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Comment j'ai fait de ma femme une salope

Chapitre 10

Avec plusieurs hommes
Chapitre 10 :
Le lendemain matin, lorsque je descends, Léna est déjà apprêtée et le petit déjeuner est servi. Je m’installe à table et lui dit :
— Tu commences tôt aujourd’hui ?
Elle me répond qu’elle ne commence qu’à neuf heures trente mais qu’elle doit faire un détour vers Saint-Germain-en-Laye récupérer du matériel pour l’association. Sa collation terminée, elle part se brosser les dents, repasse m’embrasser et quitte la maison.
Je me saisis de mon smartphone et cherche les localisations de bureaux de la Western Union. Evidemment, il y en a un dans la ville qui ouvre à huit heures trente, le temps pour elle de payer sa dette et de rejoindre le travail. Plus tard, en consultant ma banque en ligne, j’aurais confirmation d’un retrait en liquide des fameux 100€, le matin même.
Je souris. Nous allons être deux à se faire des cachoteries…Dans ma tête, je commence à échafauder mon plan. Premièrement, il me faut prévenir les deux coquines de réserver leur soirée de jeudi. Je prétexterai une invitation pour un diner à trois dans un bon restaurant. Ces deux gourmandes ne disent jamais non et cela laissera le temps à Mona de s’organiser avec son époux. J’en parlerai à Léna ce soir. J’ouvre mon PC portable et je me connecte au bureau pour annoncer que je me sens souffrant et que je vais prendre une RTT pour me reposer. J’ai moi aussi quelques emplettes à faire…
Je vais me préparer avant de passer en revue la garde-robe de mon épouse. J’y déniche un joli tailleur noir à fines rayures blanches plutôt sexy composé d’une jupe courte et d’un blazer croisé, assez largement échancré entre les seins. Je ne perds pas de temps avec les escarpins. Vu la pléthore de modèles qui remplissent son dressing, je sais que je trouverai mon bonheur. Quant aux dessous, c’est justement l’un des objets de ma visite au sexodrome de Pigalle.
Arrivé dans l’immense sex-shop, que je connais maintenant très bien, je me dirige au rayon lingerie. Comme d’habitude, quelques pervers y patrouillent en quête d’aventures. J’ai déjà en tête ce qu’il me faut pour Léna. Je fouine dans les modèles exposés sur les portants jusqu’à trouver ce que je cherche. Je choisis un bustier cuir léger qui soutient tout juste les seins en les laissant totalement exposés. Il s’achève juste au-dessus des fesses laissant le pubis apparent. Il se ferme et se serre dans le dos à l’aide de rubans rouges assortis aux petits nœuds qui terminent les longs porte-jarretelles solidaires du vêtement. Je complète ma panoplie de bourgeoise salope avec une paire de bas noirs résilles plutôt courts, cerclés de dentelle rouge sur le haut et ornés d’une couture écarlate sur l’arrière des jambes.
Maintenant, le temps est venu pour le shopping de Mona. Je me déplace au rayon des robes de soirée sexy. Pour moi c’est très clair. Le vêtement doit être ultra court pour mettre en valeur les longues jambes de la femme, laissant les épaules et le dos nus et juste soutenu par un fin cordon autour du cou. Il doit supporter l’avant de la robe très échancrée depuis l’entre-seins jusqu’au nombril. Il faut dire, qu’allant de temps, faire un peu de lèche vitrine sur les sites de vente coquins je vois très bien ce qu’il me faut. Je retiens trois modèles similaires, l’un noir, le deuxième orange fluo et le troisième vert bouteille, pailleté d’argent et très flashy. Après m’être imaginé Mona dans les trois tenues, j’opte pour la verte qui, de plus, ira parfaitement avec son perfecto noir. Nul besoin de lingerie mais je dois trouver les chaussures. Par chance, je connais les mensurations de la belle, dont sa pointure. Je jette mon dévolu sur une paire d’escarpins ouverts et sexy.
Une large lanière entoure la cheville et une fermeture éclair argent en fait le tour et descend sur le coup du pied partiellement nu. Le tout est réhaussé par des talons de 15,5 cm et une plateforme de 5,5 cm. Mona sera parfaite pour la soirée.
Je rentre chez moi satisfait de mes achats et je trouve un endroit sûr pour les ranger, en attendant le jour J.Je me désaltère et me met à l’aise. J’hésite à m’allonger sur le divan en me disant qu’après sa séance de la veille au soir, Léna aura surement été sage au bureau mais par acquis de conscience, je vais quand même contrôler la vidéo. Je vois mon insatiable salope à genoux devant le fauteuil de Daniel et en train de lui prodiguer une fellation dont elle a le secret. Le pantalon et le caleçon du comptable trainent près de la chaise de bureau et la robe de ma femme est retoussée jusqu’à sa taille laissant voir son string de dentelle sur ses belles fesses charnues.
