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Comment j'ai fait de ma femme une salope

Chapitre 7

Avec plusieurs femmes
Chapitre 7 :
Le lundi et le mardi, mon agenda est bien chargé. Je vais au bureau de 8 heures à 19 heures et j’enchaîne les réunions. En rentrant le soir, je dine avec Léna sans évoquer ses incartades. C’est un accord entre nous, du moins lorsque l’action se déroule dans le champ des caméras. Je monte ensuite consulter ma vidéo-surveillance.
Après le weekend, Daniel a encore eu besoin de se vider les couilles. Je le regarde besogner ma femme sur son bureau par derrière et couvrir son beau cul de foutre. Malgré la fatigue, je bande à cette vue. Je décide d’aller me coucher mais ma femme, sachant ce que j’ai vu, est déjà sur le lit dans le plus simple appareil et les jambes grandes ouvertes.
Nous faisons l’amour avant notre nuit de sommeil. Le mardi, Léna est restée à la maison, mais le soir, je visualise Kevin, le petit voisin, la visiter et la baiser bien fort sur la table de la cuisine. Décidemment, elle est devenue insatiable ! Mais je ne peux m’en prendre qu’à moi-même. Comme on dit « Qui sème le vent, récolte la tempête. »J’ai pris mon mercredi en congés car il est temps de préparer la visite de Mona. Quand ma femme se lève, je lui demande de se préparer pour une séance de shopping au sexodrome de Pigalle. Je lui intime de se vêtir très court, en talons, en bas et sans culotte. Arrivés sur place, nous arpentons ensemble les différents étages et les multiples rayons à la recherche d’une tenue appropriée. Les pervers présents ne la quittent pas des yeux malgré ma présence. Nous choisissons ensemble diverses tenues, toutes plus affriolantes les unes que les autres.
Elle me demande
— Alors que veux-tu que je porte ?
Je lui rétorque que cela sera son choix.Elle prend cinq tenues et se dirige vers les cabines d’essayage. Je l’embrasse et la laisse faire. Je vais pour ma part visiter un autre rayon mais je note au passage que l’un des hommes lui emboite le pas dans cette zone supposée privée. Il s’agit sans doute d’un habitué disposant d’un passe-droit.
J’arrive au milieu des étalages proposant pléthore de godes ceintures, j’hésite longuement avant d’en choisir un à lanières de cuir et orné d’un membre noir, réaliste d’au moins 25 centimètres.Satisfait de mon choix, je retourne aux cabines. Le patron de l’établissement me stoppe mais je lui décris Léna en lui expliquant qu’elle est ma femme et que je dois la rejoindre. Ayant remarqué ma tendre épouse, il me laisse passer. J’entre dans la zone interdite. Le moins que l’on puisse dire est qu’il n’y a pas affluence aujourd’hui. Une seule des dix cabines, a le rideau tiré. Je n’ai donc aucun mal à localiser Léna.
Au fur et à mesure que J’avance sans le couloir obscur mon futur achat en main, j’entends râles et gémissements.J’avance silencieusement et me penche pour regarder sous le rideau qui ferme la cabine. Je reconnais les talons de mon épouse. Ses jambes sont gainées d’un filet jaune qui moule ses mollets. Derrière elle, je vois le pantalon du pervers sur ses chevilles. Aux claquements de son pelvis sur ses fesses, il ne fait aucun doute qu’elle est encore en train de se faire ramoner, et cette fois ci, par un parfait inconnu.

Je file dans la cabine attenante, referme le rideau et ouvre mon pantalon. Je commence à me masturber en écoutant Léna en réclamer plus profond et plus fort. A priori, L’homme à bien capté le message car j’entends les claquements sur les fesses de ma femme s’intensifier jusqu’à ce que les deux amants râlent. Je ne peux m’empêcher de jouir à mon tour.
Puis je vois les jambes du pervers rhabillé, passer dans le couloir par dessous le rideau. Je me reboutonne et rejoins Léna. Quand j’ouvre le rideau, je la trouve penchée en avant, haletante dans son body resille fluo très largement ouvert sur son sexe et son cul. Un flot de sperme déborde de sa vulve qui pulse toujours.
J’entre et le la prends par les cheveux pour lui délivrer un long baiser fougueux. Je collecte le foutre qui dégouline avec mes doigts et l’offre à sa bouche. Elle suce mes doigts et les nettoie avidement. Je répète l’opération plusieurs fois et ma salope se régale. Après quelques minutes, elle reprend ses esprits, retire le filet jaune et se rhabille.
