Voilà maintenant cinq ans que Nicolas, trente-trois ans, est marié avec Amélie, trente et un ans. Amélie est une blonde dévoué corps et âme à son époux. Cependant, depuis quelques jours, Nicolas a un fantasme un peu bizarre. Voir son épouse se faire baiser par un autre homme, devant lui. Amélie offre un refus catégorique à cette idée, qu’elle juge destructrice pour le couple. « - Mais enfin mon chéri ! Tu n’y penses pas ! Que dirais-tu si j’acceptais une telle proposition ! -Tout simplement que tu m’aimes, répond Nicolas. Cela peut être excitant. »Une semaine plus tard, Nicolas entre chez lui, la mine radieuse, apportant cadeau et champagne. « - Tu as gagné au loto ? - Plus que ça ma chérie, sourit-il, je me suis vu accorder la plus grande promotion de la société. Mon directeur passe ce soir pour parapher le contrat, du coup je lui ai proposé de fêter ça au champagne. - Très bien mon chérie, poursuit Amélie, et ce paquet, c’est pour moi ? - Bien sur mon amour, et je tiens à ce que tu reçoives notre invité dans cette magnifique tenue. Amélie ouvre le paquet, et découvre un ensemble plutôt sexy. A la demande de son époux, elle l’essaye. - Mais enfin mon chérie, la jupe est bien trop courte, on voit ma petite culotte…et le haut, c’est à peine s’il cache mes seins. - Ce n’est pas grave ma chérie, tu sais, mon directeur à cinquante-huit ans, il en a vu d’autre. Il ne s’apercevrait même pas si tu ne portais pas de culotte. - Ouais ! C’est ça petit vicieux. Je vois ou tu veux en venir. » Vers vingt et une heures, on sonne à la porte. C’est Amélie qui va ouvrir. « - Bonsoir ! Patrick. J’ai rendez-vous avec votre époux… » Amélie reste bouche bée. Elle a devant elle un homme très séduisant, cheveux grisonnant, avec un regard qui la fascine. « - Heu ! Enchanté. Moi…c’est Amélie. Mais je vous en prie, entrez, mon mari vous attend. - Bonsoir Nicolas, dit le directeur, ça va. Vous avez une épouse ravissante. - Merci Monsieur… » Oh, assez de mondanité, appelez-moi Patrick. Nous ne sommes pas au bureau. Une fois le contrat paraphé, Amélie, Nicolas et Patrick sabre le champagne. Nicolas sait qu’Amélie n’a pas l’habitude de boire, et sourit quand Patrick la prend par la taille, en lui murmurant des mots doux à l’oreille. « - Oh…le vicieux ! Hi ! Hi ! Hi !… Ôtez ma culotte !…Mais que va dire mon mari ? On va voir ma petite fente… - Ne te prend pas la tête ma chérie, dit Nicolas, on est entre nous ! Laisse toi aller ! Tout est permis ce soir. - Ok, si mon mari est d’accord… Chiche ! Enlevez-la-moi ! »
Patrick glisse ses mains sous la jupe, saisit l’élastique du string, et le retire délicatement, sous le regard consentant de Nicolas. La jupette ne cache plus rien, ni la fente parfaitement épilée, ni les fesses à la cambrure parfaite. Nicolas veut porter l’estocade. Il sert une nouvelle coupe de champagne à son épouse. « - Assez mon chéri, bégaie Amélie, tu sais que je fais n’importe quand j’ai bu… » Voyant la tournure de la soirée, Patrick et Nicolas ne boivent pas pour garder toute leur lucidité. C’est donc en titubant, qu’Amélie rejoint le canapé, ou elle s’assoupit. Là, son mari ôte le petit haut, et fait glisser la mini-jupe. Amélie se retrouve entièrement nue, devant les yeux émerveillés de Gérard. « - Oh…quelle bombe !… » Nicolas lui prend une jambe, et la pose sur ses genoux, de façon à ce que les cuisses d’Amélie soient bien écartées. Dans cette position, les deux hommes ont une vue imprenable sur la chatte de la jeune femme. « - Vous voyez Patrick, dit Nicolas, elle a une jolie fente ma femme…et vous voyez son clitoris à moitié sorti…attendez…je vais le décalotter… » Nicolas glisse une main entre les cuisses d’Amélie, avec deux doigts extrait le petit organe de sa capuche. « - Touchez comme il est dur, caressez-le… » Hésitant, Patrick avance son majeur, et le fait tourner sur le clitoris décalotté d’Amélie. Même assoupit, celle-ci pousse un léger soupir. « - Profitez en Patrick, poursuit Nicolas, elle est à vous ce soir. Regardez ses jolies lèvres, ouvrez les, pénétrez-les…et son petit trou...il n’est pas beau…allez Patrick, laissez-vous aller. » Tout en continuant de doigter le clitoris, Patrick glisse deux doigts dans la chatte humide d’Amélie. « - Vôtre queue Patrick, insiste Nicolas, vôtre queue…baisez la…elle est prête maintenant. »D’un geste prompt, Patrick se déshabille. Nicolas sursaute en voyant la bite colossale déjà en érection.