Je m’étonne de l’absence de Mona quand je vois la porte du bureau s’ouvrir.
Au lieu de la belle brune, je vois entrer un homme assez mûr que je reconnais être le patron. Il referme à clef derrière lui. Daniel n’a pas l’air surpris de le voir, j’imagine que ce petit salopard a vendu la mèche contre une prime ou une promotion. Léna relève la tête et tente de parler mais le comptable lui attrape les cheveux pour engloutir son sexe dans sa bouche à nouveau et étouffer ses éventuelles protestations.
J’entends le patron lui dire :
— Continuez votre besogne, chère Léna, je sais tout et à partir d’aujourd’hui, je viens quand je veux et faire ce que je veux. C’est ça, ou c’est la porte !
J’imagine que ma femme réfléchit. Elle aime son travail et elle a mis tant de temps à trouver cette place… Daniel la libère et elle dit.
— Comme vous voudrez chef !
L’homme mûr lui intime de ne pas bouger et de continuer à sucer. Elle reprend sa fellation sous le regard gourmand de son patron. Je le vois se caresser l’entrejambe puis venir se positionner derrière elle. Il écarte son string sur le côté avant de commencer à lui bouffer le cul et la chatte pendant qu’elle dévore le jeune sexe du comptable.
J’entends Léna gémir et je vois sa tête aller et venir sur le membre de Daniel de plus en plus fort. Puis le chef se redresse et laisse tomber son pantalon et son slip sur ses genoux. Il est totalement bandé et de très belle taille. Il engouffre aussitôt son membre dans le sexe de ma femme pour la saillir avec passion. J’entends son pelvis claquer très fort sur ses fesses pendant presque 10 minutes avant qu’il ne s’abandonne dans son vagin en un râle sauvage. Daniel, dans le même temps, se laisse aller dans la bouche de Léna qui le laisse finir et redresse la tête pour hurler son plaisir. Le comptable a dû lui mettre une sacrée dose car malgré les talents d’avaleuse de Léna, du foutre coule de sa bouche pour ruisseler sur son menton.
Je vois le patron se relever et remettre en place son pantalon. Il s’adresse à ma femme crument
— Léna, si j’avais su que vous étiez aussi bonne à baiser, je vous aurais embauché avec un meilleur salaire. Vous êtes une fieffée putain et dorénavant, vous viendrez dans mon bureau tous les jours !
Je me dis qu’à ce train ma femme va devenir le vide couille de toute l’association.Sur ce, le patron quitte le bureau sans un mot de plus. Léna s’essuie le menton d’un revers de main et gifle Daniel violemment
— Tu nous as trahi petit salaud.
Le comptable sourit et dit :
— De toutes façons il se doutait de quelque chose. Alors j’ai négocié une promotion pour moi et une belle augmentation pour toi. Sans compter les avantages en nature qu’il va te donner… A ce que j’ai vu tu as eu l’air d’apprécier.
Ma femme l’embrasse fougueusement. Elle lui dit
— Je crois que tu me connais trop bien !
Puis les deux amants se rhabillent et Léna retourne à son poste de travail.Je vois Daniel se lever et faire face à la caméra 1. Il s’adresse à moi et dit :
— J’espère que tu as aimé Paul, je sais que plus ta femme fait la salope et plus tu bandes ! Et envoies moi deux ou trois micro-caméras supplémentaires. Je les installerai dans le bureau du patron pour toi.
Effectivement, mon pénis est dur comme du béton. Je me repasse la scène en me masturbant et je jouis de concert avec les deux pervers.Je file sous la douche en me disant que Léna va se sentir comme un poisson dans l’eau au « Paradis ».A 18h30, je suis devant la télé quand Léna rentre. Elle vient m’embrasser un grand sourire aux lèvres. Elle n’est pas dupe et sait parfaitement que j’ai tout visionné de sa journée. Elle retire son imperméable et s’assoit sur mes genoux et me dit sans préambule :
— Alors mon cœur, ça t’a plu ?
Je tire sur sa belle tignasse blonde, lui délivre un long baiser et lui dit :
— Bientôt tu vas passer plus de temps à te faire baiser qu’à travailler !
Sans se démonter, elle réplique
— Ce n’est pas pour me déplaire !
Nous rions. Elle se lève et avant qu’elle ne sorte, je l’interpelle
— Au fait, chérie, j’ai trois invitations dans un restaurant étoilé pour jeudi. Tu pourrais appeler Mona pour l’inviter. Si elle est disponible, elle pourrait nous rejoindre ici et nous partirions ensemble.
Elle me demande quand son amie doit arriver et je lui dis qu’il faut qu’elle soit là vers 20 heures. Elle me dit qu’elle va l’appeler et elle sort. Trente minutes plus tard, Léna passe la tête par la porte et me confirme que tout est ok.J’adore quand un plan se déroule sans accrocs …
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