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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Comment j'ai fait l'amour à ma belle-soeur

Chapitre 1

Divers
— Oui, baise-moi encore, plus fort !    Je gémis, soupire, râle et la voiture tangue sous mes coups de boutoir comme une 2CV qui dévalerait une pente cahoteuse. Je suis au plus profond de Murielle, les mains accrochées à ses fesses. Ses seins me tressautent sous le nez au rythme des va-et-vient... ses jolis seins, si fermes, si tendres, si sensibles....    J’ai dix-huit ans, je m’appelle Eric : un garçon sérieux, pas trop mal physiquement mais assez timide. Je passe une semaine des vacances scolaires chez mon frère aîné et Murielle, sa femme. Samedi dernier, j’avais rendez-vous avec des copains pour faire une partie de foot au stade municipal. Je me suis levé tôt pour me préparer. D’abord la douche, que je prends dans la baignoire de la salle de bain où se trouve aussi l’unique WC de la maison. Alors que je m’essuyais, Murielle qui devait ressentir un pipi pressant, s’est faufilée dans la pièce dont j’avais laissé la porte entrouverte. Elle pensait sans doute passer inaperçue, ce qui aurait été le cas si je n’avais tiré le rideau à ce moment là... Surprise, Murielle m’a adressé un sourire gêné. Mais le plus gêné des deux n’était pas celui qu’on pense : j’étais nu devant elle, sportif certes mais pas spécialement athlétique, avec mon sexe rétréci par l’eau fraîche qui lui pendait à hauteur des yeux.    - Excuse-moi Eric, je suis confuse...    Ne sachant comment réagir mais pas mécontente apparemment, ma belle-soeur a décidé d’en plaisanter :    - Je n’ai plus qu’à me déshabiller, comme ça on sera à égalité !    Elle s’est levée du siège et, croisant les mains au bas de sa nuisette, l’a ôtée d’un coup par la tête, découvrant intégralement son corps de femme. Puis, elle a joué la camaraderie :    - Comment trouves-tu mes seins ? Ils sont trop petits je sais, les hommes préfèrent les gros nichons. Mais ils me donnent bien du plaisir quand même, avec leurs mamelons nerveux. De toute façon, il faut que je fasse avec, n’est-ce pas ?    Elle parlait avec naturel, comme s’il était normal que nous soyons tous deux à poil dans la salle de bain, avec mon frère qui dormait dans la chambre à côté ! Moi, je fixais son bas-ventre : on voyait le dessin clair du maillot de bain sur sa peau bronzée et de fins poils roux qui ne cachait rien d’un sexe charnu, aux colorations rosées, qui me paraissait assez petit, du moins autant que je pouvais en juger. Murielle a sans doute réalisé qu’elle était équivoque et qu’elle me troublait : elle s’est dissimulé l’entrecuisses d’une main négligente... toutefois, ça la rendait encore plus sexy. L’atmosphère s’érotisait nettement.    - Ca grossit vite ton machin, dis-donc...    Elle regardait avec un air de reproche mon sexe qui prenait de la vigueur. Vexé, je me suis tourné pour achever de m’essuyer. Je frissonnais, rouge de confusion, envahi de pulsions bizarres. Dans un sursaut de hardiesse, comme un coup de poker, je me suis retourné à nouveau : je bandais dur, vraiment dur.    Murielle m’a enveloppé d’un regard lénifiant :     - Eric, je suis terriblement désolée. Tout ça est de ma faute, je n’aurais pas dû... J’en aurais bien envie aussi, mais tu comprends que c’est impossible, n’est-ce pas ? Allez, viens : je vais te faire passer ça...     D’un geste précis, elle m’a saisi le pénis qu’elle a caressé méthodiquement, de plus en plus vite. J’étais mal à l’aise mais je me suis laissé faire, j’en avais besoin certainement. Elle a concentré sa pression sur le gland, j’éprouvais une trouble sensation qui a fini par s’exprimer par de violentes giclées dans le lavabo. Murielle m’a embrassé sur le front comme un enfant, et s’est enfuie vers sa chambre, enfilant rapidement sa nuisette.    