélique qui gémit doucement. Je passe donc à l’action en laissant courir ma main sur le galbe de ses fesses. Très vite, je me dirige vers sa fente, simplement recouverte d’un string de dentelle noire et blanche. En le faisant glisser pour révéler son sexe, je ne peux que me rendre à l’évidence : il est déjà bien mouillé. « - Tout le long du chemin en voiture, je l’ai fait avec ma main entre les cuisses, me dit-elle entre deux soupirs, je ne pouvais pas attendre, rien que pensant à toi, j’ai joui deux fois.« - Commencer sans moi, c’est pas bien, surtout que ta chatte est faite pour ma langue, plus que pour tes doigts. »Et sans attendre plus longtemps, j’enfonce mon visage entre ses fesses, la langue en avant pour prendre possession de son vagin. Angélique m’accueille avec un véritable cri de plaisir. Que c’est fait bon, humide et chaud dans sa chatte. Avec ma bouche, je sens la douceur de ses grandes lèvres gonflées par le désir, l’humidité de ses petites lèvres, les plis qui tapissent l’intérieur de son vagin. Rapidement, sa mouille commence à couler, et je m’en abreuve avec délectation. Angélique à la tête en arrière, les yeux révulsés par le plaisir. Elle a pris le pan de sa jupe entre ses dents et me mord pour éviter de crier trop fort. Après quelques minutes de ce cunnilingus de folie, j’avoue que mon altruisme commence à me faire défaut. Bien sûr, je passerai des heures à lui bouffer la chatte, mais autant que faire se peut, j’aime autant qu’on me rende la pareille.Je me relève alors et entreprend de déshabiller Angélique. D’un seul regard, elle comprend et commence à faire de même avec mes habits. Je laisse glisser sa jupe et son string sur le sol pendant qu’elle enlève ma chemise. Je lui retire ensuite son pull, elle déboutonne mon pantalon. Et avant même que j’ai fini de retirer son soutien gorge, ma queue est déjà dans sa main.« - C’est pas possible, je m’étais persuadé que j’avais exagéré, mais elle est vraiment grosse ! J’ai fait comment pour avaler ça».C’est vrai que ma queue peut de prime abord paraître assez impressionnante : mesurant 24 cm depuis la garde, elle est aussi très épaisse en son milieu, avec près de 6 cm de diamètre. « - Comment t’as fait, j’en sais rien, on a qu’à regarder ».Je la saisi alors assez fermement et je l’allonge sur le dos, sur la table de réunion toute proche, la tête au bord de la table. Je reste debout, ma queue au dessus de la tête d’Angélique. Mes yeux vont alors à la rencontre des siens. Sans rien dire de plus, j’approche ma bite de son visage, et lui pose le gland sur les lèvres. Elle ferme alors les yeux et ouvre la bouche pour le laisser rentrer. « - Non, je dis. J’aime voir tes yeux. Ils sont tellement beaux. Regardes moi, pendant que tu me suces. »Elle rouvre alors ses paupières, me jette un regard bleu acier et d’un air décidé, enfourne quelques centimètres de chair supplémentaire au fond de sa bouche. Je ne sais pas ce qui est le meilleur : sa manière exquise de me sucer, sa façon de saliver sur ma hampe, de faire courir sa langue sur mon gland, ou bien ce regard extraordinaire qu’elle me lance, un regard rempli de fierté, de plaisir assumé, de vice également. Je ne savais pas qu’il était possible de paraître à la fois comme une ingénue et comme une salope. Angélique y arrive, elle le transpire même. Mais toute bonne suceuse qu’elle est, je ne la laisse pas se débrouiller seule. Pour renforcer mon plaisir, je prends parfois les choses en main. D’abord en entreprenant de caler mon gland à l’intérieur de sa joue, déformant ainsi son visage magnifique pour le rendre malléable à mon bon plaisir. Puis je lui mets impérieusement mes couilles dans la bouche. A son petit mouvement de recul, je comprends que lécher ou sucer des couilles ne lui était jamais venu à l’esprit. «  - T’inquiètes pas, c’est super bon. Aspire-les dans ta bouche, tu vas me faire jouir. »Angélique se met donc à l’ouvrage, aspirant d’abord doucement, puis s’enhardissant pour finir par sucer mes boules rasées comme si elle souhaitait en extraire tout le jus. Je suis aux anges, et je peux voir qu’elle aussi : ses tétons sont dressés sur des mamelons gonflés de plaisir, et je peux déjà voir que la mouille échappée d’entre ses cuisses commence à se répandre sur la table. Pour rajouter du bonheur au bonheur, je lui saisis doucement les seins, les pelote avec tendresse avant de les saisir plus fermement. Puis, je me penche vers le sexe d’Angélique. Nous