Chapitre 8 : La semaine suivante est conforme à la routine. Nous dinons et je vais visionner les vidéos avant d’aller me coucher. Le lundi soir, je vois Léna s’offrir à nouveau sur le bureau du comptable ce qui déclenche en moi une érection douloureuse. Je vais la rejoindre dans le lit conjugal où cette désormais insatiable salope m’attend nue en talons, à quatre pattes et se préparant à l’aide de son beau gode noir vibrant. Sans hésiter une seconde et vu mon état, je la sodomise copieusement pendant qu’elle se donne du plaisir et ce jusqu’à la jouissance mutuelle. Léna m’annonce qu’elle a réussi à promouvoir Mona comme son assistante. Cela va lui permettre d’assister également aux « réunions de travail » avec Daniel. Je me régale d’avance des spectacles à venir et ceci ne m’aide pas à trouver le sommeil tant mes pensées vagabondent. Une bonne heure plus tard, je sombre finalement dans les bras de morphée. Le mardi, Je décide d’emmener mon ordinateur personnel au bureau. En effet c’est le premier jour de Mona à son nouveau poste. Comme je souhaite assister à la réunion de 10 heures en direct et qu’il est hors de question de passer par le réseau de l’entreprise, je l’installe sur mon bureau et le couple à ma 4G personnelle. A 9h45, et prétextant un travail important à finir, je préviens mes collaborateurs de ne pas me déranger. Je referme ma porte, donne un tour de clé et m’installe devant mon écran, le casque vissé aux oreilles. Pile à l’heure, je vois la porte s’ouvrir et les deux femmes entrer, toutes les deux vêtue de chemisiers, jupes, nylons et talons mi-hauts. Autrement dit, elles sont très féminines mais sans excès. Comme à l’accoutumée, je vois ma femme refermer la porte et la verrouiller discrètement. Sur l’une des caméras, je distingue clairement une expression mitigée sur le visage du comptable. D’un côté, Il a l’air enchanté par la vision des deux collègues mais de l’autre, je distingue une pointe de déception car il ne pourra sans doute pas assouvir ses bas instincts. Du moins le pense-t-il car Léna ne lui a pas encore fait part du côté coquine de Mona. Les deux amies s’installent côte-à-côte face au jeune comptable et j’entends Léna lui expliquer le rôle de son assistante et le pourquoi de sa présence de manière tout à fait professionnelle. A la mine déconfite du jeune homme, je devine son désappointement. Après cinq minutes, les deux complices ne peuvent s’empêcher de pouffer de rire. Léna passe son bras autour du coup de Mona et les deux femmes échangent un baiser profond devant les yeux médusés du comptable. Je vois mon épouse se lever, contourner le bureau, s’assoir sur les genoux de Daniel et l’embrasser. Il tente de parler mais ma femme pose un doigt sur sa bouche et lui intime de se taire avant de s’adresser à Mona. — Chérie, montre au jeune homme ce que tu sais faire. Sans souciller, la belle amie se lève, déboutonne son chemisier et le laisse tomber au sol laissant apparaitre un soutien-gorge transparent ne laissant rien cacher de ses seins sublimes. Elle s’en défait néanmoins, de manière lascive, puis, laisse glisser sa jupe le long de ses interminables et fines jambes. Son collant est très largement ouvert sur son entrecuisse. Elle se retourne et se penche en avant pour offrir une vue imprenable sur ses magnifiques petites fesses ornées d’un joli plug anal rouge en forme de cœur. Daniel est tout à sa contemplation et Léna sentant une grosse bosse dure se former sous ses fesses, se laisse glisser à genoux entre les cuisses du comptable pour ouvrir sa braguette et entreprendre une fellation lente et langoureuse. Après quelques minutes de succion, j’entends ma femme inviter son amie à la rejoindre. Illico, Mona s’agenouille à son tour près de mon épouse qui cesse son mouvement pour empoigner le membre viril et le tendre à son amie comme une offrande. Malgré la main de Léna scotchée à la base du pénis gonflé, Il reste à la belle brune largement de quoi faire et elle ne s’en