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Comment elle devint une chienne

Chapitre 2

Divers
La prochaine visite supposant l’usage d’une voiture…. Charles compte, dans un mois… C’est bien loin, après avoir été invité à des débordements qu’il n’avait pas conne depuis quelques 15 années… ? Il se souvenait avec une certaine émotion d’un voyage… ou deux…, c’est à lui maintenant de prendre l’initiative…. Mais comment ? Il sait où aller, pas encore chez-lui, mais il connait un vieux de bureaux industriels … sur le port…. Il est allé explorer…. Il y a cet endroit que l’on peut fermer si l’on sait…. Curieusement il n’est pas trop dégradé… il lui a suffit de nettoyer un peu…. Il y a encore un bureau des années 70… le siège est cassé mais le meuble est solide…. Il rêve un moment à un corps poussé brutalement en avant, se pliant sur le bureau, une jupe, une culotte descendue à mi-cuisses, une croupe….
Il se décide pour un mail anodin : Objet « Compte-rendu du rendez-vous ». « … Vous trouverez en pièce jointe… Si vous avez un moment j’aimerais vous entretenir d’une idée qui m’est venue concernant ce rendez-vous, à bientôt. Charles. »
« Re : Compte-rendu du rendez-vous » « Je suis vraiment désolée, mais je suis très prise en ce moment, nous en reparlerons lors de notre prochain bureau. Amitiés, Anne »
C’est un Texto qui lui donne une autre adresse mail. « Pour me siffler c’est ici. Je suis libre ces jours-ci l’après midi après 16 heures. RDV sur un parking - ? Anne ». Il sent soudain des tressaillements dans le bas ventre… il bande….
« Jeudi 16h30 - Leclerc 1er sous-sol »Il s’arrangera pour prendre la fin de l’après midi, faire quelques heures les jours précédents… il a presque bouclé le dossier sur lequel il travaille.Deux jours à attendre, garder cette excitation intacte…. Il y a petit cul qui l’attend…. Il se demande s’il va bander souvent comme-ça pendant ces deux jours….
16h10 premier tous du parking, rien, trouve facilement une place, laisse sa voiture ; va chercher un peu de nourriture et de vin pour un pique-nique… cela lui parait tout à fait indiqué. Descend regardant attentivement… oui cette belle voiture est bien là, non loin de la sienne plus modeste…. Il monte dans sa voiture, attend, la porte du passager s’ouvre trente seconde plus tard….
« J’ai craint que vous ne vous soyez ravisé… »« Donne-moi ta main »Ça lui ressemble bien ce jeu du tutoiement et du vouvoiement. Il tend la main et reçoit une boule de tissu… ou bien sûr…. « Tiens, je suis venu pour une saillie… alors je n’ai pas besoin de cela… où m’emmènes-tu ? Tu as trouvé un hôtel discret ? » Son parfum, son allure, sa façon d’entrer et de s’assoir dans la voiture… et cette façon directe de dire les choses…. Il bande bestialement…« Tu verras » Sa main droite rejoint la cuisse de sa passagère dès qu’ils sont sortis du parking, il remonte la jupe lentement… les doigts effleurent tout juste la peau… elle frissonne… allège son poids pour laisser la jupe remonter facilement… elle est trempée, le bord de la mais écrase les lèvres… le petit doigt joue un moment…« Je suis à toi, toute, prête à te donner ce que tu veux, j’ai besoin de ta brutalité… » Elle a soudain une voix légèrement rauque…. « Mais je ne te donnerai rien, il faudra que tu le prennes… ». « J’ai prévu le parfait endroit pour ça ! ». La voiture quitte les rues fréquentées, prend les rues désertes du port, passe quelques friches pour pénétrer dans une cours abandonnée, s’arrêter devant le bâtiment qui porte une plaque « Bureaux - Direction ». Il descend, prend le sac des courses qu’il a fait plus tôt, ouvre la porte passager, saisit la main d’Anne qui descend lentement, la tire vers lui, ferme sa voiture d’une pression sur la télécommande, tire sa passagère vers la porte, entre rapidement en la tirant toujours, accélère, entre dans un couloir encombré de détritus divers, canettes de bière, vieux journaux…, avance jusqu’au fond sans ralentir malgré les protestations d’Anne qui est un peu dépassée par le jeu qu’elle semblait souhaiter… ouvre une porte qui donne dans un grand bureau.., il entre…, tire Anne brutalement à l’intérieur…, bloque la porte avec un verrou qui fonctionne encore. Il jette pousse la femme contre le mur, lui intime l’ordre d’ouvrir la bouche, complètement perdue elle obéit et y reçoit cette boule de tissu qu’elle a donnée comme un acte de soumission… il la tire vers le bureau, lui appuie brutalement sur le dos pour la courber et presser sa poitrine sur le meuble pendant qu’il remonte la jupe… découvrant la croupe qu’il observe ainsi pour la première fois, il n’écarte pas les jambes… pour ce qu’il va faire c’est inutile… il sort son membre… bon dieu qu’il bande… elle proteste : « Non pas comme ça… ça fait mal…. NON ! NON ! »
Il pousse son corps en avant et pose le bout de son sexe là où il ne l’a pas encore mis…. Elle se débat… Il pousse, d’un coup ouvre l’orifice, pénètre, elle crie… il arrête : « Je ne veux pas te déchirer, juste prendre puisque tu ne veux pas me le donner… ne bouge plus et je pénètrerai lentement, je t’écouterai… mais ne te débats pas… chaque protestation je pousserai un peu plus fort… ».
