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Comment j'ai été dressée

Chapitre 3

Travesti / Trans
Coucou je suis Nadège, travestie passive et soumise à un homme qui je ne sais comment a réussi à faire de moi sa chose. A 21 ans, je me retrouve à la merci de cet homme de cinquante ans, qui sait visiblement tout de moi, et qui a même accès à mon domicile sans que je sache comment.
Je suis dans le taxi qui me mène je ne sais où, les yeux dans le vague en repensant à la façon dont je me suis offerte pour obéir à mon maître. J’avais encore dans ma bouche le goût de son sperme et je remue mes fesses sur le siège pour jouer avec le plug qui est toujours enfoncé en moi. La voiture pénètre dans une allée et deux cents mètres plus loin, s’arrête face à une belle maison bourgeoise. Le chauffeur de taxi se tourne vers moi, me tendant une carte de visite.
— Tu es une bonne salope, si tu as besoin d’un taxi ou d’autre chose, appelle-moi. En attendant, tu es arrivée, ton maître t’attend en haut.
J’empoche la carte de visite avant de sortir de sa voiture. Je monte l’escalier en me déhanchant de manière à l’exciter un maximum, jusqu’à la porte d’entrée. Je sonne et mon maître m’ouvre. Je baisse instantanément les yeux. Il met alors autour de mon cou un large collier en cuir rose relié à une laisse et tire dessus pour me faire avancer à sa suite. Nous rentrons dans une vaste pièce avec plusieurs portes et un grand escalier en marbre face à l’entrée. Il me guide vers une porte à gauche de l’escalier et nous nous enfonçons vers le sous-sol. Nous arrivons dans une pièce dont les murs sont en pierres apparentes. Il y avait six portes dont cinq sont closes. Il me guide avec la laisse vers celle ouverte et je reconnais le donjon de la dernière fois.
Là il me fait retirer ma robe et je le suis jusqu’à un carcan. Je positionne ma tête et mes poignets dans les emplacements prévus recouverts d’un velours rouge. Mon buste s’appuie sur un petit support. Il rabat la partie supérieure qu’il verrouille sur mon cou et mes poignets. Je suis bloqué, la croupe tendue, pliée en deux. Il vient placer sur mes tétons deux pinces-étaux qu’il serre et il y suspend des poids qui m’étirent les seins. Puis il me retire le plug m’arrachant un cri de surprise. Il s’écarte et j’entends un sifflement suivi d’une brûlure sur mes fesses. Je ne peux me retenir de pousser un cri de surprise et de douleur. Il me cravache le cul en silence, alors que je le supplie d’arrêter en essayant de me soustraire en vain à ses coups. Mon postérieur me brûle littéralement et bien malgré moi, je ressens également un plaisir étrange. Il s’arrête et vient toucher mon sexe toujours emprisonné dans sa cage métallique.
Du liquide séminal s’écoule bien malgré moi de mon gland et mon maître s’en est rendu compte.
— C’est bien ma salope, tu es une bonne chienne !
Il s’active ensuite, amenant quelque chose, derrière moi, que je ne pouvais voir. Je sens un liquide glacé couler entre mes fesses puis un objet large et dur forcer mon anus sans réellement pénétrer. Je ne pouvais, en aucun cas, m’y soustraire. Mon maître passe devant moi, le sexe sorti de son pantalon. Son membre était imposant et fièrement dressé vers mes lèvres. En voyant ce sexe, je me mis à saliver d’envie, je rêve de le sucer, le lécher. Il s’approche de mes lèvres que j’ouvre instantanément pour engloutir sa queue. Il fait de petits aller-retour et je joue avec ma langue de manière à l’exciter le long de son gland. Il s’enfonce de plus en plus, m’étouffant et les larmes coulent sur mon visage à force qu’il cogne contre mes amygdales. Il stoppe son mouvement et sort une télécommande de sa poche. D’un seul coup, je sens le gode derrière moi forcer et me déchirer la chatte anale.
Il s’enfonce en moi progressivement, m’arrachant un hurlement malgré la queue de mon maître entre mes lèvres. Il en profite pour me baiser la bouche comme si celle-ci n’était qu’une chatte. Je me sens défaillir, la douleur est atroce. Je vais être estropié à vie si je survis à ça. Je ne pourrais plus marcher ni même m’assoir. J’ai l’impression d’avoir un tison enflammé dans mon fondement. je sens des soubresauts dans la queue de mon maître et il s’enfonce tout au fond de ma gorge. Là il jouit, m’obligeant à avaler si je ne veux pas m’étouffer. Mon champ visuel s’obscurcit et je m’évanouis.
Plus tard, j’émerge un peu de l’inconscience et j’entends des voix discuter, celle de mon maître et une de femme. Mon cul me fait souffrir le martyre. Je sombre à nouveau dans l’inconscience bienfaitrice qui me fait oublier ma douleur.
Je me réveille finalement sur un matelas posé dans un coin du donjon, j’ai la gorge sèche. Mon cul me brûle et mes bras bloqués en arrière me font mal, je ne peux pas les ramener devant. J’ouvre les yeux difficilement, la tête me tourne. Je la secoue pour tenter de remettre mes idées en place. Quelque chose gêne également mon cou et l’enserre. Et tout à coup, tout me revient, je suis chez mon maître et je me suis évanouie. J’ai le collier autour du cou. Celui-ci est relié à une chaîne fixée au mur. Un carcan en cuir m’immobilise visiblement les bras. Une écuelle d’eau se trouve face à moi et je n’ai pas d’autre choix pour étancher ma soif que d’y boire en me penchant comme un animal. Après plusieurs contorsions, je réussis enfin à me désaltérer. L’eau a beau être à température ambiante, elle me fait un bien fou. J’entends alors la voix de mon maître.
— C’est bien, tu es enfin réveillée ma petite chienne.
Et il part à rire ...
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