-Oh ! Monsieur est sacrément monté…tout pour combler une honnête femme... » Sans attendre, Patrick se glisse entre les cuisses d’Amélie. Le calibre se décalotte de lui-même en pénétrant la chatte de la jeune femme. « - Oh, gémit Amélie encore endormie, c’est quoi ce gros chibre qui fouille ma chatte…hum !… » Amélie se réveille enfin, sentant l’énorme bite faire des va et vient à l’intérieur de son ventre. Elle croise le regard de son époux. « - Salaud ! Souffle-t-elle. C’est ça que tu voulais. Regarde le coup de queue qu’il est en train de me mettre ! Tu te régales de voir ta femme se faire tringler par un autre homme. Tu l’auras voulu. Tu sais de quoi je suis capable ! Regarde mon chéri, tu ne vas pas être déçu… » Amélie prend Patrick par la nuque, mordille ses lèvres. Les langues s’enroulent dans un balai érotique. Amélie change de position et se retrouve assise sur la bite de Patrick. « - Ah…enfin une queue, digne de ce nom ! Le pied Nicolas ! Un calibre pareil, jamais vu !…Ouais… » Nicolas sent qu’il perd sa femme, surtout quand elle l’entend murmurer le nom de son directeur. « -Oh ! Patrick !…Patrick ! Vas-y mon chéri…nique-moi…je suis à toi cette nuit…fais ce que tu veux de moi…Ne t’inquiète pas ! Mon mari acceptera…il n’a pas le choix… » Ces mots résonnent dans les tempes de Nicolas, qui, effectivement, n’a d’autre choix que d’accepter. Malgré l’écart d’âge, Patrick se révèle être un amant très performant, pour le plus grand bonheur de Amélie. Nicolas se sent humilier quand il assiste au premier orgasme de son épouse. Un cri de plaisir qu’il n’a jamais pu lui arracher. Il reste scotché sur le canapé quand sa femme demande à Gérard de l’enculer en levrette, ce à quoi, il n’a jamais eu droit. Arrive ensuite le coup de grâce. Amélie insiste pour lui tailler une pipe. Mieux, elle ordonne à son mari de guider lui-même la bite de Gérard dans sa bouche. L’humiliation est à son comble. Tel un automate, Nicolas obéit à l’ordre pervers de son épouse. Il saisit le gourdin de son directeur et l’approche de la bouche. Il voit sa femme engloutir l’énorme bite jusqu’aux couilles. « - Ah ! grogne Patrick. Allez-y ma chère. Sucez-moi ! Videz-moi les couilles !… » Au bout de dix minutes, les jets de sperme giclent dans la gorge d’Amélie. Celle-ci se retourne vers son mari, la bouche ouverte. Elle avale la semence, passe sa langue sur ses lèvres. « - Hum…c’est bon, tu sais. Tu veux goutter mon chou ! Viens lui nettoyer le gland…jusqu’à la dernière goutte ! Allez ! Fais plaisir à ta petite femme. Je t’ai bien fais plaisir moi ! » Maintenant soumis aux caprices de sa femme, Nicolas obéit. Il suce le gland décalotté de son directeur. Celui-ci, en mâle dominant, saisit Nicolas par la nuque, et le force à avaler la bite, entièrement. Le nettoyage terminé, Nicolas s’écroule sur la moquette, se prend le visage dans les mains. Il voit Patrick prendre Amélie par la taille, et l’emmener dans la chambre. Les deux amants laissent la porte ouverte. Une bonne partie de la nuit, Nicolas entend Patrick jouer avec sa femme qui hurle de plaisir.Hum…petite salope ! dit Patrick, tu aimes qu’on s’amuse avec ta petite chatte…qu’on te la fasse mouiller…et mon doigt dans ton petit trou…c’est bon ça… « - Oh oui ! J’aime qu’on me décalotte le clitoris, qu’on me le doigte. Oui ! Comme çà oui ! Allez-y Monsieur ! Grattez mon petit bouton ! Faites-moi jouir ! Je n’ai jamais connu ça avec mon mari…oui ! Oui ! » Nicolas se bouche les oreilles pour ne pas entendre les cris de plaisir de sa femme qui n’en finit pas de jouir. Certains mots sont durs à entendre, le comparatif des mensurations est humiliant. « - Tu aimes ma grosse bite, hein, ce n’est pas le fifre de ton mari ! Et mes couilles : soupèse les… « - Oh oui ! J’aime…vôtre grosse bite ! Vous savez vous en servir vous ! Vous savez me tringler ! Vous savez m’enculer ! Et quel plaisir de vous tailler une pipe ! De lécher vos gros testicules… Vers sept heures du matin, le couple, sort de la salle de bains, et rejoint la chambre. Après avoir baisé et fait jouir Amélie une dernière fois, Patrick salue Nicolas, et prend congé. Celui-ci est abattu. Il paie cash son fantasme. Il est cocu jusqu’au bout des ongles. Amélie le rejoint sur le canapé, un dossier à la main. « - Voilà, dit-elle, j’ai rempli mon contrat, à toi de signer le tien. Il a juste ajouté une clause à la fin de la dernière page. Mise à disposition de votre épouse tous les weekends, chez vous. Il est bien évident que vous pourrez assister à nos ébats érotiques, voire y participer si par faveur, nous vous y invitions. Réponse immédiate ». Nicolas regarde son épouse, la trouve épanouie. Il ne veut pas priver sa femme de ce plaisir. Il signe le document.