Il s’enfonce lentement, petites saccades… il pénètre peu à peu… « J’aime çà… j’adore ton petit cul… »Elle essaie de lui dire…. « Je n’y trouve aucun plaisir… aïe … mon cul est à toi… parce que… je suis ta chienne… et tu le veux… » Mais elle ne peut pas, ses mots sont inarticulés, elle gronde, bouche fermée sur la culotte chaque fois qu’il la pénètre un peu plus…. Il lui en a mis la moitié, son membre est plus gros il pousse un peu plus brutalement… il sait qu’il va se laisser aller… il pousse… se retire un peu et progresse lentement… il regarde ce cul…cette croupe… la jupe remontée… sa bite à moitié… un peu plus… c’est obscène… il va la lui mettre à grand coups…. Sa brutalité… il force, elle crie … RRRAHHHH ! Il se retire un peu, lui glisse ses doigts dans le con, met de cette crème sur sa bite… de la salive… elle comprend… « MMMMMMM !! », il continue son travail de préparation… et force « GGGRAAAHHHH ! » pousse et HAN ! « GGGRAAAHHH MMMMMMM MMMM !!! » c’est à peine s’il entend… il y est…. Ses couilles sur les fesses… le cul enserre sa bite… il commence un léger va et vient dans ce cul qui se fait peu à peu à la taille de son membre… il commence à la pilonner… elle grogne… il l’encule… elle attend que ça se passe…. Même si elle finit par éprouver une sorte d’excitation, elle est loin de l’orgasme… comme une femelle que le mâle vient de soumettre à son désir… elle subit - il l’utilise pour vider ses couilles… elle l’a bien cherché… - il lui fait mal de temps en temps… elle se cogne contre le bureau maintenant qu’il la pilonne sans retenue, elle essaie de se retenir en s’accrochant aux bords du bureau…. Il agrippe ses fesses, les écarte - il doit regarder le salaud… sa queue lui entrer dans le cul… - il cogne, elle entend le bruit des peaux qui claquent l’une contre l’autre, elle sent la pressions de ses cuisses, et sa bite qui lui rentre dans le ventre, plus grosse que l’autre jour…. Et quand elle ne s’y attend pas, elle sent son plaisir à elle qui monte… comme une vague qui monte du ventre à son cerveau, qui la dépasse, elle ne peut pas se retenir…, comme à demi-consciente soudain, elle gémit de plaisir. Ça l’excite lui… il accélère, frénétique, l’encule sans retenue … ahane à chaque coup de rein… elle sent tout le corps de son mâle qui se tend, et le sien … elle part, elle jouit…. A travers sa jouissance elle sent le mâle qui la besogne comme une brute… elle sent ses couilles…. au moment où son orgasme à elle se calme il décharge…. Crie…. Il jouit, il sent les giclées de foutre qui montent le long de sa queue…. Il agrippe les épaules d’Anne, les doigts crispés… à grands coups de reins violents il se vide les couilles dans son ventre… Il s’écroule sur son dos…. Lâche les derniers jets… reste dans ce cul qu’il voulait tant… jusqu’à ce que sa queue se rétracte au point qu’elle s’en éjecte spontanément….
Il cherche à ouvrir la bouche d’Anne et retire la boule de tissu, pleine de salive…. « Salaud… c’est… tu m’as prise de force… ». Il lui met une bonne claque sur la fesse droite… qu’il renouvelle presque instantanément…. « Tu as joui ma belle… et tu l’as bien cherché…. Tu m’as dit qu’il faudrait que je le prenne… j’ai pris… j’ai essayé de ne pas te déchirer ».