Nous repartons du sex-shop avec le body et le gode ceinture.Le reste de la semaine est plutôt calme. Je vois juste Léna rentrer à la maison le jeudi et se masturber sur notre lit avec son gode vibrant mais rien de plus. Je pense qu’elle se réserve pour samedi.Le jour venu, je la surprends encore devant la fenêtre, sans culotte, à se toucher en regardant les deux jeunes voisins dans le jardin. Je la laisse un peu fantasmer et se chauffer car je veux la frustrer avant notre soirée. Je remonte dans la chambre pour prendre deux paires de menottes coquines dans sa collection et le petit outil rose télécommandé que je viens d’acheter. Je reviens et la vois se masturber franchement et murmurer toutes sortes de cochonneries entre elle et les deux éphèbes. Sentant qu’elle va bientôt venir, j’interviens. Je prends ses deux poignets et les ligote dans son dos. Puis, je l’assois sur le canapé devant la télé, j’emprisonne également ses chevilles et lui met sa série préférée. J’insère le vibrateur dans son vagin et je l’embrasse. Elle me jette un regard noir.
Je sors et referme la porte du salon. En effet, David et Kevin vont bientôt entrer réclamer leurs salaires et il est hors de question qu’ils la voient comme ça, du moins, pas aujourd’hui. Une fois les deux garçons partis, je monte dans ma tour de contrôle. J’ai une vue parfaite sur ma femme qui fulmine sur le canapé. Je dégaine mon portable et ouvre l’application qui contrôle l’objet sexuel à distance. Je la vois bouger et tenter de se relever, je lui envoie alors une charge de vibrations modérée car il n’est pas question de la faire jouir. Je vois s’alanguir à nouveau en arrière sur le canapé pour profiter de l’instant. Mona n’arrivera que dans deux heures. Je programme le vibreur pour envoyer une décharge de trente secondes toutes les 10 minutes et je vais me doucher.
Une heure plus tard, je descends pour libérer ma douce épouse. Le canapé est inondé de mouille. J’espère qu’elle n’a pas joui. Je retire délicatement le petit objet rose que je lui donne à sucer, puis la libère de ses entraves. Elle tombe à genoux et entreprend d’ouvrir mon pantalon. Je la stoppe net et lui intime d’aller se préparer pour Mona. Elle monte prendre sa douche et je la suis. En effet, chaude comme elle l’est, elle risque de se masturber sous le jet d’eau tiède. Je la regarde savonner son beau corps voluptueux, puis l’aide à se sécher. Elle a l’air un peu calmée. Léna va dans la chambre et se glisse dans le body résille. Je choisis pour elle une robe longue pourpre fendue le long des jambes et une paire de hauts talons noirs.
Le carillon de la porte retentit et je descends. C’est la livraison du traiteur. Je paye et récupère la marchandise. Je profite d’être dans la cuisine pour me saisir d’un torchon et aller sécher le canapé maculé de cyprine. J’entends Léna commencer à descendre et je lui dis de prendre avec elle le gode ceinture. Quelques instants plus tard, elle me rejoint, l’objet du désir à la main. Je m’en saisis et le met dans un tiroir du buffet. Il nous reste au plus 30 minutes pour échanger et nous mettre d’accord sur le scénario de la soirée.
En ce qui me concerne, je suis impatient de découvrir Mona. Bien sûr je l’ai déjà imaginée, à la suite de la description que Léna m’en a faite mais maintenant je veux découvrir son visage, ses traits, ses yeux.
A 19 heures trente, elle arrive. Je vais ouvrir et l’accueillir. J’ouvre la porte et je découvre une très jolie jeune femme brune et très féminine. Elle est vêtue d’une robe noire plutôt courte de laquelle dépassent des jambes interminables gainées de bas noirs. Elle porte une paire d’escarpins roses à talons et pour compléter le tout, ses épaules sont recouvertes du fameux perfecto noir que Léna m’avait décrit. Après le premier coup d’œil, mes yeux se plantent dans les siens et je reste bouche bée. Ils sont en amande, de couleur noisette, avec des reflets verts. Son regard est totalement hypnotisant et je ne comprends pas pourquoi ma femme a mis tant de temps à lui succomber. Sa peau est plutôt pâle, son nez court et droit et ses lèvres légèrement pulpeuses.