prive pas. Léna la laisse à sa besogne pour se dévêtir à son tour. Je note qu’elle s’est assortie à son amie. Elle porte également un collant très ouvert et un joli bijou anal noir brillant. Une fois son strip-tease fini, elle reprend sa place pour offrir au jeune homme une double fellation. Je le vois regarder avidement les deux langues mouillées de salive s’enrouler autour de son gland turgescent, le lécher et le sucer. Je ne perds pas une miette du spectacle et je suis obligé de libérer mon sexe de son entrave en laissant mon pantalon et mon slip glisser autour de mes chevilles avant d’entamer une lente masturbation. Je remercie mon boss de m’avoir offert un bureau fermé à clef. Les deux femmes alternent les mouvements de mains et de bouches, tantôt vite et fort et tantôt très lentement. Je vois Daniel basculer sa tête en arrière et ses yeux se révulser pendant qu’il jouit dans la bouche de ma femme. Une fois les spasmes terminés, Léna attire son amie vers elle pour partager le délicieux nectar dans un très long baiser lascif. Puis mon épouse se relève et embrasse le jeune homme vigoureux pendant que Mona continue son travail de sussions jusqu’à ce que la verge soit nettoyée jusqu’à la dernière goutte, luisante et glissante à nouveau. Comme à son habitude, Daniel n’a pas débandé. Il positionne les deux salopes penchées sur son bureau et retire les deux plugs d’un mouvement synchrone avant de les sodomiser tour à tour pendant un bon quart d’heure. J’entends les deux femmes commencer à gémir et je vois Daniel se saisir des deux bijoux pour les enfourner dans les bouches des deux amies afin d’étouffer leurs râles. Il reprend sa besogne jusqu’à ce que les deux femmes jouissent. Le mouvement de ma main s’accélère et je sens mon plaisir monter. Je stoppe un instant car je ne veux pas rater le bouquet final. Daniel les agenouille devant lui pour se branler sur leurs visages et couvrir les faces des deux complices de semence chaude et visqueuse. Je n’en peux plus, j’ai juste le temps d’extirper un mouchoir en papier de sa boite avant d’éjaculer à mon tour. Pendant que je reprends mes esprits, je vois les deux belles salopes se lécher et nettoyer leurs visages à grand coups de langues avant d’échanger le sperme dans leurs bouches gourmandes. Puis tout le monde se rhabille, Léna reprends ses dossiers sur le bureau et Daniel reprends sa place. Les filles quittent le bureau. Pour ma part, je prends un second kleenex pour finir mon petit ménage et enfourne les deux bouts de papier usagés dans ma sacoche. Il est hors de question de laisser la femme de ménage découvrir mes turpitudes. Je m’en débarrasserai à la maison dès mon retour. En soirée, je rentre avant ma tendre épouse. Je m’installe sur mon fauteuil dans ma tour de contrôle pour revisionner la scène qui me procure toujours autant d’effet. Au rez-de-chaussée, la porte d’entrée s’ouvre et je me mets à nu bandé comme jamais. J’entends Léna se débarrasser de son sac à main et de son manteau puis monter l’escalier. Elle pénètre dans mon antre, contourne mon bureau pour jeter un œil à mon écran, m’embrasse et me dit : — Je vois que tu apprécies le spectacle. Je pivote mon fauteuil vers elle sans rien dire et voyant mon état d’excitation, elle me dispense une longue fellation jusqu’à ce que je lui remplisse la bouche de mon nectar brulant qu’elle avale sans rechigner. Puis, elle m’embrasse et part prendre sa douche. Je l’imite quelques minutes plus tard et nous nous retrouvons dans la cuisine pour le diner.Nous échangeons brièvement sur la séance torride du jour, puis bavardons sur tout et rien avant d’aller nous mettre au lit. Léna s’endort comme un plomb alors que je tourne dans ma couche, des images plein la tête à me demander quelle sera la prochaine étape. Puis, au bout d’une heure, une idée me vient. Je me lève discrètement pour m’installer devant mon ordinateur à la recherche d’un club libertin…
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