En passant devant la chambre à coucher, j’ai entendu les bruits caractéristiques d’un couple en pleine action. C’était injuste ! J’imaginais la fine toison de Murielle toute décoiffée aux premières caresses, les paluches de mon frangin qui lui pétrissait la poitrine, tandis qu’une respiration saccadée, des claquements humides et des plaintes aiguës m’inspiraient une jalousie diabolique. Ca ne s’est pas arrangé le soir ! Mon frère et ma belle-soeur recevaient des amis. On aurait dit que Murielle le faisait exprès, qu’elle cherchait à me faire du mal en m’excitant en vain, moi le jeune qui ne jouait pas dans la cour des grands... Murielle s’était habillée d’une mini noire et d’un chemisier de satin qui s’accrochait à la pointe de ses petits seins. Les hommes qui étaient là n’avaient d’yeux que pour elle. Elle dansait langoureusement, avec l’un, avec l’autre, toujours correcte finalement mais sans cesse limite, sur le fil du rasoir d’une main baladeuse ou d’un frottis suspect... En réalité, elle mettait tout le monde à vif et les types évacuaient leur frustration par des propos salaces qui me laissaient perplexes :    - Petit, si j’avais une belle-soeur aussi bandante, ça ferait longtemps que je l’aurais sautée...    - Dis-donc, vous ne vous emmerdez pas dans la famille...    Ces remarques incessantes, d’abord cauchemar, se sont faites obsession puis tentation. Ce que j’aurais voulu, c’était arracher le corsage de Murielle et lui mordre les tétons, les gonfler de plaisir jusqu’à la souffrance ; lui baisser la minijupe et passer à l’acte. Qu’elle soit ma belle-soeur ne me gênait pas, j’en avais envie moi aussi, ça ne changeait rien au désir que j’avais de la posséder ! Moi, le garçon sérieux, timide, niais pour tout dire, je me sentais dangereusement entraîné vers je ne sais quel abîme.    En attendant, je me défoulais dans le foot ! Le lundi, j’avais fait un match et j’allais rejoindre les vestiaires, quand j’ai aperçu ma belle-soeur sur le bord de la pelouse. On a papoté tant et si bien qu’arrivés aux vestiaires, il n’y avait plus personne. J’étais en tenue sportive : baskets, short et maillot. Il fallait que je me change.    - Ca ne t’ennuie pas si je te regarde, m’a demandé Murielle.    - Si, beaucoup !    J’avais déjà le short aux chevilles. De toute façon, j’allais garder mon caleçon et enfiler mon jean.    - Eric, montre-moi ta bite...    Sans blague, elle pouvait toujours compter là-dessus ! Mais en même temps, vaniteux tel un pou, j’étais pris d’une érection rapide. Après une valse-hésitation, j’ai fini par sortir au-dessus de l’élastique du caleçon mon sexe tel que je ne l’avais jamais vu : énorme, veiné et décalotté sous la pression sanguine. Murielle portait un tricot de laine avec rien dessous, comme souvent. Elle savait que ça me mettait dans tous mes états ! J’aurais voulu la téter, exprimer le lait ou je ne sais quoi qui est à l’intérieur.    - Déshabille-toi, je veux te voir à poil...    Résigné, sous le charme d’une étrange perversité, envoûté à coup sûr, je me suis livré à un curieux strip-tease. J’ai ôté le short, puis j’ai retiré les baskets, le maillot, le caleçon et enfin les chaussettes. J’avais les tétons gonflés comme ceux d’une femme. Je bandais à faire mal, avec les testicules ramassées à la base de la queue.    - On a le temps... baise-moi donc !    