Chapitre 3 : Léna me semble mûre pour la suite de mon plan.Non seulement elle vient réclamer du sexe à Daniel de plus en plus souvent mais j’ai découvert dans ses tiroirs un plug anal de belle taille ainsi qu’un gode noir réaliste, vibrant et plutôt massif dont j’imagine qu’elle se sert avant mon retour à la maison. Il est même arrivé que, me croyant endormi profondément, elle sorte discrètement de la chambre au milieu de la nuit pour l’utiliser dans les toilettes et se donner un orgasme supplémentaire afin de trouver le sommeil. Bien sûr, Je me garde bien de bouger mais j’entends distinctement les vibrations et les gémissements de plaisir qu’elle tente d’étouffer en se mordant les lèvres. Je préviens Daniel que je vais sortir du bois et donc révéler notre complicité. Je l’invite à venir à la maison le samedi soir suivant et il accepte. Le matin, je prépare un copieux petit déjeuner en attendant que ma chère femme se lève. Elle s’est encore offerte une belle séance de masturbation au milieu de la nuit et n’a pas fini de récupérer. Je la vois débarquer dans la cuisine, les yeux encore embrumés de sommeil. Je la laisse prendre sa collation et quelques cafés avant de lui annoncer que j’ai invité un ami le soir. Ce n’est guère dans mes habitudes mais elle acquiesce. Elle me demande de qui il s’agit et je lui réponds que c’est un bon ami que je n’ai pas vu depuis longtemps. Elle part se doucher et j’en profite pour charger quelques vidéos d’elle particulièrement croustillantes bien en évidence sur le bureau de son ordinateur.La matinée se passe et je pars faire ma petite sieste. Je sais qu’elle va profiter du moment pour consulter son compte en banque et donc tomber sur les vidéos. Je tourne en rond dans mon lit sans parvenir à trouver le sommeil mais je l’entends entrer dans le bureau et j’imagine ce qu’elle est en train de voir. Une heure trente plus tard, je me lève, prêt pour la confrontation. Je la trouve sur le canapé du salon, le visage blême et tremblante. Au regard noir qu’elle me jette, j’ai la confirmation qu’elle a bien visualisé les films. Je fais mine de rien et lui dépose un tendre baiser sur le front.Elle explose et la conversation s’engage. — Tu es vraiment un salaud. Je la regarde en face l’air goguenard — Ma chérie, c’est l’hôpital qui se moque de la charité. C’est bien toi qui te fais baiser comme une chienne sur le bureau du comptable non ?— Il m’a forcé ! Je ne peux réprimer un petit rire.
— Peut être la première fois…quoi que. Mais depuis c’est quand même bien toi qui viens le visiter plusieurs fois par jours pour lui réclamer du sexe non ? Elle se tait ne sachant plus quoi dire.J’ajoute : — C’est simple chérie, ou tu deviens ma cochonne, ou je divorce. Avec tous les dossiers que j’ai contre toi tu finiras sans un sou et à la rue, voire en prison. Et bien sûr, je me ferais un plaisir d’envoyer tes vidéos à toutes tes amies et à toute ta famille pour qu’ils voient quel genre de grosse salope tu es. Je te laisse réfléchir mais Daniel vient ce soir. Je compte sur toi pour l’accueillir habillée en pute comme tu sais si bien le faire. Sur ce, je quitte le salon pour la laisser seule à ses réflexions. A mon avis et vu son addiction au sexe, elle décidera vite.Deux heures plus tard, elle me rejoint dans la cuisine et me dit : — C’est bon tu as gagné. Je serais ta pute si c’est ce que tu veux. Je lui réponds : — Ne t’inquiète pas trop, je ne vais pas te forcer mais vu ton addiction à la bite je pense que nous avons quelques belles situations à explorer. Je lui tends un colis qui contient un body résille noir intégral très largement ouvert sur le sexe et les fesses ainsi qu’une paire de chaussures à plateforme très hautes. Je lui dis : — C’est ta tenue pour ce soir. Prépare-nous un petit apéritif et va t’habiller. A 19 heures, le carillon sonne. Je ne bouge pas du canapé. J’entends les lourds talons descendre les escaliers de bois. Avant qu’elle n’aille ouvrir la porte je lui demande de venir. Elle porte bien la tenue que j’ai choisi. Ses tétons sont gonflés et débordent des mailles du filet, preuve, s’il en fallait que l’idée l’excite. Je la laisse aller accueillir son amant. Daniel se présente à la porte et reçoit une belle gifle en pleine face avant un long baiser profond, langoureux et plein d’excitation. Léna le prends par la main et le conduit jusqu’au salon. Il s’installe dans le canapé non loin de moi. Nous commençons une discussion à bâtons rompus pendant que ma femme nous apporte les petits fours qu’elle a préparé et sert l’apéritif. Apparemment elle très à l’aise dans son nouveau rôle de servante. Une fois la table basse garnie et les trois verres servis, elle s’assoit entre nous pour trinquer. Après quelques gorgées, Daniel commence à lui peloter les seins et lui pincer les tétons. Elle se penche vers lui et lui donne un baiser fougueux. Je hasarde une main entre ses cuisses pour constater qu’elle mouille abondamment. Je glisse deux doigts dans sa fente glissante et enduit son clitoris et son anus de sa cyprine glissante. Elle ouvre la braguette de Daniel pour libérer son phallus gonflé et commencer à le sucer. Je l’aide à s’allonger sur le sofa les jambes bien ouvertes pour dévorer son minou délicieux pendant qu’elle besogne le comptable consciencieusement. J’ouvre mon pantalon qui garde prisonnière une érection limite douloureuse. Daniel le remarque et il lui dit : — N’oublie pas de t’occuper de ton petit mari. Elle se redresse et se repenche de mon côté pour me prendre en bouche. Daniel ne reste pas spectateur, et glisse son gros sexe dur dans sa chatte inondée. Léna est à un sommet d’excitation, elle me suce comme elle ne m’a jamais sucé. Malgré sa bouche pleine, je l’entends gémir et comprend qu’elle jouit. Je tire sur ses cheveux et la traite de salope, ce qu’elle semble apprécier. Puis je m’allonge et lui demande me venir me chevaucher, ce qu’elle fait sans rechigner. Elle commence de vastes mouvements de hanches allant et venant sur mon pénis tendu. Puis elle stoppe. Je vois Daniel écarter les belles fesses de mon épouse et s’introduire dans son petit trou. Très vite, je sens son gros gourdin frotter contre le mien au travers de la fine paroi qui sépare son anus de son vagin. Ma femme reprend ses mouvements de plus en plus amplement et je sens le jeune homme aller et venir de plus en plus intensément dans son cul. J’ai maintenant du mal à me retenir, j’essaie de penser à autre chose jusqu’à ce que Léna crie son bonheur en jouissant une seconde fois. J’inonde alors son vagin de ma semence pendant que Daniel se vide à son tour. Nous restons tous les trois immobiles un instant puis je dis à Léna de nous servir un dernier verre. Quand elle se penche sur la table basse je vois les spermes couler de sa chatte et de son cul et ruisseler le long de ses jambes. Cette fois, c’est sûr, elle est enfin prête.
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