Bref, c’est un canon !Je lui fais la bise et l’invite à entrer. Je sens déjà mon sexe réagir et se dresser mais je reste un moment sur le pas de la porte à respirer l’air frais et à me ressaisir.S’en suit un apéritif dans le salon avant que je n’aille dresser la table. J’apporte une bonne bouteille de vin pour accompagner les victuailles. Au fil de la soirée et des verres, Mona se détend. Elle rit de plus en plus facilement et devient de plus en plus volubile. Je note ça comme un bon signe. Pour finir je sers le café accompagné des petits fours, puis, conformément au scénario convenu avec ma femme, je me lève et prend congé prétextant un travail important et urgent à terminer. Je présente mes excuses aux deux amies et dit à Mona que combien ce fût un plaisir de l’accueillir avant de les laisser seules. Bien sûr, je monte pour faire face à mes écrans et revêtir mon casque. Maintenant, j’attends la suite des opérations.
Léna ne tarde pas à se pencher vers sa collègue et l’embrasser fougueusement. Puis elle la prend par la main et l’installe sur le canapé. Ma femme reste debout devant elle et laisse tomber sa robe longue au sol pour rester dans le body fluo sexy que nous avons choisi. Mona s’inquiète et dit :
— Mais chérie… Et ton mari ?
Léna lui répond de ne pas s’inquiéter et lui dit que quand j’ai du travail, elle ne me revoit pas avant une heure du matin. Elle ajoute que quand bien même je descendrais, un spectacle lesbien ne serait pas pour me déplaire. Décidément, ma femme est parfaite !
Je la vois se pencher et embrasser Mona. Puis, elle la débarrasse de sa petite robe noire.Devant mes écrans, je ne perds pas une miette du spectacle. La jolie brunette a sorti le grand jeu. Elle arbore un soutien-gorge à balconnet qui expose la pointe de ses seins et un très petit string assorti. Inutile dire que Léna, le retire rapidement pour commencer à laper la cyprine qui commence à ruisseler du sexe de la jolie brune. Puis mon épouse se redresse et enfourche son visage pour commencer un 69 lesbien de toute beauté.
Je me lève de mon fauteuil pour le mettre nu et reviens profiter de la vidéo. Je caresse mon pénis tendu en les entendant lécher et gémir dans mon casque. Ça va être compliqué d’attendre mon entrée en scène, mais je me retiens. J’entends les deux amies jouir mais Léna continue à introduire sa langue dans les parties intimes de Mona que je vois convulser de plaisir.
Ma femme passe à la partie deux du plan. Elle prend sa copine par les cheveux, la traite de salope, l’embrasse puis la positionne sur le canapé à genoux et les fesses bien offertes. Je la vois se lever et ouvrir le tiroir du buffet pour se parer du majestueux gode ceinture avant de revenir se positionner derrière Mona et la pénétrer sauvagement. Au fil des aller et retours, j’entends le plaisir de Mona s’accroitre. Il va être temps pour moi de les rejoindre. J’avale un des losanges bleus que je garde sur mon bureau et descend l’escalier nu comme un vers et bandé comme un taureau.
Lorsque j’entre dans le salon, Mona me remarque à peine tant elle est à son plaisir. Je me plante devant elle et lui offre mon sexe bandé qu’elle prend en bouche sans se poser de questions. Cela fait une bonne heure que je me retiens et je me laisse aller sur son joli visage et dans sa gorge.
Grace à la pilule de Viagra, je reste dur comme la pierre et je passe derrière Léna qui continue à besogner son amie. Je m’insère derrière elle et m’insinue dans son anus pour profiter de ses va-et vient. Ma femme augmente l’amplitude de ses mouvements et elle jouit en même temps que son amie.
Je la laisse recouvrer ses esprits, s’allonger sur le sofa et intimer à la belle Mona de venir la chevaucher, ce que la brunette fait sans rechigner. Je vois à présent les jolies petites fesses pâles de la brunette aller et venir sur le gode noir. Je la contourne et l’encule à son tour. A L’accélération de son rythme, j’en déduis qu’elle aime ça. Je la laisse faire jusqu’à ce qu’elle s’abandonne encore avant de reprendre mes pénétrations de manière plus intensives jusqu’à jouir à nouveau dans les entrailles de la petite salope.
La soirée est terminée. Nous laissons Mona utiliser la douche et se rhabiller. Nous nous donnons avec Léna un long baiser complice. Un peu plus tard, nous raccompagnons sa collègue à sa voiture en lui précisant qu’elle est bienvenue à toute heure du jour ou de la nuit. Nous la regardons s’éloigner dans la nuit.
L’effet du comprimé n’étant pas encore passé, j’emmène ma femme chérie dans le lit conjugal pour la baiser bien fort en lui disant combien je l’aime et la remplir de foutre.
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