Il regarde le cul encore ouvert qui ne semble pas saigner mais laisse échapper un filet blanc…
Il attrape le sac de provisions, prend les serviettes de papier, une bouteille d’eau et se retourne pour se laver discrètement… il en a besoin…
« Laisse-moi faire… » Cette bourgeoise le surprend toujours…. Sans la moindre répugnance elle entreprend de nettoyer sa queue maculée de traces brunâtres… avec soin… jetant dans un coin les serviettes qu’elle a utilisées…. Regarde enfin la queue assagie qu’elle tient dans la main… :
« Tu es tout propre… ! on en mangerait…. Tu m’as fait peur quand nous sommes entrés dans le bureau… vraiment peur… ».« C’était bien mon intention…. Te mettre dans l’incertitude, te faire peur… et te mettre dans la situation d’une "viol" comme tu m’y as incité… ».
Il remonte son pantalon…. Et lui retire sa jupe, ouvre son chemisier, le retire : « Je veux te regarder ». Elle retire son soutien-gorge et se tient nue devant lui : « Voilà, c’est à toi ! ». Jambes légèrement écartées elle se tient devant lui. Il détaille… ses seins, sa peau ses yeux bleus tirant sur le vert, ses cheveux… elle est châtain clair, un peu blond vénitien… la peau qui va avec, fine, un peu blonde aussi, quelques taches de rousseur, des seins qui ne sont pas volumineux, qui lui vont bien, les pointes dressées, les aréoles discrètes…, des petits boutons, un poil sur le téton droit…. Son ventre est encore assez plat, son nombril… sa toison, nature mais légère… dorée rousse… trop légère pour masquer la fente, entrouverte, le clitoris saillant… elle s’appuie sur le bureau, pose ses fesses sur le bord, écarte les jambes…. « Voilà c’est à toi… quand tu auras mangé, on aura mangé, un peu… il faudra me saillir… je ne suis pas rassasiée… ». Il s’assoir dans un fauteuil de bureau qu’il avait trouvé dans une autre pièce, la regarde, ouvre le vin, sort le pâté de foie gras, le pain, les gobelets pour boire….« Il te faudra m’exciter un peu… te caresser… par exemple ».« Je suis capable de bien des choses… tu seras prêt pour me saillir avant d’avoir fini de manger ».Et tandis qu’il prépare les sandwichs et verse le vin, elle commence à faire le nécessaire pour qu’il sente remonter l’envie de la prendre….
Assise au milieu du bureau, les pieds bien à plat sur le dessus, les cuisses bien écartées pour qu’il ait une belle vue sur la fente de son con, ouverte, brillante, elle commence à jouer doucement avec son corps, ses seins, ses tétons… qu’elle effleure pour les agacer….« J’aimerais que tu les pinces ces petits tétons… délicatement… mais… assez fort… ».« Tu as l’âme d’un voyeur sadique…. Je le savais… depuis le jour où j’ai enlevé ma culotte pour te montrer ce que tu voulais voir…. Tu sais ce qui m’encouragerais… quand tu auras fini ces sandwichs… c’est de pouvoir jouer les voyeuses aussi … montre-moi ta queue, même au repos… et ce serait bien que tu joues UN PEU avec…. Ne prends pas le risque de décharger dans tes doigts… j’ai encore un ou deux endroits exprès pour ça, et je suis une femelle en chaleur, il me faut me faire saillir…».
« Compte sur moi pour ça ! »
La suite peut facilement s’imaginer. Nus tous les deux, ils mangent, elle se caresse, les cuisses grandes ouvertes, trempée au point que sous ses fesses le bureau reçoit une petite mare de la liqueur qui s’écoule. Elle joue avec tous les endroits de son corps qui peuvent lui apporter du plaisir, et principalement ce qui se trouve entre ses cuisses… pendant qu’il regarde, qu’il regarde ces doigts qui jouent et glissent, frottent, s’enfoncent, pincent, ces lèvres luisantes, ces cuisses qui s’écartent, ces doigts qu’elle lèche, suce, avant de les replonger dans sa fente… ces yeux qu’elle plisse quand le plaisir monte, qu’elle contrôle…. Et lui joue aussi, juste assez pour faire raidir sa queue, maintenir une légère excitation, pas plus….
Quand il a assez mangé, assez bu il s’approche, la prend par les hanches, l’attire vers le bord, installe ses chevilles sur ses épaules, ce qui lui donne une vue plongeante sur la fente béante…. Il joue avec la fente, plonge les doigts, écrase le clitoris, le pince, légèrement, insère sa queue et la prend…. Il la baise, sans se soucier d’elle, il tire son coup, se soulage et Anne déçue sent son rêve de saillie s’évaporer… il décharge. - elle s’apprête à se rhabiller, à quitter cet endroit sordide, à le quitter pour ne plus le revoir : « Et ma saillie ? »C’est à ce moment-là qu’on frappe, voix grave, basse : « Charlot, t’es là ? C’est Jo, Tu nous ouvres ? j’suis avec Paulo ».
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