A quoi jouait-elle ? Je la connaissais si bien... Allait-elle se dérober ? Cherchait-elle à humilier un trois-quarts puceau pris au piège ? Murielle m’a tendu une capote et s’est allongée sur un banc, les jambes écartées de chaque côté. Il fallait assumer maintenant ! Finis les délires, les fantasmes... la réalité s’imposait dans toute sa crudité. J’ai aidé Murielle à lever les jambes et je me suis mis en position. A genoux, le dos tendu comme pour faire des pompes, le sexe bien raide. J’ai frotté le gland à la vulve, sous le regard sceptique de Murielle. Puis j’ai poussé profond, au maximum de mes forces et, sans réfléchir à rien, j’ai limé comme un dingue. Comme j’étais placé, je voyais ma queue qui pilonnait la chatte rougie, distendue et dégoulinante de ma belle-soeur. Je sentais mes couilles qui lui battaient les fesses. Elle gémissait, soumise et enflammée. C’était un grand moment !    - C’est bon Eric, n’arrête pas, vas-y, vas-y !    Elle voulait jouir. Je ne sais ce qui m’a pris : j’ai glissé lentement mon sexe hors de Murielle, la laissant dans un désarroi colérique qui m’a rempli d’une franche gaieté. Tandis que je remballais mes petites affaires, je me faisais insulter de verte façon !    Le mercredi, mon frangin m’a demandé de laver sa voiture, une Alfa 146 avec Aline, une cousine de mon âge. Il faisait chaud par cette journée d’été. On a arrosé la bagnole au tuyau, sagement d’abord puis on s’est amusé à s’arroser mutuellement plutôt que la carrosserie sale ! Aline était vêtu d’un t-shirt blanc qui, une fois mouillé, est devenu transparent. Je n’y avais pas prêté attention mais la drôlesse semblait chercher quelque chose... Elle avait une manière inimitable de se pencher sur le seau pour y tremper l’éponge en découvrant ses fesses par le bas de sa jupe-culotte. Elle a fini par se vautrer en toute innocence sur le capot, comme pour essuyer le pare-brise. Imaginez le tableau : un joli petit cul dégoulinant de mousse sur les cuisses. La belle était enjouée et menait la danse rondement. Quand on en est arrivé à nettoyer l’intérieur, je lui ai touché les fesses. Elle s’est récriée en gloussant :    - Eric, je ne te croyais pas comme ça !    - Tandis que moi, j’ai toujours su que tu étais une petite cochonne...    Sans attendre, j’ai glissé la main sous sa culotte. Elle n’attendait que ça ! Elle se pâmait déjà :    - Hum, j?adore...enfonce toi doucement, va au fond...    J’entamais une masturbation en règle de la douce enfant quand ma belle-soeur est arrivée. Naturellement, elle avait tout vu mais n’a rien dit, comptant sur une réaction spontanée de ma cousine qui s’est effectivement produite : Aline a brusquement prétexté un rendez-vous pour s’éclipser, trop heureuse d’échapper aux reproches de Murielle. Celle-ci est montée avec moi à l’arrière de la voiture, m’embrassant à pleine bouche :    - Ne te gaspille pas pour n’importe quelle petite conne en chaleur...    Dénudant sa poitrine, elle a sorti ma queue et l’a branlée un peu, le temps de la durcir davantage et que montent des flots de sperme qui se sont répandus sur ses seins. Puis, mes doigts ont rencontré les siens sur sa vulve qu’on aurait dit pleine de savon. Toujours bandé, j’ai fait l’amour à ma belle-soeur pour de bon. Abandonnée, je l’entends qui me dit :    - Oui, baise-moi encore, plus fort !    Je gémis, soupire, râle et la voiture tangue sous mes coups de boutoir comme une 2CV qui dévalerait une pente cahoteuse. Je suis au plus profond de Murielle, les mains accrochées à ses fesses. Ses seins me tressautent sous le nez au rythme des va-et-vient... ses jolis seins, si fermes, si tendres, si sensibles....
E-mail: eric.equatorial@voila.fr
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