sommes, pour la première fois, en plein 69. Je dévore sa chatte, faisant courir ma langue entre les lèvres de sa vulve, parfois ne faisant qu’effleurer ou souffler doucement sur son clitoris, parfois allant jusqu’à l’aspirer de toutes mes forces, lui tirant à chaque fois un râle de plaisir. J’introduis aussi ma langue dans son vagin, cherchant à en tâter les moindres plis, en découvrir les moindres aspérités. Ma salive vient se mêler à sa cyprine, leur mélange donnant un breuvage dont le goût et l’odeur enivre mes sens. Angélique a profité de notre position pour reprendre ma queue dans sa bouche, et pendant que je continue de lui brouter le con, elle attrape mes fesses avec ses mains et tire mon bassin vers son visage. Sa tête est désormais basculée en arrière sur le rebord de la table. Je comprends instantanément. Sa première gorge profonde lui a plu, et elle veut remettre ça. Et sa position est idéale pour aller encore plus loin. Je réponds donc à ses attentes et lentement, je commence, par des allers et retours de mon bassin, à baiser la bouche d’Angélique. Sa bouche, ses lèvres, sa langue, sa gorge forment un écrin de choix pour mon sexe, qui effectue des allers retours de plus en plus loin, de plus en plus vite. Je sens la salive inonder mon chibre, dégouliner le long de mes couilles, se répandre sur son visage si doux qui n’en devient que plus beau, parce que souillé de son propre vice. Au bout de quelques dizaines d’allers retours, je sens quelque chose frôler mes testicules à chaque passage : si le nez d’angélique qui se retrouve à toucher mon scrotum à chaque passage, c’est qu’elle a réussi là ou je n’avais pas réussi à la faire aller quelque jour plus tôt : elle avale enfin mon sexe en entier, jusqu’à la garde, une vraie gorge profonde dont la simple vision fait monter en moi la semence. Je reste alors quelques secondes tout au fond de sa gorge, mes couilles écrasées contre son visage qui ruisselle de salive et de larmes. Je m’y sens tellement bien. Puis, lentement, je retire mon chibre jusqu’à ne laisser que le gland à l’entrée de ses lèvres. Elle me regarde alors de ses yeux bleus embués, et d’un léger hochement de tête, me donne son approbation : ma queue tressaute alors, et j’envoie dans sa bouche, contre sa langue et son palais, plusieurs longues giclée de mon sperme, blanc et épais, qui vient bientôt remplir une bonne partie de sa cavité buccale. Une fois ma décharge finie, je m’agenouille afin de placer mon visage à hauteur du sien, plantant mon regard dans le sien. Par ses lèvres encore entrouvertes, je peux voir plusieurs centilitres de foutre couler sur sa langue et ses dents. « - Vas-y, avales, avales tout. » Angélique ferme alors la bouche, et dégluti longuement, fermant les yeux comme si elle avalait un mauvais médicament. Puis dans l’instant suivant elle les ouvre, le visage comme illuminé, dessinant un large sourire avant d’ouvrir la bouche en grand, comme remplie de fierté de montrer qu’elle a tout avalé, comme une grande. Et Angélique de récupérer du bout de son doigt quelques gouttes de sperme ayant coulé du coin de ses lèvres, et de se sucer le doigt avec gourmandise.« - J’aurais pas cru, ca m’avait toujours dégoutté avant, me dit-elle quelques instants plus tard, une fois ses esprits recouvrés, mais avec toi c’était vachement bon. J’étais tellement excitée de t’avoir eu tout entier dans ma bouche, je n’avais qu’une envie c’était de t’avaler encore plus, de t’avoir encore plus en moi. — C’était énorme ce que tu as fait, moi non plus je n’étais jamais allé si loin, je n’avais jamais rencontré une fille capable de me prendre comme ca, en entier. Tu es naturellement douée. Du coup je n’ai pas pu résister, j’espère que tu ne m’en veux pas d’avoir joui dans ta bouche.— Au contraire, je n’aurais pas supporté que ca finisse autrement. Quand j’ai senti ton sperme dans ma bouche, si chaud sur ma langue, rien que ça ca m’a fait jouir. J’avais toujours refusé ca avant, mais là, comment dire, ca allait de soit. Comme une évidence. Je regrette qu’une chose, c’est de ne pas avoir pu te sentir dans mon ventre. J’aimerai tellement voir ta queue me dilater la chatte.— Mais t’inquiètes pas, dis-je en me relevant, la journée ne fait que commencer. » Et d’exhiber assez fièrement ma bite toujours dressée, plus dur que jamais à l’idée de bientôt trouver sa place dans ce réceptacle de choix : la chatte d’Angélique.
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